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Face à la domination américaine dans le domaine des systèmes de radionavigation par satellite, l'Union européenne séduit à l'international avec GALILEO.
Pour se faire une place sur un marché dominé par le GPS américain, l'Union européenne a tout intérêt à promouvoir à l'international son propre système civil de radionavigation par satellite : GALILEO.
Dans une communication datée du 7 décembre 2004, la Commission européenne (http://europa.eu.int/) a signalé souhaiter l'ouverture de négociations avec le Maroc afin d'aboutir à un accord de coopération industrielle et scientifique.
Il est probable que le Conseil de l'UE (http://ue.eu.int/), principal centre de décision de l'Union, approuve l'ouverture de ces négociations.
Un accord permettrait à GALILEO de se placer sur un marché qui s'étend de la Méditerranée occidentale à l'Afrique de l'Ouest, d'une part, au Maroc de participer activement au développement d'applications spécifiques, d'autre part.
Le Maroc n'est heureusement pas le seul pays intéressé par le programme/système GALILEO. Des discussions sont en cours avec l'Australie, le Brésil, la Corée du Sud, l'Inde, le Mexique, la Russie, l'Ukraine. Tandis que d'importants accords de coopération ont d'ores et déjà été signés avec la Chine et avec Israël.
Par ailleurs, en juin dernier les Etats-Unis et l'Union européenne ont enfin signé un accord encadrant l'interopérabilité entre GPS et GALILEO.
L'enjeu est important : Le marché du GNSS (Global Navigation Satellite System) pourrait atteindre 250 milliards d'euros de recettes d'ici 2010 au niveau mondial, et généré plus de 150 000 emplois hautement qualifiés en Europe.
Les programmes de radionavigation par satellite permettent le développement de services universels de nouvelle génération dans différents secteurs, transports, télécoms, agriculture, etc. Mais actuellement, seul le GPS américain et le GLONASS russe à la base conçus à des fins militaires, sont opérationnels.
GALILEO système civil européen devrait être déployé à partir de 2006, et exploité à partir de 2008...
Pour se faire une place sur un marché dominé par le GPS américain, l'Union européenne a tout intérêt à promouvoir à l'international son propre système civil de radionavigation par satellite : GALILEO.
Dans une communication datée du 7 décembre 2004, la Commission européenne (http://europa.eu.int/) a signalé souhaiter l'ouverture de négociations avec le Maroc afin d'aboutir à un accord de coopération industrielle et scientifique.
Il est probable que le Conseil de l'UE (http://ue.eu.int/), principal centre de décision de l'Union, approuve l'ouverture de ces négociations.
Un accord permettrait à GALILEO de se placer sur un marché qui s'étend de la Méditerranée occidentale à l'Afrique de l'Ouest, d'une part, au Maroc de participer activement au développement d'applications spécifiques, d'autre part.
Le Maroc n'est heureusement pas le seul pays intéressé par le programme/système GALILEO. Des discussions sont en cours avec l'Australie, le Brésil, la Corée du Sud, l'Inde, le Mexique, la Russie, l'Ukraine. Tandis que d'importants accords de coopération ont d'ores et déjà été signés avec la Chine et avec Israël.
Par ailleurs, en juin dernier les Etats-Unis et l'Union européenne ont enfin signé un accord encadrant l'interopérabilité entre GPS et GALILEO.
L'enjeu est important : Le marché du GNSS (Global Navigation Satellite System) pourrait atteindre 250 milliards d'euros de recettes d'ici 2010 au niveau mondial, et généré plus de 150 000 emplois hautement qualifiés en Europe.
Les programmes de radionavigation par satellite permettent le développement de services universels de nouvelle génération dans différents secteurs, transports, télécoms, agriculture, etc. Mais actuellement, seul le GPS américain et le GLONASS russe à la base conçus à des fins militaires, sont opérationnels.
GALILEO système civil européen devrait être déployé à partir de 2006, et exploité à partir de 2008...
