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Jean-René FOURTOU semble réussir son plan de sauvetage. Tout en accélérant le retrait de son groupe dans les métiers de l'environnement (on parle d'une possible de cession de parts à EDF et à la CDC), le groupe désormais recentré sur les médias et la communication s'est permis le luxe de refuser la cession, pour 15 milliards de dollards, de son pôle américain à un groupe d'investisseurs.
Dans un contexte boursier dopé par les bons résultats de HP, le cours de vivendi universal s'est ainsi envolé de 21,16% (plus forte hausse du CAC 40) pour atteindre un cours de clôture de 13,80 € soit une capitalisation boursière de 15 Milliards d'euros.
Malgré un parcours boursier catastrophique depuis le début de l'année, un changement de PDG et une explosion de ses dettes, le groupe Vivendi Universal semble donc être parvenu à stabliser la situation. Prochaine échéance, outre le retrait partiel de Vivendi Environnement, le dénouement du bras de fer avec Vodafone au sujet du contrôle du très lucratif Cegetel/SFR. Rendez vous le 10 décembre...
Dans un contexte boursier dopé par les bons résultats de HP, le cours de vivendi universal s'est ainsi envolé de 21,16% (plus forte hausse du CAC 40) pour atteindre un cours de clôture de 13,80 € soit une capitalisation boursière de 15 Milliards d'euros.
Malgré un parcours boursier catastrophique depuis le début de l'année, un changement de PDG et une explosion de ses dettes, le groupe Vivendi Universal semble donc être parvenu à stabliser la situation. Prochaine échéance, outre le retrait partiel de Vivendi Environnement, le dénouement du bras de fer avec Vodafone au sujet du contrôle du très lucratif Cegetel/SFR. Rendez vous le 10 décembre...
