Test Sony Bravia XR-55X90J : une alternative intéressante aux téléviseurs OLED ?

Matthieu Legouge
Par Matthieu Legouge, Spécialiste Image.
Publié le 14 mai 2021 à 16h36
Bravia XR X90J

Pour 2021, Sony a choisi de renouveler ses gammes de téléviseurs LCD sans pour autant prendre le virage Mini-LED, un rétroéclairage que Samsung, LG et Hisense ont adopté en rejoignant ainsi TCL. Est-il encore pertinent d’investir près de 1 400 € pour un modèle Full Array LED en 55 pouces chez Sony ? On fait le tour de la question avec ce test !

Les plus
  • Excellent contraste ...
  • Bonne qualité d'image
  • Performances du processeur XR
  • Support de l'HDMI 2.1
Les moins
  • ... au prix d'angles de vision limités
  • Blooming perceptible
  • Filtre antireflets peu efficace
  • Pas de VRR (pour le moment)

Comme énoncé ci-dessus, Sony évite la prise de risque du Mini-LED quand bien même le marché du téléviseur y semble propice, celui-ci étant en forte croissance depuis le début de la crise épidémique en 2020. Le fabricant nippon propose cependant 12 références Full Array LED au total avec les gammes X92J, X93J / X94J, X95J, et la moins onéreuse d’entre elles, la série X90J que nous testons aujourd’hui.

Prix et disponibilité

Le Sony Bravia XR-55X90J est déjà disponible en précommande au tarif de 1 399 €. Déclinées en diagonales de 50, 55, 65 et 75 pouces, ces quatre références qui composent la gamme X90J seront pleinement disponibles dès le 14 mai.

Les tarifs pratiqués ici ne sont évidemment pas comparables avec les offres Mini-LED concurrentes, mais le X90J devra batailler avec des références aux caractéristiques techniques similaires, notamment chez LG (NANO91) et Samsung (Q80A) qui commercialisent respectivement les versions 55 pouces de leurs téléviseurs Full LED à 1 199 € et 1 299 €.

Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde X-Rite i1 Display Pro Plus et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.

Sony Bravia XR-55A90J : sa fiche technique

Fiche technique Sony BRAVIA XR-55X90J

Résumé
Diagonale55 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranLCD
Compatibilité HDRHLG, HDR10, Dolby Vision
Puissance des haut-parleurs (watts)10
Système d'exploitationAndroid TV
Affichage
Diagonale55 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranLCD
Type de dalleVA
Type de rétroéclairageDirect LED avec Local Dimming
Processeur vidéoCognitive Processor XR
Compatibilité HDRHLG, HDR10, Dolby Vision
Fréquence de rafraîchissement100Hz
Audio
Puissance des haut-parleurs (watts)10
Nombre de haut-parleurs2
Dolby AtmosOui
Connectique
Nombre de ports HDMI4
Standard HDMIHDMI 2.1
ARC / eARCeARC
ALLMOui
Synchronisation dynamiqueVRR
Autres entrées2x USB-A, 1x composite, 1x Ethernet
Autres sorties1x optique (SPDIF), 1x casque
Connectivité
Système d'exploitationAndroid TV
BluetoothOui
Wi-FiOui
Norme Wi-Fi5 (AC)
Assistant vocalGoogle Assistant, Alexa
ChromecastOui
Airplay 2Oui
HomekitOui
Caracteristiques physiques
Poids (sans pied)17.4kg
Compatibilité VESAOui

Image en sortie de carton avec le mode "Standard" © Matthieu Legouge pour Clubic

Design et connectique

Vu de face, le X90J ressemble comme deux gouttes d’eau au XH90 que nous avons testé l’an passé. Minimaliste, ce design permet de se concentrer sur l’image grâce à un cadre fin en aluminium et un support composé de deux pieds relativement discrets.

© Sony

Sony conserve la modularité de ce support, les options sont différentes par rapport à la série OLED, mais on apprécie de pouvoir placer les pieds selon deux positions : aux deux extrémités, laissant une belle longueur pour y loger une barre de son, ou en position centrale, utile pour les petits meubles TV.

On constate du changement à l’arrière du téléviseur, où l’on retrouve un motif en quadrillage et le logo Bravia au centre avec la fixation VESA.

