Avec ce communiqué, elles font référence au cas d'un utilisateur de réseau de P2P âgé de 28 ans, qui a été convoqué cet été devant la justice et qui est menacé à présent de trois ans de prison et de 300 000 euros d'amende pour avoir téléchargé plusieurs centaines de titres de musique. Ces associations estiment que la SCPP (Société Civile des Producteurs Phonographiques) a décidé pour satisfaire les majors, d'attaquer quelques centaines de consommateurs, qui achètent également des disques, pour faire des exemples. Les majors ont très clairement indiqué auparavant qu'elles souhaitent voir ce genre d'actions se multiplier afin de marquer les esprits et de dissuader les internautes d'utiliser les réseaux d'échanges P2P pour télécharger de la musique.
Les associations citées précédemment demandent aux prochains internautes "menacés" de se faire connaître afin de référencer des temoignages pour un éventuel débat déterminant pour l'avenir de la circulation de la musique et le respect de la diversité.