
Sur le segment des TV "premium", l’OLED s’est imposé au fil des années. Mais, alors qu’on n’attendait plus vraiment la technologie LCD à ce niveau, les dalles MiniLED sont montées en puissance, en promettant une alternative plus lumineuse, tout aussi riche en couleurs… et surtout plus accessible. C’est dans ce contexte que TCL s’est démarqué, misant sur l’innovation tout en conservant des prix bien plus compétitifs que ceux des géants coréens ou japonais. En 2024, le C89B avait marqué les esprits. En 2025, la relève s’appelle C89K.
- Le record du plus haut pic lumineux !
- Très bon rendu HDR
- Gestion de mouvements et upscaling en progrès
- Des effets de blooming qui restent contenus
- Expérience gaming solide
- Audio au-dessus de la moyenne
- La colorimétrie SDR pourrait être plus précise
- Blooming toujours présent dans certains cas
- Revêtement sensible aux reflets
- Seulement deux ports HDMI pleinement compatibles 2.1
Ce test a été réalisé sur un modèle de 65 pouces prêté par la marque
Derrière ce nouveau téléviseur (également connue sous le nom C8K selon les distributeurs) TCL promet une évolution en profondeur : dalle QD-Mini LED de 7ᵉ génération, pic de luminosité encore en hausse, design plus immersif et collaboration audio renforcée avec Bang & Olufsen. Le tout décliné en cinq diagonales, de 55 à 98 pouces, pour couvrir tous les usages. De quoi viser haut, très haut, sans renier l’ADN de la marque en offrant une expérience premium à prix contenu. Après un C89B très réussi l'an passé, nous avions hâte de tester cette nouvelle référence. Voici notre verdict.
TCL C89K : performances et qualité d'image
Nos mesures
Le TCL C89K repose sur une dalle VA associée à un rétroéclairage QD-Mini LED de 7ᵉ génération, avec un local dimming que l'on peut qualifier de granulaire (1 680 zones sur ce modèle de 65 pouces). TCL mise ici sur une technologie maison baptisée « Crystglow » (WHVA), censée offrir un meilleur compromis entre contraste, gestion du blooming et angles de vision. Le tout est piloté par un traitement vidéo remanié, qui promet une meilleure maîtrise du tone mapping en HDR, une montée plus douce dans les hautes lumières et une calibration plus neutre sur les modes dédiés au cinéma, rappelons d'ailleurs que TCL propose désormais un mode Filmmaker sur ses téléviseurs.
En bref : nos mesures sur le TCL C8K | |
Mode "Filmmaker" | |
Pic lumineux SDR (APL 10 %) | 662 cd/m² |
Pic lumineux HDR (APL 10 %) | 5 107 cd/m² |
Pic Lumineux HDR (APL 100 %) | 672 cd/m² |
Contraste natif | 4 697:1 |
Température de couleurs | 6 610 K |
Delta E moyen / max SDR | 3.18 / 7.16 |
Delta E moyen / max HDR | 1.99 / 9.37 |
Nous avons donc vérifié ces promesses à l’aide de notre sonde Calibrite Display Plus HL et du logiciel Calman Ultimate, en mode Filmmaker.
Cliquez ici pour voir nos mesures SDR
Dès l’activation du mode Filmmaker, le TCL C89K affiche une image globalement fidèle, même si on note quelques écarts en SDR. La température de couleurs s’établit à 6 610 K, très proche de la norme de référence (6 500 K), et le gamma suit correctement la courbe avec une moyenne de 2,44.
Côté colorimétrie SDR, on reste un peu au-dessus du seuil de perceptibilité avec un delta E moyen de 3,18 et un maximum à 7,16 (avec un pic important sur le blanc). Ce ne sont pas des écarts rédhibitoires, mais ils montrent que le mode Filmmaker mériterait sans doute une calibration plus poussée pour les utilisateurs les plus exigeants.
