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Après Martin BOUYGUES pour BouygTel et Jean Marie MESSIER pour SFR, c'est au tour de Gérard MESTRALLET, président du groupe Suez-Lyonnaise de se prononcer contre la procédure de ventes aux enchères pour les licences de téléphonie de troisième génération. "Si la France veut être à la pointe en matière de diffusion de nouvelles technologies, il faut éviter au départ de mettre une barrière d'entrée trop élevée de ce service et éviter de taxer ce que seront des activités futures. Je ne pense pas que les enchères soient la formule la plus appropriée pour développer rapidement ce service en France". Je crois qu'il est naturel que l'Etat prélève une redevance annuelle mais peut-être assise soit sur les résultats soit sur le chiffre d'affaires. Comme ça, si effectivement il y a un grand marché, l'Etat prélèvera d'autant plus", a-t-il dit sur Radio Classique. Concurrent historique de Vivendi, le groupe Suez est de retour dans les médias et les télécommunications et sera candidat, en partenariat avec , à une license UMTS en France. Suez Lyonnaise possède le pôle Noos, spécialisé dans le câble et l'internet, ainsi que des participations dans de nombreux médias dont la chaîne M6. Le groupe devrait être un des acteur clés du numérique hertzien.
Le marché des guides d'achat / moteur produit poursuit sa concentration européenne. Le puissant groupe Bertelsmann vient de livrer son site evenbetter.com à l'américain dealtime.com, en échange d'une prise de participation de 49% dans la structure européenne. La transaction, évaluée à 100 millions de dollars, évoque la manoeuvre réalisée par Bertelsmann avec AOL, dont il possède justement 49% de la filiale européenne. DealTime Europe devient donc un acteur majeur de ce secteur, grâce à sa présence en Allemagne et en Angleterre. Il devra faire face à Kelkoo qui dispose désormais de fililales en Espagne (Don del Compar), en Angleterre (shopGénie) et qui devrait continuer son expansion européenne en Allemagne et en Italie. Le modèle des guide d'achat oscille entre un aspect éditorial, qui sera contesté par les portails verticaux consummeristes (mobiles, informatique, automobile, etc..) et un positionnement "d'apporteur d'affaire" qui sera en concurrence avec les outils basées sur les points de fidélisation. Les internautes jugeront.
Une étude, publiée par les services d'expansion économique de l'ambassade de France au Japon (DREE, MEFI) et l'Agence Financière pour l'Asie (Trésor, MEFI), souligne le démarrage de la NetEconomie japonaise. Ayant raté le décollage de l'internet, pour des raisons tant culturels qu'économiques, les japonais, aidés par le puissant MITI, le ministère de l'économie et de l'industrie, cherchent à rattraper leur retard sur les Etats-Unis et plus modestement l'Europe. A l'instar du Silicon Sentier à Paris, les japonais disposent maintenant d'une "Bit Valley", dans le quartier de Shibuya à Tokyo. En matière de financements, le secteur du capital risque se structure et de nouveaux marchés financiers dédiés aux nouvelles technologies ouvrent (Mothers ou le Japan). Selon Norihiko ISHIGURO, Directeur au New Business Promotion Division du MITI, ces mouvements sont inévitables. Le « marché » manque de repères, mais il a une certitude : la nouvelle économie a fonctionné aux Etats-Unis ; il n'y a pas de raison pour qu'elle ne décolle pas au Japon. Le succès de l'i-Mode (le WAP japonais), la mise en place accélerée des réseaux W-CDMA dès 2001(UMTS japonais), la maîtrise du marché des Jeux Vidéo et la traditionnelle supériorité japonaise en matière d'électronique grand public pourraient redonner au Japon un rôle de locomotive dans la NetEconomie. Selon de nombreux analystes, le stagnation économique, qui touche le Japon depuis le début des années 90, serait dûe à l'abcence de projet mobilisateur depuis sa victoire économique contre les Etats-Unis à la fin des années 80. Le leadership américain dans la société de l'information pourrait donc sonner le réveil du peuple japonais.
