Le Samsung QN90F se positionne comme la formule premium de la marque en matière de TV MiniLED pour 2025. © Matthieu Legouge
Le Samsung QN90F se positionne comme la formule premium de la marque en matière de TV MiniLED pour 2025. © Matthieu Legouge

Successeur direct du QN90D, le téléviseur Neo QLED QN90F de Samsung mise sur une dalle LCD VA à rétroéclairage Mini-LED, un nouveau processeur dopé à l’IA, et surtout, un filtre antireflet parmi les plus efficaces du marché, qu'il emprunte au S95F. Après avoir passé en revue les deux séries OLED du fabricant, l'heure est venue de s'attaquer à cette série Mini-LED. Voici notre test complet.

Les plus
  • Excellents niveaux de luminosité et contraste
  • Colorimétrie précise en SDR comme en HDR (Delta E < 2)
  • Filtre antireflet "Glare Free" ultra-efficace
  • Expérience gaming complète
  • Une interface Tizen qui s'améliore
  • Consommation électrique maîtrisée
Les moins
  • Toujours pas de Dolby Vision ni de DTS chez Samsung
  • Couverture colorimétrique limitée face aux QD-OLED
  • Gestion HDR un peu trop "punchy"
  • Léger blooming perceptible
  • Rendu Atmos limité

Ce test est valable pour les modèles suivants :

À noter que les versions 43 et 50 pouces du QN90F présentent quelques différences : le modèle 43" se contente d’une dalle 60 Hz et d’un rétroéclairage moins dense, ce qui limite sa fluidité en jeu et ses performances HDR, tandis que le 50" conserve bien une dalle 120 Hz, mais fait l’impasse sur les fréquences plus élevées accessibles à partir du 55 pouces.

Avec son QN90F, Samsung renforce sa gamme Neo QLED en combinant les fondamentaux de son savoir-faire Mini-LED avec une série de nouveautés significatives : nouveau processeur, meilleure gestion antireflet, interface revisitée et fonctions IA enrichies. Ce téléviseur s’annonce, sur le papier, comme une proposition très complète, aussi bien pour un usage cinéma que pour le gaming, le sport ou un usage quotidien en environnement lumineux. On regarde tout ça de plus près.

Performances et qualité d'image du Samsung QN90F

Nos mesures

Samsung reconduit ici l’approche Mini-LED initiée sur les générations précédentes, mais y ajoute plusieurs éléments notables : un nouveau processeur NQ4 AI Gen3, un filtre antireflet de dernière génération inspiré de celui des S95D et S95F, et une dalle WHVA fournie par TCL CSOT, censée améliorer les angles de vision par rapport aux LCD VA traditionnels.

En bref : nos mesures sur le Samsung QN90F
Luminosité minimale (APL 10 %)32 cd/m²
Pic lumineux SDR (APL 10 %)2338 cd/m²
Pic lumineux HDR (APL 10 %)2 672 cd/m²
Pic Lumineux HDR (APL 100 %)839 cd/m²
Contraste natif 4762:1
Température de couleurs6 437 K
Delta E moyen / max SDR1.55 / 3.17
Delta E moyen / max HDR1.37 / 6.19

Le tableau ci-dessus réunit un bref résumé des mesures que nous avons réalisées sur ce Samsung QN90F avec notre sonde Calibrite Display Plus HL et le logiciel Calman Ultimate. Pour découvrir plus de détails, avec les courbes et graphiques associés à ces mesures, nous vous invitons à déplier les deux sections ci-dessous.

Cliquez ici pour voir nos mesures SDR

Avec un signal SDR et le Filmmaker Mode, le Samsung QN90F offre d'excellents résultats. La température moyenne est de 6 437 K, très proche de notre valeur cible (6 500 K), tandis que l'échelle de gris est parfaitement respectée. La courbe gamme montre une bonne moyenne, mais ne suit par parfaitement la courbe de référence.

De son côté, la colorimétrie se montre bien respectée avec un Delta E moyen de seulement 1.55 et des valeurs maximales qui ne dépassent pas, ou très peu, le seuil de 3 que nous prenons comme cible à ne pas dépasser.

