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Après Bruxelles et Washington, c'est au tour du conseil supérieur de l'audiovisuel français d'autoriser la méga fusion entre Vivendi, sa filiale Canal+ et le groupe Seagram Universal.
Jean-Marie Messier a pratiquement gagné son pari. Après Bruxelles et Washington, c'est au tour du conseil supérieur de l'audiovisuel français d'autoriser la méga fusion entre Vivendi, sa filiale Canal+ et le groupe Seagram Universal. Néanmoins, Canal+ conservera le contrôle de son fichier d'abonnées et disposera même d'un droit de véto vis à vis de Canal+ Distribution, filiale de Vivedi. En outre, tout comme canal+, Vivendi Universal devra investir une certaine part de ses revenus par abonné dans le développement du cinéma français. Avec un chiffre d'affaires de plus de 57 milliards de dollars, le groupe Vivendi/Universal va donc pouvoir affronter AOL, dès que les actionnaires des différents groupes auront avalisé cette fusion, dans les premiers jours du mois de décembre..
Jean-Marie Messier a pratiquement gagné son pari. Après Bruxelles et Washington, c'est au tour du conseil supérieur de l'audiovisuel français d'autoriser la méga fusion entre Vivendi, sa filiale Canal+ et le groupe Seagram Universal. Néanmoins, Canal+ conservera le contrôle de son fichier d'abonnées et disposera même d'un droit de véto vis à vis de Canal+ Distribution, filiale de Vivedi. En outre, tout comme canal+, Vivendi Universal devra investir une certaine part de ses revenus par abonné dans le développement du cinéma français. Avec un chiffre d'affaires de plus de 57 milliards de dollars, le groupe Vivendi/Universal va donc pouvoir affronter AOL, dès que les actionnaires des différents groupes auront avalisé cette fusion, dans les premiers jours du mois de décembre..