Alors que les fabricants de matériel proposent différents prototypes de livres électroniques, allant de la tablette graphique au PalmPC, le marché s'organise autour du format de stockage des données adaptées à ces nouveaux supports. Numéro un des logiciels grand public, Microsoft semble réussir à s'imposer sur ce nouveau marché stratégique en proposant un logiciel baptisé Microsoft Reader. MR équipera les futurs Pocket PC vendus par Casio, Compaq et HP et utilisant la suite logicielle de Microsoft. Parallèlement, l'éditeur TimeWarner a annoncé le lancement d'un site de comemrce électronique dédié aux téléchargements d'ouvrages électroniques qui adoptera massivement le format de Microsoft. A croire que le procès contre le Monopole de Windows ne sert à rien...
Multimania, premier site d'hébergement de page personnelles, souhaite faire évoluer son image auprès des internautes. Historiquement, Multimania est né de la fusion de deux sites, Mygale.org, proposant l'hébergement de pages personnelles et Virtual Baguette, un webzine décalé disposant de nombreux forums de discussions. Or ce second positionnement semble n'avoir pas vraiment réussit à s'imposer auprès des internautes. Le site dirigé par Michel MEYER abandonne donc une communication basée sur des "communautés" au profit d'un axe plus tourné vers les discussions : "Multimania : Bienvenue à tous les points de vues”. Parallèlement à ce nouveau positionnement, Multimania annonce l'ouverture de nombreux forums de discussions, de tchat perso ainsi qu'un nouveau moteur de recherche. Les forums ont l'avantage de permettre la production de nouvelles pages et d'augmenter facilement la surface publicitaire. Multimania annonce 450 000 membres, 140 millions de pages vues par mois, 4 millions de pages web hébergées et plus de 5000 forums de discussion, quelques semaines après leur lancement. Numéro 1 français de son secteur, le site va devoir affronter la concurrence du nouveau pôle constitué par LibertySurf autour de Chez.com et RESpublica.
Le marché des guides d'achat / moteur produit poursuit sa concentration européenne. Le puissant groupe Bertelsmann vient de livrer son site evenbetter.com à l'américain dealtime.com, en échange d'une prise de participation de 49% dans la structure européenne. La transaction, évaluée à 100 millions de dollars, évoque la manoeuvre réalisée par Bertelsmann avec AOL, dont il possède justement 49% de la filiale européenne. DealTime Europe devient donc un acteur majeur de ce secteur, grâce à sa présence en Allemagne et en Angleterre. Il devra faire face à Kelkoo qui dispose désormais de fililales en Espagne (Don del Compar), en Angleterre (shopGénie) et qui devrait continuer son expansion européenne en Allemagne et en Italie. Le modèle des guide d'achat oscille entre un aspect éditorial, qui sera contesté par les portails verticaux consummeristes (mobiles, informatique, automobile, etc..) et un positionnement "d'apporteur d'affaire" qui sera en concurrence avec les outils basées sur les points de fidélisation. Les internautes jugeront.
Une étude, publiée par les services d'expansion économique de l'ambassade de France au Japon (DREE, MEFI) et l'Agence Financière pour l'Asie (Trésor, MEFI), souligne le démarrage de la NetEconomie japonaise. Ayant raté le décollage de l'internet, pour des raisons tant culturels qu'économiques, les japonais, aidés par le puissant MITI, le ministère de l'économie et de l'industrie, cherchent à rattraper leur retard sur les Etats-Unis et plus modestement l'Europe. A l'instar du Silicon Sentier à Paris, les japonais disposent maintenant d'une "Bit Valley", dans le quartier de Shibuya à Tokyo. En matière de financements, le secteur du capital risque se structure et de nouveaux marchés financiers dédiés aux nouvelles technologies ouvrent (Mothers ou le Japan). Selon Norihiko ISHIGURO, Directeur au New Business Promotion Division du MITI, ces mouvements sont inévitables. Le « marché » manque de repères, mais il a une certitude : la nouvelle économie a fonctionné aux Etats-Unis ; il n'y a pas de raison pour qu'elle ne décolle pas au Japon. Le succès de l'i-Mode (le WAP japonais), la mise en place accélerée des réseaux W-CDMA dès 2001(UMTS japonais), la maîtrise du marché des Jeux Vidéo et la traditionnelle supériorité japonaise en matière d'électronique grand public pourraient redonner au Japon un rôle de locomotive dans la NetEconomie. Selon de nombreux analystes, le stagnation économique, qui touche le Japon depuis le début des années 90, serait dûe à l'abcence de projet mobilisateur depuis sa victoire économique contre les Etats-Unis à la fin des années 80. Le leadership américain dans la société de l'information pourrait donc sonner le réveil du peuple japonais.