La suite de nos mesures en HDR
Le TCL C89K prend en charge l’ensemble des formats HDR du marché, à savoir HDR10, HDR10+, HLG, Dolby Vision et Dolby Vision IQ. Cette polyvalence lui permet de restituer correctement les métadonnées dynamiques des services de streaming comme celles des Blu-ray Ultra HD ou d'autres plateformes.
Avec un signal HDR, le C89K s’illustre par une prestation très convaincante. Le delta E chute à 1,99 en moyenne, signe d’une très bonne fidélité colorimétrique sur les contenus à large gamme dynamique (hormis une nouvelle fois un pic sur le blanc).
Le tone mapping est précis, avec une courbe EOTF bien calée et un comportement stable jusqu’à environ 80 % de la luminance cible. En revanche, TCL propose diverses options dans les menus de ce téléviseur pour modifier le comportement en HDR. Nous avons ainsi le droit à une fonction "Boost" qui permet d’augmenter ponctuellement la puissance lumineuse sur les hautes lumières.
Cette option autorise le téléviseur à dépasser temporairement les 5 000 cd/m² (nous mesurons 5 107 cd/m²) sur certaines scènes, mais son effet ne semble permanent, probablement pour des raisons thermiques, bien que TCL ne communique pas précisément sur la manière dont cette fonction est gérée. Une approche spectaculaire que nous recommandons, mais il faut savoir que le tone mapping sera plus précis en sélectionnant, par exemple, l'option "Fort" pour la luminosité avec "priorité aux détails", qui octroie cette fois-ci un pic lumineux que nous mesurons à 2 623 cd/m² (et 3 114 cd/m² avec l'option "priorité à la luminosité").
Sur toute la plage de mesure (de 1 % à 100 % de la surface), le téléviseur conserve une bonne tenue, même si l’on observe une chute logique en plein écran, avec une valeur mesurée à 672 cd/m². Cela reste relativement élevé pour du MiniLED, certains font toutefois un peu mieux, à l'image de l'Hisense U8Q sur lequel nous avions relevé un pic lumineux de près de 800 cd/m² en plein écran.
La couverture colorimétrique est également solide, avec des résultats très proches des meilleures dalles QLED : environ 98 % de l’espace DCI-P3 et plus de 79 % du Rec. 2020 selon nos relevés.
Pour en savoir plus sur la manière dont nous testons les téléviseurs chez Clubic, consultez notre protocole de test ci-dessous.
Nos impressions sur le rendu à l'image
Comme nous l'avons vu avec nos mesures, le TCL C89K affiche clairement ses ambitions. Ce téléviseur MiniLED vise une image spectaculaire, avec une puissance lumineuse qui se ressent immédiatement, notamment sur les contenus HDR les plus dynamiques. Nos habituels extraits de 1917, Blade Runner 2049 ou encore Top Gun: Maverick permettent de confirmer ce premier sentiment : l’image déborde d’intensité, sans tomber dans la surenchère, à condition de rester dans les modes dédiés au cinéma.
En HDR, le mode Filmmaker se distingue comme le plus équilibré. Il restitue des hautes lumières ciselées, sans brûler les détails, avec un très bon équilibre dans les zones sombres. Sur les visages en contre-jour, les sources de lumière, ou les reflets métalliques, le rendu est net et précis, assez impressionnant pour un LCD. Les zones lumineuses conservent une vraie densité, avec un comportement homogène d’un plan à l’autre. La sensation de relief est bien présente, et le rendu général évoque parfois, à juste titre, une esthétique proche de certains modèles OLED haut de gamme… sans égaler leur précision dans les noirs, bien entendu.
Le contrôle du blooming est bon, même si les halos lumineux peuvent encore se manifester dans des conditions extrêmes, par exemple, autour des sous-titres blancs sur fond noir. Mais globalement, TCL a bien progressé sur ce point. La nouvelle dalle WHVA, censée améliorer les angles de vision, tient ses promesses dans une certaine mesure. On perd un peu en contraste dès qu’on s’écarte de l’axe, mais l’affaiblissement est moins brutal que sur d’anciens modèles MiniLED du constructeur.
