
Avec son U8Q, Hisense affiche clairement ses ambitions. Ce téléviseur MiniLED, vitrine technologique de la marque pour 2025, s’attaque frontalement aux ténors du marché comme les Samsung QN90F, TCL C89K ou Sony Bravia 9. Et il ne manque pas d’arguments : luminosité record, dalle 165 Hz, connectique complète, compatibilité HDR exhaustive et système audio optimisé par Devialet. Nous avons passé plusieurs semaines avec la version 65 pouces de ce téléviseur. L'heure est au verdict.
- Luminosité record, idéale pour l'HDR
- Rétroéclairage MiniLED dense, peu de blooming
- Très bon contraste natif
- Compatibilité HDR complète
- Excellent en jeu : input lag, VRR, HSR
- Système audio optimisé par Devialet
- Connectique généreuse avec USB-C vidéo
- Suivi logiciel annoncé sur 8 ans
- Revêtement brillant sensible aux reflets
- Quelques écarts colorimétriques en sortie de carton
- Blooming encore visible dans certains cas
- Audio manquant légèrement de basses
Positionné en haut de la gamme du constructeur, l'Hisense U8Q succède au U8NQ et s’inscrit comme l’alternative grand public au très haut de gamme Hisense UX. Proposé dans des diagonales allant de 55 à 100 pouces, il ambitionne de démocratiser encore un peu plus la technologie MiniLED, tout en répondant à la plupart des usages que l'on peut attendre d'un téléviseur de nos jours. Ce modèle symbolise aussi la montée en puissance d’Hisense sur le marché européen, où la marque chinoise gagne chaque année du terrain.
Ce test est valable pour les modèles Hisense 65U8Q, 85U8Q et 100U8Q. Les modèles Hisense 55U8Q et 85U8Q sont quant à eux équipés de dalles ADS (dérivées de l'IPS), le test n'est donc pas valable pour ces deux variantes. Hisense nous précise tout de même que l'ensemble des modèles de cette gamme ont été certifiés par Pantone.

Performances et qualité d'image :
Nos mesures
L'U8Q représente une belle montée en puissance sur le MiniLED pour Hisense. Le constructeur chinois cherche ici à affiner sa maîtrise du rétroéclairage MiniLED, en proposant une solution plus dense que sur les modèles précédents. Le téléviseur embarque une dalle VA 10 bits (native 120 Hz, boostée à 165 Hz), associée à un rétroéclairage Full Array composé de plus de 2000 zones sur le modèle 65 pouces, et jusqu’à plus de 6000 zones sur le modèle 100 pouces. Ce maillage extrêmement fin permet une meilleure gestion des contrastes, une réduction visible du blooming, et une précision accrue dans le contrôle des hautes lumières, mais aussi et surtout, une luminosité record, comme nous l'avions déjà évoqué lors de nos premières impressions sur l'Hisense U8Q.
Pour cause, en poussant les curseurs de luminosité (SDR, mode Filmmaker, fenêtre de 10 %), nous mesurons le pic lumineux à pas moins de 3 793 cd/m² ! Le résultat est encore plus haut avec le mode dynamique qui culmine à 4 498 cd/m², au prix d'une image loin d'être fidèle malgré tout. En bref, même s'il sera rarement utile de pousser la luminosité jusqu'à ce point, ces mesures montrent que l'U8Q disposent de capacités plus que solides pour un visionnage en pleine journée, notamment par le biais d'une adaptation automatique grâce au capteur de lumonosité intégré.
En bref : nos mesures sur l'Hisense U8Q | |
Luminosité minimale | 66 cd/m² |
Pic lumineux SDR (APL 10 %) | 3 793 cd/m² |
Pic lumineux HDR (APL 10 %) | 3 468 cd/m² |
Pic Lumineux HDR (APL 100 %) | 797 cd/m² |
Contraste natif | 8322:1 |
Température de couleurs | 6 842 K |
Delta E moyen / max SDR | 2.53 / 6.35 |
Delta E moyen / max HDR | 2.33 / 8 |
Le tableau ci-dessus présente un bref résumé des mesures que nous avons réalisées avec notre sonde Calibrite Display Plus HL et le logiciel Calman Ultimate sur cet Hisense U8Q. Pour découvrir notre analyse complète, ses courbes et ses graphiques, nous vous invitons à déplier les deux sections ci-dessous.