© Matthieu Legouge pour Clubic

La connectique prend toujours place sur la droite du téléviseur et, s’agissant d’un rétroéclairage Full LED, il faut faire avec un embonpoint de 76 mm à son point le plus épais. Cette épaisseur reste très correcte pour un téléviseur Full LED, mais un montage mural ne donnera pas le même effet qu’avec la finesse de l’OLED. Quoi qu’il en soit, l’installation demande une belle profondeur avec les pieds, 340 mm pour être exact.

En matière de connectique, on profite de 4 entrées HDMI (HDCP 2.3) dont deux prenant en charge l’HDMI 2.1 avec ses fonctionnalités tant attendues : 4K à 120 Hz, ALLM, eARC et VRR. Hélas, comme lors de notre test du Sony Bravia XR-55A90J, le VRR manque encore à l’appel ; Sony promet cependant d’apporter une mise à jour, prochainement, afin d’ajouter cette fonctionnalité. À côté de cela, on retrouve 2 ports USB, une prise Ethernet, une sortie casque, optique et vidéo composite ; deux entrées satellites et une pour câble et TNT. La connectivité sans fil n’est pas en reste avec le Bluetooth 4.2, une connexion Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/ac, un Chromecast intégré, et la compatibilité avec Apple AirPlay et HomeKit.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Google TV pour l’ensemble de la gamme

En 2021, l’ensemble de la gamme Bravia a le droit à la nouvelle interface Google TV. Toujours basée sur Android 10, Google TV propose une expérience connectée simple et facile à l’usage, une expérience que nous avons déjà passée en revue lors de notre test du Chromecast avec Google TV, et plus récemment avec le test du A90J.

Au quotidien, le X90J ne montre quasiment jamais de lenteur avec cette nouvelle interface. Le caractère simple de ce système perd toutefois en efficacité avec le X90J, pour la bonne raison qu’il n’embarque pas de micro intégré permettant d’utiliser le téléviseur en mode mains libres ou tel une enceinte connectée lorsqu’il est éteint.

Les commandes vocales ne sont pour autant pas absentes avec ce téléviseur, mais passent par la télécommande. Celle-ci est en tout point similaire au modèle de l’an passé. Non rétroéclairée, elle bénéficie toutefois d’une finition métallique lui garantissant une bonne solidité, et de nombres de boutons conséquents et relativement exhaustifs.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Bravia Core vient compléter l’offre de Sony en matière de services. La plateforme SVoD se veut la plus qualitative du marché en proposant un catalogue de 300 films IMAX Enhanced et de nombreux contenus 4K et HDR par le biais d’une diffusion en streaming avec un bitrate montant jusqu’à 80 Mb/s ! Une analyse détaillée de ce service vous sera proposée prochainement sur Clubic.

Un système audio qui manque de puissance et de précision

Équipé de deux tweeters de 10 W positionnés derrière l’écran sur la partie haute, et deux enceintes à la base, ce X90J donne une bonne illusion quant à la provenance des sons. L’ensemble offre un son qui suffira pour bon nombre d’utilisateurs au quotidien, mais à qui la puissance fait clairement défaut lorsqu’il s’agit d’écouter de la musique ou de visionner films et séries. À vrai dire, les basses ont meilleure allure, le son est suffisamment clair pour une utilisation classique à volume modérer, mais des distorsions sont très vite perceptibles dès lors que l’on monte le volume un peu plus fort que la moyenne.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Le système Acoustic Multi-Audio porte ses promesses dans le sens où il procure un son de meilleure qualité que ce que l’on constate avec des téléviseurs plus classiques et moins bien équipés. Ce n’est cependant pas la panacée et le système audio du Bravia XR-55X90J ne remplace pas une barre de son dédiée, et encore moins un système 5.1 ou mieux.

Qualité d’image

Nous avons mis à ce téléviseur à l’épreuve avec pas mal de contenus différents pour jauger son potentiel ; au final on ressort de cette période de test avec de très bonnes, mais aussi de moins bonnes impressions.

Commençons d’abord par évoquer les conditions de visionnage. Avec un revêtement mat de type semi-glossy, le X90J parvient à offrir un affichage net tout en filtrant correctement la lumière en provenance de notre fenêtre, située sur la gauche de l’écran. Il en va toutefois autrement des reflets générés à l’intérieur de la pièce et force est de constater que Sony n’a pas vraiment amélioré son filtre antireflet sur cette gamme.

