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Face à la domination américaine, 13 sociétés européennes ont annoncé la création de la "Networked European Software and Services Initiative" (NESSI)
L'industrie logicielle européenne sort de l'eau et veut entrer dans la légende. Face à la domination américaine dans ce secteur, 13 sociétés européennes ont annoncé mardi la création de la "Networked European Software and Services Initiative" (NESSI).
Composée en majorité de groupes informatique ou télécom européens (Atos Origin, BT, Engineering Ingegneria Informatica, Nokia, ObjectWeb, , Siemens, Software AG, Telecom Italia, et Thales), l'alliance compte également quelques grands noms américains de l'informatique comme ou HP.
Malgré la présence de Atos Origin ou de Thalès, on notera néanmoins l'absence de grands noms français de l'informatique comme dans les services ou dans le progiciel.
S'inscrivant dans le cadre de la stratégie de Lisbonne définie par l'Union Européenne qui vise à développer "une économie du savoir", NESSI aura pour objectif de rationaliser l'informatique européenne, tant dans les services que dans les logiciels, et de contribuer à l'émergence de standards capables de rivaliser avec ceux définis outre atlantique.
L'industrie logicielle européenne sort de l'eau et veut entrer dans la légende. Face à la domination américaine dans ce secteur, 13 sociétés européennes ont annoncé mardi la création de la "Networked European Software and Services Initiative" (NESSI).
Composée en majorité de groupes informatique ou télécom européens (Atos Origin, BT, Engineering Ingegneria Informatica, Nokia, ObjectWeb, , Siemens, Software AG, Telecom Italia, et Thales), l'alliance compte également quelques grands noms américains de l'informatique comme ou HP.
Malgré la présence de Atos Origin ou de Thalès, on notera néanmoins l'absence de grands noms français de l'informatique comme dans les services ou dans le progiciel.
S'inscrivant dans le cadre de la stratégie de Lisbonne définie par l'Union Européenne qui vise à développer "une économie du savoir", NESSI aura pour objectif de rationaliser l'informatique européenne, tant dans les services que dans les logiciels, et de contribuer à l'émergence de standards capables de rivaliser avec ceux définis outre atlantique.