Cliquez ici pour voir nos mesures SDR
En sortie de carton, avec son mode Filmmaker, l'Hisense U8Q confirment un calibrage d’usine très correct, mais perfectible. L'échelle de gris montre quelques écarts sur les hautes lumières, néanmoins imperceptibles à l’œil nu. a température moyenne des couleurs est mesurée à 6842 K, ce qui reste proche de la référence D65 (6500 K), avec une balance RVB relativement stable malgré une sous-représentation du rouge à mesure que la luminance augmente. Le gamma moyen à 2,52 suggère une image un peu plus sombre dans les tons moyens, ce qui favorise le contraste perçu. Globalement, le rendu SDR est satisfaisant dès la sortie de carton, et ne nécessitera un calibrage qu’aux plus exigeants.
Le soin apporté au calibrage se vérifie également sur la fidélité des couleurs, excellente dans l'ensemble avec un Delta E moyen de 2.53. Quelques dérives sont constatées (au-dessus de la ligne jaune), mais contenues toutefois, excepté sur le blanc avec une valeur maximale qui pointe à 6.35.
La suite de nos mesures en HDR
L'Hisense U8Q fait clairement honneur aux contenus HDR, aussi bien par les capacités de son rétroéclairage MiniLED, avec une gestion très propre de la luminosité, qu'au niveau de sa compatibilité. Il accepte en effet tous les signaux HDR, qu'il s'agisse d'HDR10, d'HDR10+ (et Adaptive), du Dolby Vision (et Dolby Vision IQ), ou encore du HLG et HGiG.
On retrouve un comportement similaire à précédemment en matière de colorimétrie ; c'est-à-dire un point blanc dans les choux pour un ensemble très correct pour le reste.
La gestion du signal en HDR est tout simplement excellente sur l'Hisense U8Q. En envoyant un signal avec une balise MaxCLL de 10 000 cd/m², on s'aperçoit que le tone mapping est parfaitement maîtrisé : la courbe EOTF colle étroitement à la courbe de référence PQ, tandis que la luminance suit une progression naturelle jusqu’au pic mesuré à 3468 cd/m², sans écrêtage brutal ni dérive. Les hautes lumières sont ainsi rendues avec un niveau de détail remarquable, tout en préservant les informations dans les zones très claires.
Ci-dessus, la courbe de luminance en fonction de la taille de la mire diffusée (de 1 à 100 %), montre que le téléviseur témoigne d’un contrôle dynamique efficace du rétroéclairage, qui ajuste progressivement la puissance lumineuse pour éviter les effets de blooming ou de surchauffe. Le pic est atteint à 10 % avec plus de 3600 cd/m², mais la luminosité reste élevée même sur des mires plus larges : près de 1400 cd/m² à 50 %, et encore près de 800 cd/m² en plein écran. Cela permet au Hisense U8Q de préserver l’impact visuel des contenus HDR, même lorsque de larges zones lumineuses occupent l’image.
Grâce au Quantum Dots, la palette de couleurs est très satisfaisante sur ce téléviseur, avec une couverture de 79,6 % de l'espace BT.2020 et 97 % de l'UHDA-P3. Bien sûr, l'OLED reste devant sur ce point, de manière assez légère pour les dalles W-OLED (81 % BT.2020 sur le LG OLED G5), et plus marquée pour les dalles QD-OLED (87 % BT.2020 sur le Samsung S95F).
Pour en savoir plus sur la manière dont nous testons les téléviseurs chez Clubic, consultez notre protocole de test ci-dessous.
Nos impressions sur le rendu à l'image
Il n’y a pas besoin de scènes spectaculaires pour comprendre que l’Hisense U8Q maîtrise son sujet. Dès les premières minutes sur un programme HDR comme Dune: Part Two ou 1917, deux œuvres que nous diffusons sur chaque téléviseur testés, on remarque immédiatement à quel point le contraste est sculpté, les hautes lumières gérées avec retenue, et la densité des noirs surprenante pour un téléviseur LCD.
La dalle VA joue un rôle central ici, avec une capacité à contenir la lumière dans les zones sombres tout en accentuant la profondeur, sans artifice. Et surtout, Hisense a sensiblement progressé sur un point souvent critiqué dans ses précédentes générations : le contrôle du blooming. Certes, il est toujours perceptible, mais surtout sur les éléments de menus et d'interfaces qui s'affichent parfois de manière trop lumineuse et éclatante. Pour le reste, les halos lumineux sont fort limités, y compris autour des sous-titres ou dans des scènes délicates avec des objets lumineux sur fonds très sombres, comme dans la série The Expanse par exemple.