Ces deux clichés ont été capturés dans les mêmes conditions, TV éteinte puis allumée © Matthieu Legouge pour Clubic

Second constat qui décevra sans doute ceux qui se réjouissent de l’arrivée de beaux jours et des retrouvailles entre amis devant l’Euro 2021 de football : seul le X95J est équipé du filtre optique X-Wide Angle. Dans les faits, la baisse de luminosité reste limitée en se déportant sur les côtés, mais les couleurs et les niveaux de noirs en prennent un sérieux coup. L’image perd de sa précision dès que l’on se décale du centre, un constat logique pour une dalle de type VA sans filtre optique pour l’accompagner. Le X90J n’est donc pas un téléviseur à recommander pour être positionné dans une large pièce, en raison de ses angles de vision limités.

Profitons de parler des angles de vision pour rebondir sur le blooming, justement très perceptible lorsque nous sommes sur le côté, mais loin d’être dérangeant une fois bien positionné en face du TV. Forcément, nos mires de tests le mettent en évidence, mais en conditions réelles cela ne vient pas gâcher l’image ou rendre imperceptibles certains détails. Il n’y a finalement qu’avec les contenus HDR que le blooming peut devenir gênant : les menus et sous-titres qui apparaissent à l’écran sont entourés d’un halo, surtout visible sur fond sombre. L’activation du local dimming accentue cet effet, celui-ci nous semble moins bien maitrisé que l’an passé, avec un nombre de zones du système de rétroéclairage Full Array LED du X90J qui est encore trop bas pour créer l’illusion. Vous serez finalement amené à faire un choix entre recourir à la gradation locale pour profiter d’une meilleure uniformité des noirs, ou la désactiver pour ne pas accentuer le blooming.

© Matthieu Legouge pour Clubic

Passé entre nos mains juste après le test du A90J, ce X90J a évidemment un peu de mal à nous faire oublier l’excellent niveau de détails que l’on perçoit dans les scènes sombres avec un téléviseur OLED comme celui-ci. Malgré tout, puisqu’il s’agit d’une dalle VA dépourvue de filtre optique, le taux de contraste natif est très bon. Sans local dimming nous obtenons un contraste de 4 300:1, une fois activé, la valeur monte légèrement pour atteindre un taux de 5 000:1. Les noirs sont suffisamment profonds pour offrir une bonne expérience cinéma dans une pièce sombre.

À gauche une vidéo en 4K natif, à droite mise à l'échelle depuis un signal HD © Matthieu Legouge pour Clubic

Du côté du traitement de l’image, le nouveau processeur XR apporte quelques arguments supplémentaires cette année avec cette fameuse « intelligence cognitive », d’autant qu’il équipe l’ensemble de la série X9J. On profite notamment d’un moteur de mise à l’échelle efficace avec un traitement naturel qui ne rogne que peu sur les détails de l’image. Les différences entre ce processeur et le X1 Ultimate ne sont pour autant pas flagrantes. De son côté, le moteur de compensation fonctionne parfaitement sans créer d’artefacts indésirables.

Nos mesures

Nous avons privilégié le mode d’image « Expert » pour réaliser nos mesures. Celui-ci montre un étalonnage bien plus fidèle et précis que le simple mode « Cinéma » qui laisse à désirer sur ce X90J.

SDR

L’étalonnage d’usine en mode expert est relativement fidèle avec un Delta E moyen de 2,32, une valeur qui indique que les dérives chromatiques perceptibles par l’œil humain devraient être faibles voire inexistantes. Dans les faits, on constate tout de même quelques dérives sur le blanc et les nuances de gris, ainsi que sur le bleu, dérives qui restent toutefois contenues.

Hormis quelques excès à partir de 70 % de luminosité qui montrent que les scènes les plus lumineuses paraitront un peu plus sombres qu’elles ne devraient l’être, la courbe gamma affiche une bonne stabilité avec une moyenne relevée à 2,42.

La courbe RGB nous montre que le rouge est quelque peu en retrait par rapport au vert et bleu. Il en résulte une température de couleur moyenne un peu trop froide pour ce mode expert, mais pas très éloigné de la référence (6 500 K), avec une valeur mesurée à 6 810 K.