La mise à l’échelle des contenus SDR (comme du 1080p compressé) s’avère propre et maîtrisée. Les contours sont bien définis, sans excès de netteté, et les textures conservent un aspect organique. Les artefacts sont rares, et le traitement vidéo n’a pas tendance à lisser ou sur-accentuer l’image. Sur du contenu animé ou des films d’animation, la restitution est également convaincante, avec des aplats de couleur homogènes.
Côté fluidité, le C89K délivre une bonne prestation, que je trouve meilleure que sur les modèles des années précédentes. Les travellings de caméra restent stables dans la majorité des cas, et les effets de judder sont limités. Le système de compensation de mouvement peut être activé avec parcimonie (niveau bas) sans provoquer d’effet “soap opera” indésirable. En revanche, désactivé, il laisse parfois apparaître des saccades perceptibles sur les films en 24p.
Sur les contenus sportifs comme les matchs de football ou les courses automobiles, le téléviseur parvient à maintenir une image nette dans les mouvements rapides, à condition d’activer un minimum de traitement. On reste cependant sur une dalle LCD, avec un temps de réponse plus lent que celui des dalles OLED, il est donc logique de constater un léger flou sur les objets en mouvement rapide. Rien de rédhibitoire toutefois, d’autant que le rendu global conserve une bonne lisibilité et ne nuit pas à l’expérience sportive.
Enfin, le traitement antireflet reste perfectible. TCL opte ici pour un revêtement brillant, qui peut vite devenir un problème dans les environnements très lumineux. Comme vous pouvez le voir sur notre photo, on remarque bien la présence d'un meuble et des éléments qui sont posés dessus, alors que le téléviseur diffuse une scène sombre de Dune: Part Two. Il faut donc faire avec un effet miroir, qui rend une excellente image dans l'obscurité, mais qui peut poser problème en journée ou face à une source directe de lumière. Le positionnement du téléviseur par rapport aux fenêtres reste donc un critère important à prendre en compte pour en tirer le meilleur.
Expérience au quotidien
Audio
TCL met en avant son partenariat avec Bang & Olufsen sur ce C89K. Le système audio de ce téléviseur parvient ainsi à se montrer au-dessus de la moyenne de bon nombre de concurrents, et notamment des téléviseurs OLED qui intègre généralement moins de haut-parleurs pour conserver toute la finesse de la dalle.
La scène sonore est large, les voix restent intelligibles même à faible volume et les basses présentent une bonne assise. Par contre, il est clair qu'on ne remplace pas une barre de son haut de gamme, mais on peut sincèrement s’en passer pour une utilisation quotidienne.
Par ailleurs, sur les diagonales de 65 pouces et plus, TCL intègre un double woofer à l’arrière, ce qui apporte un surcroît de dynamique et de profondeur à la scène, que l'on ressent bien lors du visionnage de films d’action ou de concerts.
Enfin, n'oublions pas de préciser que TCL a fait preuve d'audace avec le C89K. C'est en effet le seul téléviseur à l'heure actuelle à être compatible Dolby Atmos FlexConnect. L’idée est simplement d'associer des enceintes sans fil au téléviseur, sans contrainte de placement, et laisser l’algorithme recalculer automatiquement le rendu pour créer un espace sonore cohérent. Pour l’instant, seules les enceintes TCL Z100 sont compatibles, mais il y a fort à parier que le Dolby Atmos FlexConnect sera une solution prisée à l'avenir.
Interface et fonctionnalités
Le TCL C89K se repose sur Google TV, qui propose une interface désormais bien rodée, à laquelle TCL ajoute sa propre surcouche pour une expérience plus complète. L’ensemble se montre fluide à l’usage avec peu de latence dans la navigation et un accès direct aux contenus fréquemment utilisés. Les menus ont légèrement été revus cette année, avec une structure plus logique, notamment grâce à une barre inférieure, un peu à l'image de celle des téléviseurs Sony, qui permet de basculer rapidement entre les sources, les réglages d’image, ou les modes spécifiques (cinéma, jeu, sport, etc.).