L’intensité lumineuse est telle qu’on pourrait croire à une démo de magasin. Pourtant, l’image ne bascule jamais dans une surbrillance agressive. Le rendu HDR profite pleinement du rétroéclairage MiniLED avec plus de 2000 zones de gradation locales, ce qui débouche sur une sensation de relief bien marquée, même dans les contenus compressés. Sur des plans en extérieur ou très éclairés, comme dans Top Gun: Maverick, les pics lumineux donnent du relief aux reflets sur les surfaces métalliques, ou aux explosions, sans sacrifier le reste de la scène.
L’expérience cinéma dans une pièce sombre est très convaincante, assez spectaculaire sans trop en faire non plus. En revanche, le choix d'un revêtement brillant pour cette dalle laisse à désirer, quand bien même l'U8Q propose une luminosité très élevée. Le positionnement du téléviseur joue un rôle primordial pour ne pas sacrifier l'image en journée, comme dans notre configuration ci-dessous où les reflets en provenance de notre fenêtre se répercutent sur une zone assez large de l'image.
Pour finir, notez que cet Hisense U8Q s’appuie sur un nouveau processeur maison, le Hi-View Engine Pro, qui montre quelques progrès en matière de traitement d’image. La mise à l’échelle des contenus Full HD vers la 4K est propre, sans excès de netteté artificielle, même si le lissage est parfois visibles sur des sources compressées. Les progrès sont plus subtils sur la gestion de mouvements. Dans l'ensemble, les travellings restent fluides, avec un effet de judder réduit sur les contenus 24p. Néanmoins, il est nécessaire d'activer la compensation de mouvements pour obtenir ces résultats. Sa désactivation entraine l'apparition de saccades, heureusement, le rendu reste naturel et évite l'effet soap opera avec un réglage doux.
Expérience au quotidien
Audio
L’Hisense U8Q a la chance d'être l'un des premiers de la marque a profiter du travail de Devialet. Depuis l'annonce du partenariat entre l'expert français de l'audio et Hisense, on attendait avec impatience de voir les premiers produits issus de cette colaboration, c'est chose faite désormais. L'U8Q s'appuie sur système 4.1.2 avec des haut-parleurs frontaux, latéraux et verticaux, mais aussi deux woofers logés à l’arrière du châssis.
Le téléviseur parvient ainsi à délivrer un son ample et bien défini, avec une restitution étonnamment riche pour un modèle intégré. Les voix ressortent clairement, sans nécessiter de monter le volume, même dans les dialogues chargés en effets sonores comme ceux d'Oppenheimer ou encore Le loup de Wall Street. La scène sonore se trouve plutôt large, avec une spatialisation Atmos qui fonctionne. Les effets verticaux ne rivalisent pas avec ceux d’une vraie barre de son dédiée, mais ils créent une bulle sonore crédible, à condition de ne pas être positionnés trop loin du téléviseur dans une grande pièce.
Côté basses, l'U8Q reste mesuré. Les graves sont propres, plutôt sec, qui manque de profondeurs pour ceux habitués à un caisson dédié. Cela dit, si le téléviseur est adossé à un mur, les woofers arrière gagnent en efficacité et offrent une base sonore plus enveloppante.
Enfin, la fonction Hi-Concerto permet d’utiliser l'U8Q comme canal central dans un écosystème audio Hisense compatible. Une option intéressante, même si elle reste pour l’instant limitée à ceux qui investissent déjà dans d’autres produits audio de la marque.
Interface et fonctionnalités
L’Hisense U8Q embarque la dernière version du système maison d'Hisense, à savoir Vidaa. L'interface reste fidèle à sa structure d’origine, mais continue d’évoluer pour devenir plus ergonomique et plus fluide. La navigation est rapide et nous n'avons noté que peu de latence entre les menus, un point sur lequel Vidaa avait parfois du retard face à Google TV ou Tizen. Ici, tout est bien réactif, même lors du multitâche ou des accès directs à des applications lourdes comme Netflix ou YouTube.
Côté applications, l'U8Q coche toutes les cases ou presque : Netflix, Prime Video, YouTube, Disney+, Apple TV+, MyCanal, mais aussi Molotov, Arte, France.tv et ainsi de suite. Parmi les nouveautés, Hisense a également ajouté Twitch à son catalogue d'applications cette année. On apprécie également la compatibilité AirPlay 2 et HomeKit pour les utilisateurs Apple, ainsi qu'Alexa et Google Assistant intégrés, accessibles via le micro de la télécommande ou via une enceinte externe.