HDR

La luminosité en HDR est plutôt bonne, mais le X90J est loin de rivaliser avec les meilleurs modèles LED du marché sur ce point. Avec un pic lumineux maximal mesuré à 879 cd/m², il permet malgré tout de profiter d’une bonne expérience HDR mais les scènes les plus sombres paraissent trop lumineuses, tandis que les scènes les plus lumineuses ne montrent pas leur plein potentiel.

À côté de cela, la colorimétrie en HDR est excellente avec un Delta E moyen de 1,59 et quasiment aucune dérive.

La couverture colorimétrique de l’espace DCI-P3 est correcte, mais reste en retrait face aux concurrents QLED et OLED, comme notre mesure à 89,9 % le montre. Il en va de même pour l’espace Rec. 2020, la dalle du X90J le couvre à 65,5 %, une valeur légèrement inférieure à ce que nous constations l’an passé sur la série XH90.

Rec. 2020
DCI-P3

Pour résumé, le X90J affiche une couverture colorimétrique un peu moins grande que l’an passé, mais il révèle des détails que l’on n’aurait sans doute pas aperçu grâce à une luminosité qui autorise de même de regarder de tels contenus dans une pièce (modérément) baignée de lumière.

Jeux vidéo

Le X90J offre une bonne expérience gaming grâce à ses deux ports HDMI 2.1, nous donnant la possibilité de jouer en 4K à 120 Hz. Hélas, le Variable Refresh Rate (VRR) n’est pas encore disponible sur les nouveaux téléviseurs Sony, le fabricant nippon a promis une mise à jour prochaine, il y a fort à parier que cette fonctionnalité sera poussée lorsque la PS5 en profitera elle-même !

À côté de cela, le mode jeu affiche une colorimétrie fidèle, similaire à celle du mode Expert, chose que nous avions déjà constatée avec le A90J. Sony semble prendre le pli pour soigner les prestations de ses téléviseurs lorsqu’il s’agit de jeu vidéo.

Le retard à l’affichage est mesuré à 17,1 ms, ce qui correspond à un peu plus d’une image de retard par seconde par rapport à une source à 60 Hz. Toutefois, comme le montre le graphique ci-dessus, Sony est déjà descendu un peu plus bas par le passé et il est dommage que le X90J ne se positionne pas devant le XH90 ici.

Consommation électrique

Nous avons relevé une consommation de 60,5 W lors de notre test, avec un blanc calibré à 150 cd/m². Cela correspond à une consommation relative de 72 W/m², un résultat qui montre que ce téléviseur n’est pas trop gourmand en énergie par rapport à d’autres modèles similaires. En veille, la consommation électrique de ce téléviseur est inférieure à 1 W.

Sony Bravia XR-55X90J : l’avis de Clubic

Conclusion
Note générale
8 / 10

Dans l’ensemble, le X90J délivre une solide prestation et affiche une image qui ne manque pas de précision et de réalisme avec de bonnes sources. Sony tire son épingle du jeu sur certains points par rapport à au XH90 de l’an passé, notamment grâce à une luminosité et un contraste plus élevé, mais aussi car tous les modèles sont logés à la même enseigne avec le processeur XR.

D’un côté il sonne comme un renouvellement de gamme annuel logique et pertinent, mais d’un autre il affiche des performances parfois moins bonnes que son prédécesseur, avec des effets de blooming contenus mais peut-être davantage perceptibles, une couverture colorimétrique un peu moins large, ou encore un input lag plus élevé.

Le X90J saura combler les attentes de ceux qui se l’offriront et qui attendent une certaine polyvalence de leur téléviseur, sans forcément avoir à se diriger vers un modèle de plus haut de gamme. Ceux qui sont allergiques à l’idée même d’acquérir un téléviseur OLED trouveront dans le X90J une bonne alternative. Malgré tout, et pour répondre à la question posée en titre, dans cette tranche de prix beaucoup d’acheteurs risquent justement de se tourner vers les modèles OLED concurrents de l’an passé, notamment le LG 55CX qui proposait déjà l’HDMI 2.1 et le VRR et qui se négocie actuellement au même prix que ce X90J.