Multimania, premier site d'hébergement de page personnelles, souhaite faire évoluer son image auprès des internautes. Historiquement, Multimania est né de la fusion de deux sites, Mygale.org, proposant l'hébergement de pages personnelles et Virtual Baguette, un webzine décalé disposant de nombreux forums de discussions. Or ce second positionnement semble n'avoir pas vraiment réussit à s'imposer auprès des internautes. Le site dirigé par Michel MEYER abandonne donc une communication basée sur des "communautés" au profit d'un axe plus tourné vers les discussions : "Multimania : Bienvenue à tous les points de vues”. Parallèlement à ce nouveau positionnement, Multimania annonce l'ouverture de nombreux forums de discussions, de tchat perso ainsi qu'un nouveau moteur de recherche. Les forums ont l'avantage de permettre la production de nouvelles pages et d'augmenter facilement la surface publicitaire. Multimania annonce 450 000 membres, 140 millions de pages vues par mois, 4 millions de pages web hébergées et plus de 5000 forums de discussion, quelques semaines après leur lancement. Numéro 1 français de son secteur, le site va devoir affronter la concurrence du nouveau pôle constitué par LibertySurf autour de Chez.com et RESpublica.
Après Martin BOUYGUES pour BouygTel et Jean Marie MESSIER pour SFR, c'est au tour de Gérard MESTRALLET, président du groupe Suez-Lyonnaise de se prononcer contre la procédure de ventes aux enchères pour les licences de téléphonie de troisième génération. "Si la France veut être à la pointe en matière de diffusion de nouvelles technologies, il faut éviter au départ de mettre une barrière d'entrée trop élevée de ce service et éviter de taxer ce que seront des activités futures. Je ne pense pas que les enchères soient la formule la plus appropriée pour développer rapidement ce service en France". Je crois qu'il est naturel que l'Etat prélève une redevance annuelle mais peut-être assise soit sur les résultats soit sur le chiffre d'affaires. Comme ça, si effectivement il y a un grand marché, l'Etat prélèvera d'autant plus", a-t-il dit sur Radio Classique. Concurrent historique de Vivendi, le groupe Suez est de retour dans les médias et les télécommunications et sera candidat, en partenariat avec , à une license UMTS en France. Suez Lyonnaise possède le pôle Noos, spécialisé dans le câble et l'internet, ainsi que des participations dans de nombreux médias dont la chaîne M6. Le groupe devrait être un des acteur clés du numérique hertzien.
Alors que les fabricants de matériel proposent différents prototypes de livres électroniques, allant de la tablette graphique au PalmPC, le marché s'organise autour du format de stockage des données adaptées à ces nouveaux supports. Numéro un des logiciels grand public, Microsoft semble réussir à s'imposer sur ce nouveau marché stratégique en proposant un logiciel baptisé Microsoft Reader. MR équipera les futurs Pocket PC vendus par Casio, Compaq et HP et utilisant la suite logicielle de Microsoft. Parallèlement, l'éditeur TimeWarner a annoncé le lancement d'un site de comemrce électronique dédié aux téléchargements d'ouvrages électroniques qui adoptera massivement le format de Microsoft. A croire que le procès contre le Monopole de Windows ne sert à rien...