Google Assistant est bien sûr intégré, avec commande vocale via la télécommande. Alexa est aussi de la partie pour ceux qui préfèrent, et la compatibilité AirPlay 2, Miracast et Chromecast assure une diffusion simple depuis un smartphone ou un PC, peu importe l’écosystème.
La télécommande fournie avec le TCL C89K reprend le design introduit sur les modèles précédents avec un corps en métal brossé sur le dessus, du plastique à l’arrière et une prise en main agréable grâce à un format compact. Elle réduit le nombre de touches au strict nécessaire, tout en conservant les raccourcis vers les services de streaming les plus populaires (Netflix, YouTube, Prime Video). Le micro pour Google Assistant est intégré et, fun fact, TCL a oublié son idée de positionner les boutons de volume sur le côté de la télécommande (ce qui était le cas sur le C89B). Dommage toutefois qu’aucun système de rétroéclairage ni de batterie rechargeable ne soit proposé à ce stade.
Gaming
Le TCL C89K ne fait pas les choses à moitié côté jeu vidéo. Avec sa dalle 144 Hz, la prise en charge du VRR, de l’ALLM, de l’AMD FreeSync Premium et même un mode Game Accelerator capable de grimper jusqu’à 240 Hz (voire 288 Hz en 1080p), tout est là pour offrir une expérience de jeu ultra-fluide, que ce soit sur console nouvelle génération ou sur PC.
À l’usage, ça se traduit par une très bonne réactivité avec un input lag relativement bas. Bien sûr, comme précisé plus haut lorsque nous avons évoqué la fluidité avec les contenus sportifs, un flou de mouvement est parfois perceptible sur les objets en mouvement rapide.
L'input lag sur le TCL C8K | ||
Mode Jeu | Mode Standard | |
Input lag mesuré (à 60 Hz) | 13.4 ms | 135.1 ms |
Un petit bémol toutefois pour les joueurs les mieux équipés, puisque seuls deux des quatre ports HDMI sont pleinement compatibles avec la norme HDMI 2.1 (VRR, 144 Hz, eARC). Ça ne gênera pas tout le monde certes, mais cela obligera certains utilisateurs à jongler avec ces deux prises HDMI.
Consommation électrique
En suivant notre protocole habituel, qui consiste à relever la consommation électrique du téléviseur en diffusant une mire blanche (APL 10 %) calibrée à 150 cd/m², nous avons évalué la consommation relative de ce TCL C89K à 68,2 W/m².
Design et connectiques
Le TCL C89K affiche clairement ses ambitions haut de gamme. Son design évolue, tout en reprenant les codes des téléviseurs premium. Parmi les nouveautés, TCL innove avec une image qui occupe 100 % de la surface visible grâce à un design que la marque a baptisé “Zero Border”, presque sans bordures.
On retrouve ensuite un pied central ajustable en hauteur et un châssis affleurant qui facilite une installation murale soignée. Le résultat est à la fois moderne, discret et impeccablement fini.
Côté connectique, rien ne manque : quatre ports HDMI (dont deux compatibles 2.1), une sortie optique, une prise casque, deux ports USB, un port Ethernet, un logement CI+, et bien sûr les entrées antenne et satellite classiques.
Test TCL C8K (C89K) : l'avis de Clubic
Avec le C89K, TCL prouve une nouvelle fois qu’il n’est plus seulement un outsider agressif sur les prix, mais bien un acteur capable de rivaliser avec les meilleurs, y compris sur le segment premium. Ce téléviseur coche un nombre impressionnant de cases : un pic lumineux spectaculaire, une excellente gestion HDR, un rendu percutant et une large palette de couleurs. À cela s'ajoute un système audio au-dessus de la moyenne. En clair, un TV MiniLED qui ne fait pas les choses à moitié.
