Universal Music menace YouTube et MySpace

14 septembre 2006 à 00h00
0
La première maison de disques au niveau mondial pourrait porter plainte contre les réseaux sociaux YouTube et MySpace pour non respect du copyright.

Universal Music Group accuse YouTube et MySpace de bafouer le copyright.

Références des réseaux sociaux aux Etats-Unis, ces sites communautaires permettent de charger et de partager fichiers audio et vidéo. On y trouve notamment des titres du catalogue Universal, première maison de disques au niveau mondial.

Aux yeux de Doug Morris, CEO de Universal Music Group, YouTube.com, encore indépendant, et MySpace.com, racheté l'an dernier par News Corp., "bafouent le copyright".

Selon Reuters, Morris aurait précisé le 12 septembre 2006 lors d'une conférence Merrill Lynch : "Ces jeunes sociétés nous doivent des dizaines de millions de dollars."

A quand la plainte ou l'accord amiable ? La filiale de Vivendi "précisera rapidement ses choix". Jusqu'ici, les pourparlers engagés entre Universal Music Group, YouTube et MySpace ont été laborieux.

Le défi, pour la major du disque, consiste à adapter son modèle au numérique et à faire respecter ses droits de propriété intellectuelle. Universal Music tente d'y parvenir au côté d'acteurs du divertissement numérique mobile et fixe.

Parallèlement, la maison de disques a confirmé distribuer prochainement ses titres sur SpiralFrog.com, service de téléchargement gratuit financé par la publicité. EMI fera de même.

A découvrir en vidéo

Soyez toujours courtois dans vos commentaires.
Respectez le réglement de la communauté.
0
0

Actualités du moment

Yahoo! s'installe sur les portables Acer
Business Objects : Prédateur ou Proie ?
Après le blog, Alain Juppé s'essaye au podcasting
DADVSI : Le collectif StopDRM défie la justice
Présentation du PDAPhone GPS SiRFStar III Asus P535 sous Windows Mobile 5
<b>Joyeux Noël</b>
Selon Motorola, le Wimax pourrait faire de l'ombre aux évolutions de la 3G
Google renforce sa position sur le marché BtoB
Le baladeur de Microsoft
eDonkey sort son chéquier pour mettre fin aux poursuites de la RIAA
Haut de page