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Les acheteurs en ligne forment une communauté disparate, souligne une étude universitaire américaine.
Une étude universitaire (BYU - Marriott School) financée par et JCPenney, a été réalisée auprès de 4000 internautes Outre-Atlantique, acheteurs en ligne ou non.
D'après ses auteurs, William SWINYARD et Scott SMITH, ces internautes entrent dans huit catégories.
Ainsi, les fanas de l'achat en ligne, 11,1% des internautes interrogés, font fréquemment leurs emplettes sur Internet et parlent de leur expérience en la matière aux autres.
Les explorateurs (8,9%) s'amusent à acheter en ligne mais pourraient être plus «courtisés» par les commerçants du Net.
Les soupçonneux, 9,6% des participants à cette étude, restent ouverts à l'achat en ligne. Cependant, leur manque de connaissances concernant le fonctionnement d'un ordinateur peut les empêcher de «passer à l'acte».
Les «business users» sont des professionnels technophiles qui utilisent fréquemment le web pour leur seule activité professionnelle. Ils comptent pour 12,4% des internautes interrogés.
Les craintifs (10,7%) savent utiliser le web et connaissent les sites e-commerce mais s'inquiètent des procédures commerciales utilisées, de la sécurité des paiements par carte de crédit, de la livraison et des revendications des clients.
Quant aux «avoiders» (15,6%), ils utilisent Internet mais préfèrent effectuer leurs achats dans des commerces traditionnels.
Les allergiques à la technologie (19,6%) connaissent mal le fonctionnement d'un ordinateur et passe peu de temps sur Internet.
Enfin, les «fun seekers», 12,1% des internautes ayant participé à l'enquête, utilisent le Réseau pour se divertir et non pas pour acheter, par manque d'intérêt et de confiance mais aussi par manque de moyens !
Les auteurs de l'étude concluent que les commerçants en ligne devraient dans certains cas précis orienter leurs efforts vers une cible plus prometteuse...
Une étude universitaire (BYU - Marriott School) financée par et JCPenney, a été réalisée auprès de 4000 internautes Outre-Atlantique, acheteurs en ligne ou non.
D'après ses auteurs, William SWINYARD et Scott SMITH, ces internautes entrent dans huit catégories.
Ainsi, les fanas de l'achat en ligne, 11,1% des internautes interrogés, font fréquemment leurs emplettes sur Internet et parlent de leur expérience en la matière aux autres.
Les explorateurs (8,9%) s'amusent à acheter en ligne mais pourraient être plus «courtisés» par les commerçants du Net.
Les soupçonneux, 9,6% des participants à cette étude, restent ouverts à l'achat en ligne. Cependant, leur manque de connaissances concernant le fonctionnement d'un ordinateur peut les empêcher de «passer à l'acte».
Les «business users» sont des professionnels technophiles qui utilisent fréquemment le web pour leur seule activité professionnelle. Ils comptent pour 12,4% des internautes interrogés.
Les craintifs (10,7%) savent utiliser le web et connaissent les sites e-commerce mais s'inquiètent des procédures commerciales utilisées, de la sécurité des paiements par carte de crédit, de la livraison et des revendications des clients.
Quant aux «avoiders» (15,6%), ils utilisent Internet mais préfèrent effectuer leurs achats dans des commerces traditionnels.
Les allergiques à la technologie (19,6%) connaissent mal le fonctionnement d'un ordinateur et passe peu de temps sur Internet.
Enfin, les «fun seekers», 12,1% des internautes ayant participé à l'enquête, utilisent le Réseau pour se divertir et non pas pour acheter, par manque d'intérêt et de confiance mais aussi par manque de moyens !
Les auteurs de l'étude concluent que les commerçants en ligne devraient dans certains cas précis orienter leurs efforts vers une cible plus prometteuse...