Bonne nouvelle pour les familles : Vidaa Kids propose désormais des contenus localisés en français, ce qui n’était pas le cas l’an dernier lors de notre test du U8NQ. On y retrouve un environnement sécurisé avec profils enfants, notamment avec la possibilité de paramétrer une durée de visionnage paramétrable. L’ajout de contenus en français rend enfin cette section pertinente pour un usage familial quotidien.
Enfin, on note la prise en charge du Wi-Fi 6, du Bluetooth 5.1, et une excellente gestion des mises à jour logicielles. Hisense a en effet annoncé, en février dernier, un suivi prolongé sur ses téléviseurs avec pas moins de 8 ans de support logiciel.
Gaming
Hisense ne se contente pas d’un mode jeu sommaire ! Avec l'U8Q, la marque propose une expérience complète, à la hauteur des exigences des joueurs sur console comme sur PC. La dalle peut ainsi monter à 165 Hz, en 4K, ce qui assure une fluidité très correcte pour un téléviseur. À cela s’ajoute la compatibilité avec tous les standards actuels : VRR (Variable Refresh Rate), ALLM, FreeSync Premium Pro, mais aussi G-Sync Compatible, même si ce dernier n’est pas officiellement certifié.
L'input lag sur l'Hisense U8Q | ||
Mode Jeu | Mode Standard | |
Input lag mesuré (à 60 Hz) | 12.9 ms | 21.2 ms |
Dès qu’une console est détectée, le mode Jeu s’active automatiquement. L’input lag est mesuré à 12,9 ms à 60 Hz avec le mode jeu, et à est mesuré à 21,9 ms lorsque le mode jeu n'est pas actif, ce qui place l’U8Q dans le haut du panier parmi les téléviseurs LCD. La réactivité est excellente, même dans les FPS nerveux comme Call of Duty ou Fortnite, et la dalle montre une très bonne maîtrise des mouvements rapides, même si l'on est pas à l'abri d'un léger ghosting.
Le téléviseur prend également en charge un mode HSR (Hardware Super Resolution) à 288 Hz à 1080p ou 1440p, utilisable sur PC via HDMI 2.1 — une fréquence qui offre une belle sensation de fluidité en jeu, à condition d’avoir une machine capable de la soutenir. À noter qu’un port USB-C compatible DisplayPort Alt Mode est aussi présent, ce qui élargit les options de connexion pour les joueurs, en revanche, le HSR n'est pas effectif via cette connectique.
Consommation électrique
En termes de rendement énergétique, l’Hisense U8Q affiche une consommation relative d’environ 61 W/m², ce qui reste dans la moyenne des téléviseurs Mini LED haut de gamme. Ce score reflète une bonne maîtrise du rétroéclairage, avec un téléviseur qui s’inscrit ainsi dans une tendance d’optimisation de la consommation visible chez les constructeurs cette année.
Design et connectiques
Avec l’U8Q, Hisense renouvelle son approche du design pour son téléviseur MiniLED. Sobre, bien finie, avec un châssis élégant, une façade sans fioritures et un cadre fin qui lui donne belle allure. En revanche, on est loin de la finesse d'une dalle OLED, simplement en raison de la générosité du rétroéclairage MiniLED et du système audio sur ce modèle.
Le pied central adopte une structure en forme de trapèze inversé, avec un fini métallique brossé. Solide et stable, il permet une installation sur la plupart des meubles TV, tout en laissant suffisamment d’espace pour poser une barre de son en dessous. À noter toutefois que ce pied occupe une largeur non négligeable, ce qui demandera un meuble relativement profond.
À l’arrière, le téléviseur adopte un dos en plastique texturé assez banal. La finition générale inspire confiance, avec un assemblage net et sans jeu.
Côté connectique, l’Hisense U8Q ne fait pas dans la demi-mesure. On y retrouve les indispensables pour un usage moderne et exigeant : quatre entrées HDMI, dont deux HDMI 2.1, capables de gérer la 4K jusqu’à 165 Hz, le VRR ou encore le retour audio eARC. Deux ports USB-A sont également présents (USB 3.0 et USB 2.0) et à cela s’ajoutent les classiques : prise antenne, port Ethernet, sortie optique S/PDIF, et une entrée composite.