La suite de nos mesures en HDR

Hormis le fait qu'il soit nécessaire de se contenter de l'écosystème HDR10 (HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, HDR10+ Gaming) et de l'HDR HLG chez Samsung, qui fait toujours l'impasse sur le Dolby Vision, force est de constater que le QN90F dispose de sérieux atouts pour offrir un rendu dynamique de qualité.

Les couleurs sont fidèles en HDR, toujours avec le mode Filmmaker. Seul le blanc montre une dérive notable, ce qui est tout de même regrettable. Pour le reste, le Delta E moyen s'établit à 1,37, une excellente valeur qui témoigne du bon étalonnage de ce mode.

Ce QN90F montre une gestion du signal HDR un peu particulière avec un surplus de luminosité dans les basses et moyennes lumières, jusqu'à 50 % de luminance, traduisant un éclaircissement des zones sombres qui se fait au détriment de la profondeur des noirs. Intervient ensuite un lissage à partir de 60 % de luminance avec une compression progressive du signal qui vise à contenir les pics lumineux, dans le but de conserver le plus de détails possible dans les hautes lumières.

Pour le reste, nous mesurons un pic lumineux de 2 672 cd/m² sur une fenetre de 10 %, preuve que le rétroéclairage MiniLED se montre performant, quand bien même, il n'atteint pas les records que nous avons constatés sur un téléviseur comme l'Hisense U8Q.

On observe malgré tout une baisse progressive de la luminosité avec un ABL (Auto Brightness Limiter) qui fait tomber le pic lumineux à 839 cd/m² lors d'une mesure sur une fenêtre de pleine taille.

Enfin, la richesse colorimétrique est au rendez-vous sur ce QN90F, même si elle est loin d'atteindre ce qu'offre un téléviseur QD-OLED comme le S95F. Nous avons ainsi mesuré la couverture BT.2020 à 72,3 %, là où l'UHDA-P3 culmine à 94 %.

UHDA-P3
BT.2020

Pour en savoir plus sur la manière dont nous testons les téléviseurs chez Clubic, consultez notre protocole de test ci-dessous.

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Labo

Nos impressions sur le rendu à l'image

Le QN90F perpétue l’approche Samsung d’une image percutante, mais avec bonne maitrise globale, chose dont nos mesures HDR témoignent. Forcément, ce modèle Mini LED combine les avantages d'une luminosité explosive et d’un bon contraste avec un contrôle de la lumière par zones, ce qui permet d'offrir un rendu HDR globalement précis et bien géré. Sur ce modèle de 65 pouces, on dénombre pas moins de 720 zones de gradation locale, suffisamment pour induire une évolution concrète sur la restitution des détails dans les hautes lumières, comme dans les scènes les plus sombres grâce à une gestion plus fine de la luminosité.

En sortie de carton avec le mode "Standard". © Matthieu Legouge

Cette évolution a forcément un impact, positif, surtout lorsqu'il s'agit de lancer des sources en HDR. On le perçoit notamment sur les plans complexes où cohabitent de forts écarts de luminance — comme des scènes de rue nocturnes éclairées par des néons ou des scènes comme celles de Premier Contact. Le local dimming apporte une excellente dynamique à l'image, bien que parfois un léger effet blooming fait son apparition en conditions extrêmes. C'est surtout le cas si l'on opte pour un mode d'image comme le mode Dynamique qui pousse encore plus haut le pic lumineux par rapport aux modes Cinéma et Filmmaker.

La colorimétrie est bien respectée en HDR. © Matthieu Legouge

Concernant les couleurs, force est de constater que nous sommes face à un téléviseurs Samsung, avec une belle vivacité grâce au Quantum Dots. Les modes d’image les plus cinématographiques (comme "Cinéma" ou "Filmmaker") délivrent une image au rendu naturel, avec une colorimétrie qui ne manque pas d'apporter du cachet aux contenus visionnés.