Il y a encore quelques années, parler de téléviseur LCD face à l’OLED dans le haut de gamme aurait semblé dépassé. Et pourtant, voilà un modèle capable de faire douter. Certes, il reste des concessions : les angles de vision ne sont pas parfaits, les reflets peuvent gêner dans certaines conditions et seuls deux ports HDMI sont pleinement compatibles HDMI 2.1. Mais dans l’ensemble, difficile de bouder son plaisir devant une telle montée en gamme.
Ce C89K, qu’on retrouvera aussi sous la référence C8K chez certains distributeurs, incarne une forme de maturité pour TCL. La marque affine son expertise au fil des années, et se positionne même en pionner, par exemple, avec le Dolby Atmos FlexConnect. C’est audacieux, et ça témoigne d’une volonté de ne pas simplement suivre le rythme, mais aussi d’innover.
On pourrait résumer le C89K comme un téléviseur qui cherche à en donner beaucoup, pour moins cher que ses rivaux. Et le plus surprenant, c’est qu’il y parvient avec brio. Que vous soyez cinéphile, joueur ou amateur de sport, ce modèle a les épaules pour vous satisfaire, sans donner l’impression de faire de compromis. Et à ce niveau de prestation, difficile de ne pas saluer l’exploit.
- Le record du plus haut pic lumineux !
- Très bon rendu HDR
- Gestion de mouvements et upscaling en progrès
- Des effets de blooming qui restent contenus
- Expérience gaming solide
- Audio au-dessus de la moyenne
- La colorimétrie SDR pourrait être plus précise
- Blooming toujours présent dans certains cas
- Revêtement sensible aux reflets
- Seulement deux ports HDMI pleinement compatibles 2.1
Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde Calibrite Display Plus HL et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.
Fiche technique TCL C8K (C89K)
Résolution d'écran | 3840 x 2160 pixels - 4K UHD |
Technologie d'écran | Mini-LED |
Compatibilité HDR | HLG, HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, IMAX Enhanced, Dolby Vision IQ |
Fréquence de rafraichissement maximal | 144 Hz |
Puissance des haut-parleurs (watts) | 90 |
Système d'exploitation | Google TV |
Résolution d'écran | 3840 x 2160 pixels - 4K UHD |
Technologie d'écran | Mini-LED |
Type de dalle | VA |
Type de rétroéclairage | Mini LED |
Processeur vidéo | Quad Core |
Compatibilité HDR | HLG, HDR10, HDR10+, HDR10+ Adaptive, IMAX Enhanced, Dolby Vision IQ |
Fréquence de rafraichissement maximal | 144 Hz |
Puissance des haut-parleurs (watts) | 90 |
Dolby Atmos | Oui |
DTS:X | Oui |
Nombre de ports HDMI | 4 |
Standard HDMI | HDMI 2.1 |
ARC / eARC | eARC |
ALLM | Oui |
Synchronisation dynamique | VRR, FreeSync Premium Pro |
Autres entrées | 2x USB-A, 1x Ethernet, 1x CI+ |
Autres sorties | 1x optique (SPDIF), 1x casque |
Système d'exploitation | Google TV |
Bluetooth | Oui |
Norme Bluetooth | 5.4 |
Wi-Fi | Oui |
Norme Wi-Fi | 6 (AX) |
Assistant vocal | Google Assistant, Alexa |
Chromecast | Oui |
Airplay 2 | Oui |
Homekit | Oui |
Les alternatives les plus convaincantes face au TCL C89K
- Luminosité record, idéale pour l'HDR
- Rétroéclairage MiniLED dense, peu de blooming
- Très bon contraste natif
- Excellents niveaux de luminosité et contraste
- Colorimétrie précise en SDR comme en HDR (Delta E < 2)
- Filtre antireflet "Glare Free" ultra-efficace