Mais c’est surtout la présence d’un port USB-C compatible DisplayPort Alt Mode qui retient l’attention. Rares sont les téléviseurs à proposer ce type d’entrée vidéo, directement exploitable par un ordinateur portable, entre autres. Ici, pas besoin d’adaptateur HDMI, tout passe par un simple câble USB-C. C’est une vraie valeur ajoutée pour obtenir une configuration rapide et directe, sans compromis sur la qualité d’image.
Test Hisense U8Q : l'avis de Clubic
C'est simple, Hisense signe l’un de ses téléviseurs MiniLED les plus aboutis à ce jour avec l'U8Q. Le constructeur franchit un cap en livrant une image percutante, maîtrisée et surtout d’une luminosité exceptionnelle, qui rivalise sans rougir avec les références de marques concurrentes. Grâce à une dalle bien exploitée, un rétroéclairage finement géré et une couverture HDR exhaustive, le U8Q s’impose comme un excellent choix pour qui recherche un LCD performant, aussi à l’aise en home cinéma qu’en usage gaming.
L’expérience est d’autant plus complète que le téléviseur soigne l’audio, propose une connectique ultra complète – avec un rare port USB-C vidéo – et embarque un OS Vidaa de plus en plus fluide et pertinent. Certes, quelques concessions subsistent : revêtement brillant perfectible, blooming discret mais toujours présent, et un traitement d’image encore un cran en dessous des ténors du marché. Mais au prix auquel il est proposé, ce U8Q représente tout simplement l’un des meilleurs rapports qualité/performances de 2025 dans sa catégorie.
- Luminosité record, idéale pour l'HDR
- Rétroéclairage MiniLED dense, peu de blooming
- Très bon contraste natif
- Compatibilité HDR complète
- Excellent en jeu : input lag, VRR, HSR
- Système audio optimisé par Devialet
- Connectique généreuse avec USB-C vidéo
- Suivi logiciel annoncé sur 8 ans
- Revêtement brillant sensible aux reflets
- Quelques écarts colorimétriques en sortie de carton
- Blooming encore visible dans certains cas
- Audio manquant légèrement de basses
Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde Calibrite Display Plus HL et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.
Fiche technique Hisense U8Q
Diagonale | 55 pouces |
Résolution d'écran | 3840 x 2160 pixels - 4K UHD |
Technologie d'écran | QLED |
Compatibilité HDR | HLG, HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, Dolby Vision IQ |
Fréquence de rafraichissement maximal | 165 Hz |
Puissance des haut-parleurs (watts) | 70 |
Système d'exploitation | Vidaa |
Diagonale | 55 pouces |
Résolution d'écran | 3840 x 2160 pixels - 4K UHD |
Technologie d'écran | QLED |
Type de dalle | ADS |
Type de rétroéclairage | Mini LED |
Processeur vidéo | AI Hi-View Engine Pro MT9655 (Quad Core) |
Compatibilité HDR | HLG, HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, Dolby Vision IQ |
Fréquence de rafraichissement maximal | 165 Hz |
Autres | Mode Filmmaker |
Puissance des haut-parleurs (watts) | 70 |
Nombre de haut-parleurs | 7 |
Dolby Atmos | Oui |
DTS:X | Oui |
Nombre de ports HDMI | 3 |
Standard HDMI | HDMI 2.1 |
ARC / eARC | eARC |
ALLM | Oui |
Synchronisation dynamique | VRR, FreeSync |
Autres entrées | 1x USB-C, 2x USB-A |
Autres sorties | 1x optique (SPDIF), 1x casque |
Autres fonctions | CEC |
Système d'exploitation | Vidaa |
Bluetooth | Oui |
Norme Bluetooth | 5.3 |
Wi-Fi | Oui |
Norme Wi-Fi | 6 (AX) |
Assistant vocal | Google Assistant, Alexa, Vidaa Voice |
Airplay 2 | Oui |
Homekit | Oui |
Hauteur | 788mm |
Largeur | 1,229mm |
Profondeur | 290mm |
Poids | 22.9kg |
Pied amovible | Oui |
Hauteur (sans pied) | 714mm |
Largeur (sans pied) | 1,229mm |
Profondeur (sans pied) | 47mm |
Poids (sans pied) | 17.9kg |
Compatibilité VESA | Oui |
Consommation normale | E |
Consommation en veille | 0.5 W |
Classe énergie | 64 W |