Le QN90F sait donner une "illusion" d'OLED dans les scènes sombres et les images contrastées. © Matthieu Legouge

Mais surtout, l’un des éléments les plus probants sur ce téléviseur MiniLED n'est autre que l'arrivée d'un nouveau revêtement antireflet, Glare Free, celui-là même qui équipe certains téléviseurs OLED de la marque, comme le S95F. Celui-ci se montre diablement efficace pour diluer les reflets directs et son impact est d'autant plus impressionnant que le QN90F est capable de produire des images très lumineuses. Par conséquent, regarder la télévision en pleine journée, dans un environnement particulièrement lumineux, n'est absolument pas un problème avec le QN90F, même avec une baie vitrée à proximité !

L'impact des reflets en provenance de la fenêtre est largement amoindri. © Matthieu Legouge

Il faut néanmoins noter que ce traitement s’accompagne d’un impact, léger mais perceptible, sur la profondeur perçue des noirs et sur les couleurs lors de reflets directs. Rien de grave puisque cet effet est absent lorsque le téléviseur n'est soumis à aucun reflet.

Les contenus SD sont correctement mis à l'échelle, même si cela ne se fait pas sans un certain lissage. © Matthieu Legouge

Le piqué est excellent sur les sources 4K natives, avec une netteté maîtrisée et sans accentuation artificielle. L’upscaling des contenus Full HD et des flux compressés bénéficie clairement de l’optimisation par IA et du processeur NQ4 AI Gen3. La récupération des textures est efficace, avec peu d’artefacts, les contours restent propres, même nous ne sommes pas à l'abri, selon le signal, d'un lissage parfois excessif.

Dernière évolution et pas des moindres : les angles de vision. Ceux-ci sont nettement meilleurs que ce qu’on observe habituellement sur les dalles VA, grâce à la technologie WHVA. Même en se décalant, les contrastes et les couleurs restent bien conservés, sans altération trop marquée des couleurs. Cela rend le téléviseur plus polyvalent pour les grands salons ou les séances à plusieurs, courantes pour partager des compétitions sportives ou un jeu vidéo.

Expérience au quotidien

Audio

Le système audio intégré du QN90F s’en sort honorablement. Il conserve une bonne clarté dans les dialogues, même à bas volume, et parvient à donner une certaine ampleur aux bandes-son sans recourir à une barre de son. Néanmoins, les amateurs de son immersif noteront l’absence de haut-parleurs verticaux, ce qui limite le rendu 3D pour les contenus Dolby Atmos. Le rendu reste toutefois propre et suffisant sur ce système 4.2.2 de 60 W, pour une pièce au volume contenu, sans distorsion marquée ni agressivité dans les aigus, avec une restitution correcte pour les films, séries et jeux du quotidien.

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Ceux qui visent une expérience cinéma plus riche auront tout intérêt à compléter le téléviseur avec un système audio externe. Par ailleurs, comme les autres fabricants, Samsung met à l'honneur son système Q-Symphony, permettant de synchroniser le système audio du téléviseur avec une barre de son de la marque. Bien que cela plonge l'utilisateur dans un écosystème, ce qui a ses côtés positifs comme négatifs, il faut dire que le rendu gagne nettement en profondeur avec une barre de son comme la Samsung HW-Q995F.

Interface et fonctionnalités

Tizen continue d’évoluer, doucement mais sûrement. L’interface gagne en lisibilité grâce à des éléments de design inspiré de OneUI. L’ergonomie est efficace, les menus répondent rapidement, et les fonctions sont bien catégorisées, notamment via la barre latérale qui regroupe les réglages récents.

Tizen a bénéficié d'une refonte avec des éléments inspirés de OneUI. © Matthieu Legouge

L'Art Store est maintenant disponible sur l'ensemble des téléviseurs Samsung… sauf sur les OLED (par crainte du burn-in ?)

La télécommande reste minimaliste, toujours dépourvue de rétroéclairage, mais agréable à l’usage. Parmi les nouvelles fonctionnalités de Tizen, on retient surtout Live Translate, qui permet de traduire en direct des contenus télévisés (TNT, chaînes hertziennes) sans connexion internet, à condition d’avoir préchargé les langues souhaitées.