Les plus
  • Excellent contraste ...
  • Bonne qualité d'image
  • Performances du processeur XR
  • Support de l'HDMI 2.1
Les moins
  • ... au prix d'angles de vision limités
  • Blooming perceptible
  • Filtre antireflets peu efficace
  • Pas de VRR (pour le moment)
Sous-notes
Qualité d'image
8
Design et ergonomie
7
Jeux vidéo
8
Audio
7
Système d'exploitation
10
Par Matthieu Legouge
Spécialiste Image

Pigiste pour Clubic depuis 2018, j’ai d’abord pris la plume pour parler d’actualités, avant de me spécialiser peu à peu sur les catégories PC & Gaming, notamment les écrans et périphériques, ainsi que l’image et le son, plus particulièrement tout ce qui touche au Home Cinema : les téléviseurs, vidéoprojecteurs et barres de son.

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Commentaires (10)
newseven

La V-Sync fait aussi bien la job que le vrr du G-Sync et du FreeSync .
Point vu visuel , ils sont identique .
Il y a aussi pratiquement aucun différence d’impacts sur les performances entre les trois procédés sur le nombre de FPS et s’il y en a une " il est extrêmement minime ".
La V-Sync est uniquement un chouïa plus lent en terme de temps de latence mais rien de dramatique 'on parle de quoi 0.5 à 4 ms maximum .

Donc une télévision sans le vrr ne pas la cata .
Sony revient dans la course et ça fait plaisir :slight_smile:

supernaz

Pourquoi comparer le V-sync et le VRR? Ça n’a rien a voir, c’est 2 technologie différentes.
Exemple: si ton jeu tourne en moyenne à 45 FPS, pour avoir une expérience sans tearing le V-sync doit stabiliser ton framerate à 30 FPS. Ce qui n’est pas le cas avec les techno de rafraîchissement variable (G-Sync / Free-Sync / VRR / Adaptive-Sync).

julla0

Plus cher qu’un OLED, est-ce que ca vaut vraiment le coup?

tux.le.vrai

Pour « Ceux qui sont allergiques à l’idée même d’acquérir un téléviseur OLED »
Y’en a ? je vois pas pourquoi sinon le prix, mais à ce tarif !

Moi, je suis allergique à l’idée d’acquérir un téléviseur qui ne soit pas OLED

Matthieu_Legouge

Nuance, aussi cher qu’un OLED 55" de l’an passé, actuellement en promotion !

Matthieu_Legouge

@tux.le.vrai
Évidemment, il y en a, que l’on retrouve d’ailleurs souvent ici même dans les commentaires. Ils pointent du doigt, et à raison, les limites et inconvénients de l’OLED ; le pic lumineux, la durée de vie de la dalle (et son vieillissement), les risques de burn-in, et bien sûr le prix.

@newseven
On a produit un papier un peu plus détaillé à ce sujet si cela vous intéresse :wink:
:point_right: G-Sync, FreeSync, Adaptive Sync, VRR : on décrypte les technologies de rafraîchissement variable

julla0

Et?

newseven

Les 3 technologie empêche fondamentalement tout déchirement horizontal .
Donc tout les images des 3 technologie sont parfaite sais aucun différence .
Par-contre le V-Sync va avoir uniquement plus de latence .

Mais c’est tellement imperfectible que ça ne vaut vraiment pas la peine de payer plus cher pour le vrr .

Donc la Sony Bravia XR-55X90J a tout ce qui faut pour les mordus de gaming .

( si ton jeu tourne en moyenne à 45 FPS, pour avoir une expérience sans tearing le V-sync doit stabiliser ton framerate à 30 FPS )
C’est complétement faux .
La fréquence d’images va se synchroniser avec le taux de rafraichissement de la télévision .
Donc s’il y a 45 fps , il aura 15 images dédoublés pour faire les 60 hz = fps .
S’ il y a 90 fps sur une télé de 60 hz il y aura perdu 30 image dans les poubelles mais si le taux est a 120 hz il y aura 30 images dédoublés .

Bombing_Basta

Est-il encore pertinent d’investir près de 1 400 € pour un modèle Full Array LED en 55 pouces chez Sony ?

Je me poserais plutôt la question de la pertinence de prendre un LCD 55" à 1400€ et même à 1000 quand l’excellent LG CX est à 1250 voir moins régulièrement (et le tout aussi bon BX à 100€ de moins encore).

Nerva

Ben si, je suis prudent avec l’OLED et la question du marquage des dalles qui ne semble pas définitivement réglée et la garantie, variable d’une marque à l’autre, si j’en crois ce que j’ai pu lire.