Interrogé à ce sujet par AllThingsD, Reid Hoffman, créateur du réseau et récemment renommé PDG explique : « LinkedIn, c'est le bureau, Facebook, c'est le barbecue dans le jardin et MySpace, c'est le bar ». Ainsi, LinkedIn a enregistré une nette progression de ses activités depuis le début de la crise qui a entrainé des dizaines de milliers de licenciements. Tous les mois, ce sont 2 millions de nouveaux membres qui enregistrent un profil contre 1 million avant le crash boursier.
Depuis le mois de septembre les professionnels intensifient leur efforts de réseautage et recherchent d'éventuelles opportunités de carrière. Tim Whitman, spécialiste des relations publiques basé à Boston explique : « je l'utilise comme outil de recrutement », puis ajoute : « certes, l'économie est un facteur. Mais c'est aussi un très bon moyen de réseautage dans l'environnement instable d'aujourd'hui ».
De son côté, le PDG de la firme ajoute : « beaucoup de gens, employés ou non, feront des travaux de consultants et rechercheront donc des clients ».
Linkedin, qui n'a pas pour autant échappé aux méfaits de la crise, a récement dévoilé un partenariat avec l'APEC dans l'Hexagone.