La télécommande reste fidèle à elle-même : minimaliste, pratique, mais sans rétroéclairage. © Matthieu Legouge

Autre fonction intéressante : Click to Search, qui affiche en surimpression des informations sur un film ou une série en cours de lecture, en un clic. Enfin, le Mode AI permet d’adapter automatiquement les réglages d’image selon les types de contenus, après une première configuration manuelle. Autant de nouveautés sur lesquelles nous sommes revenus en détail avec un article dédié, ci-dessous.

Gaming

Samsung continue d’offrir une proposition très solide pour les joueurs. Le QN90F coche toutes les cases : compatibilité HDMI 2.1 complète (VRR, ALLM, 4K à 120 Hz), support d’AMD FreeSync Premium Pro, et une fréquence maximale qui grimpe à 165 Hz pour ceux qui ont la chance d'avoir un PC suffisamment équipé pour le jeu en 4K.

L'input lag sur le Samsung QN90F
Mode JeuMode Standard
Input lag mesuré (à 60 Hz)9,6 ms89,2 ms

L’interface gaming reste particulièrement claire, avec l’optimiseur de jeu qui permet d’adapter les réglages selon le genre (FPS, RTS, etc.). L’input lag est extrêmement bas, garantissant une réactivité idéale pour les titres compétitifs.

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À noter également la bonne compatibilité avec les consoles actuelles (PS5, Xbox Series X) et l’intégration fluide des plateformes cloud gaming proposées via le Samsung Gaming Hub.

Consommation électrique

Le QN90F s’inscrit dans la continuité des efforts engagés par Samsung pour améliorer l'efficacité énergétique de ses téléviseurs Mini-LED. La dalle WHVA et la gestion dynamique de la luminosité contribuent à mieux répartir la consommation selon les scènes affichées.

Avec notre protocole habituel, nous constatons que le téléviseur se montre raisonnable pour un modèle MiniLED. Cela dit, la consommation monte en flèche suivant le mode d'image et la luminosité affichée. Toujours est-il que sur une mire blanche de 10 % calibrée à 150 cd/m², le Samsung QN90F affiche une consommation relative d’environ 42,3 W/m². Un résultat plus que correct pour un téléviseur MiniLED.

Design et connectiques

Pas de grandes surprises en matière de design, le QN90F reprend un châssis fin semblable à celui de son prédecesseur, des bords discrets et un pied central qui assure une bonne stabilité. Finalement, un téléviseur qui s’intègre facilement dans un salon, notamment avec une fixation murale qui donne un effet moins "proéminent" que d'autres modèles MiniLED passés par la rédaction.

© Matthieu Legouge
© Matthieu Legouge

En revanche, vous vous doutez bien que Samsung réserve toujours le boîtier One Connect à ses modèles les plus hauts de gamme, comme le QN900D. Ici, toute la connectique est intégrée directement à l’arrière du téléviseur. On y retrouve un ensemble complet : quatre HDMI 2.1, ports USB, Ethernet, sortie optique, ainsi que les prises antenne et satellite. La connectivité sans fil est quant à elle assurée par le Wi-Fi 6 et le Bluetooth 5.2.

© Matthieu Legouge

Test Samsung QN90F : l'avis de Clubic

Conclusion
Note générale
8 / 10

Le QN90F ne révolutionne pas la gamme Neo QLED de Samsung, mais il consolide sa position en tant que valeur sûre du segment MiniLED. Avec un filtre antireflet d’une efficacité redoutable, une luminosité de pointe impressionnante, un traitement HDR globalement bien maîtrisé et une interface Tizen toujours plus fluide, ce téléviseur affiche un niveau de maturité certain. Son nouveau processeur NQ4 AI Gen3 assure une mise à l’échelle propre et rapide, tandis que les options gaming, complètes, en font un modèle polyvalent pour tous les usages.

Tout n’est pas parfait pour autant. Le manque de support Dolby Vision reste un frein pour beaucoup et la gestion du signal HDR, bien que convaincante, s’éloigne parfois d’une reproduction fidèle avec un surplus de luminance dans les zones sombres. On regrette aussi l’absence du boîtier One Connect, réservé aux modèles plus haut de gamme, alors même que ce QN90F s'affiche à un tarif plus élevé que celui de ses principaux concurrents. 

