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Selon XiTi Monitor, les internautes privilégieraient la matinée entre 7h et 11h pour consulter leurs sites favoris et effectuer des recherches sur le web.
XiTi Monitor, service analyse et pilotage de sites web, précise les plages horaires privilégiées par les internautes en France.
Le prestataire (www.xitimonitor.com) aurait étudié du 1er septembre 2004 au 16 août 2005 "un échantillon total de 6 milliards de visites sur un périmètre constant de 2000 sites Internet ."
Les résultats à prendre avec circonspection, sont riches d'enseignements :
En semaine, la consultation de sites Internet est plus importante le matin dès 7h, à l'heure du premier thé ou café, et ce jusqu'à 11h, si ! Le trafic est moins intense à l'heure du déjeuner. Il se maintient ensuite puis reprend des couleurs à partir de 18h.
La majorité des internautes surfe peu la nuit - ce qui n'est pas le cas des indépendants et des professionnels du web : graphistes, journalistes, développeurs, programmeurs, administrateurs, rédacteurs, traducteurs, etc.
En revanche, les soirées du vendredi et du samedi sont l'occasion pour le plus grand nombre, en particulier les internautes disposant d'une connexion Internet haut débit, de surfer à plaisir. Des sites comme .fr et Playboy.com le savent bien !
Un quart des consultations sur Internet en France seraient effectuées en soirée. Après une longue nuit de navigation web, mieux vaut faire la grasse matinée.
Le samedi, fort heureusement, le réel prend le pas sur le virtuel. A l'inverse, le dimanche les consultations atteignent des records vers 13 heures, avant l'apéro.
Selon Médiamétrie, la France aurait enregistré 24,3 millions de connectés - quels que soient les débits, les technologies, les lieux : domicile, bureau, université, service public, etc.
Par ailleurs, au 30 juin 2005, la France comptait 7,9 millions d'abonnements à l'Internet haut débit (xDSL, câble, BLR, fibre optique), soit une progression de 8,3% par rapport au 1er trimestre 2005 a indiqué le régulateur, ARCEP.
Rêve ou réalité ? Les internautes français se connecteraient plus souvent et visiteraient davantage de sites que les surfeurs américains et britanniques (Nielsen//NetRatings).
XiTi Monitor, service analyse et pilotage de sites web, précise les plages horaires privilégiées par les internautes en France.
Le prestataire (www.xitimonitor.com) aurait étudié du 1er septembre 2004 au 16 août 2005 "un échantillon total de 6 milliards de visites sur un périmètre constant de 2000 sites Internet ."
Les résultats à prendre avec circonspection, sont riches d'enseignements :
En semaine, la consultation de sites Internet est plus importante le matin dès 7h, à l'heure du premier thé ou café, et ce jusqu'à 11h, si ! Le trafic est moins intense à l'heure du déjeuner. Il se maintient ensuite puis reprend des couleurs à partir de 18h.
La majorité des internautes surfe peu la nuit - ce qui n'est pas le cas des indépendants et des professionnels du web : graphistes, journalistes, développeurs, programmeurs, administrateurs, rédacteurs, traducteurs, etc.
En revanche, les soirées du vendredi et du samedi sont l'occasion pour le plus grand nombre, en particulier les internautes disposant d'une connexion Internet haut débit, de surfer à plaisir. Des sites comme .fr et Playboy.com le savent bien !
Un quart des consultations sur Internet en France seraient effectuées en soirée. Après une longue nuit de navigation web, mieux vaut faire la grasse matinée.
Le samedi, fort heureusement, le réel prend le pas sur le virtuel. A l'inverse, le dimanche les consultations atteignent des records vers 13 heures, avant l'apéro.
Selon Médiamétrie, la France aurait enregistré 24,3 millions de connectés - quels que soient les débits, les technologies, les lieux : domicile, bureau, université, service public, etc.
Par ailleurs, au 30 juin 2005, la France comptait 7,9 millions d'abonnements à l'Internet haut débit (xDSL, câble, BLR, fibre optique), soit une progression de 8,3% par rapport au 1er trimestre 2005 a indiqué le régulateur, ARCEP.
Rêve ou réalité ? Les internautes français se connecteraient plus souvent et visiteraient davantage de sites que les surfeurs américains et britanniques (Nielsen//NetRatings).