Malgré cela, le QN90F s’impose comme l’un des meilleurs téléviseurs MiniLED de cette première moitié de 2025. Un choix solide pour les utilisateurs à la recherche d’un téléviseur lumineux, performant et polyvalent, en particulier dans un salon lumineux ou une pièce de vie animée.

Les plus
  • Excellents niveaux de luminosité et contraste
  • Colorimétrie précise en SDR comme en HDR (Delta E < 2)
  • Filtre antireflet "Glare Free" ultra-efficace
  • Expérience gaming complète
  • Une interface Tizen qui s'améliore
  • Consommation électrique maîtrisée
Les moins
  • Toujours pas de Dolby Vision ni de DTS chez Samsung
  • Couverture colorimétrique limitée face aux QD-OLED
  • Gestion HDR un peu trop "punchy"
  • Léger blooming perceptible
  • Rendu Atmos limité
Sous-notes
Design et connectiques
8
Qualité d'image
8
Qualité audio
8
Gaming
9
Expérience connectée
9
Consommation électrique
9

Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde Calibrite Display Plus HL et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.

Fiche technique Samsung QN90F

Résumé
Diagonale65 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranMini-LED
Compatibilité HDRHLG, HDR10, HDR10+
Fréquence de rafraîchissement165 Hz
Puissance des haut-parleurs (watts)60
Système d'exploitationTizen
Indice de réparabilité8.1
Affichage
Diagonale65 pouces
Résolution d'écran3840 x 2160 pixels - 4K UHD
Technologie d'écranMini-LED
Type de dalleVA
Type de rétroéclairageMini LED
Processeur vidéoNQ4 AI Gen3
Compatibilité HDRHLG, HDR10, HDR10+
Fréquence de rafraîchissement165 Hz
AutresMode Filmmaker
Audio
Puissance des haut-parleurs (watts)60
Nombre de haut-parleurs8
Dolby AtmosOui
DTS:XNon
Synchronisation audioQ-Symphony
Connectique
Nombre de ports HDMI4
Standard HDMIHDMI 2.1
ARC / eARCARC, eARC
ALLMOui
Synchronisation dynamiqueVRR
Autres entrées2 x USB 2.0 (Type A), 1x Ethernet, 3x Antenne TV
Autres sorties1x optique (SPDIF), 1x HDMI ARC/ eARC
Autres fonctionsCEC
Connectivité
Système d'exploitationTizen
BluetoothOui
Norme Bluetooth5.2
Wi-FiOui
Norme Wi-Fi6 (AX)
Assistant vocalGoogle Assistant, Alexa, Bixby
Airplay 2Oui
InteropérabilitéSmartThings
Caracteristiques physiques
Compatibilité VESAOui
Consommation électrique
Classe énergieF | G (HDR)
Durée de vie
Indice de réparabilité8.1

Les meilleures alternatives au Samsung QN90F

Parmi les alternatives au Samsung QN90F dans l’univers des téléviseurs Mini LED, on retrouve les modèles TCL C8K et TCL C9K, équipés d’un rétroéclairage Mini LED avec local dimming, de dalles VA à fort contraste natif, ainsi que d’une connectique HDMI 2.1 (avec VRR, ALLM et 4K à 120 Hz).

Du côté des tarifs plus accessibles, l'Hisense U8Q repose sur une dalle VA Mini LED avec local dimming sur plusieurs centaines de zones, une compatibilité complète HDR (HDR10+, Dolby Vision IQ), et une interface animée par VIDAA U. Enfin, le Sony Bravia 9 s’appuie sur une dalle VA Mini LED associée au processeur Cognitive Processor XR, avec un système de rétroéclairage XR Backlight Master Drive, un revêtement antireflet développé par Sony, et des fonctions avancées de mappage de ton HDR. Tous ces modèles intègrent des fonctionnalités gaming poussées, une connectique HDMI 2.1, et se positionnent sur des segments tarifaires différents, selon les priorités d’usage.

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