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Le Wall Street Journal publie une étude sur les femmes les plus influentes en Europe. La nouvelle économie leur offre de réelles perspectives.
A l'occasion du Women In Business Summit, le Wall Street Journal Europe en association avec Arthur Andersen vient de publier une étude sur les femmes européennes les plus influentes.
En décembre 2000, cette enquête a été menée par le Lieberman Research Worldwide auprès de 1 114 femmes cadres dans 6 pays européens : France, Royaume Uni, Allemagne, Italie, Suède et Pologne.
L'étude montre que les femmes européennes affirment leur place dans la nouvelle économie et leur confiance dans l'entreprise et le monde des affaires. Le Top 30 des femmes d'affaires classe Fabiola ARREDONDO, ex-Directrice de Europe, comme la femme la plus influente du continent, suivie de près par Marjorie SCARDINO Directrice de Pearson PLC, puis de Clara FURSE à la tête de la bourse de Londres (London Stock Exchange).
Les cadres françaises sont 63% à être satisfaites dans l'exercice de leur profession. En matière de salaire elles font la grimace. Seules 15% d'entre elles estiment être rémunérées équitablement.
Quel que soit leur professionnalisme ou leur niveau d'expertise et à compétence égale, 26% des Polonaises, 18% des Britanniques, 17% des Italiennes et des Françaises, 13% des Suèdoises et 10% des Allemandes estiment qu'une femme ne sera jamais traitée à égalité avec un homme.
Les femmes cadres européennes veulent un travail satisfaisant, des perspectives professionnelles, une rémunération motivante, et du temps libre pour la vie privée. Pas facile, 53% d'entre elles déclarent avoir été confrontées à une forme de discrimination dans le passé, en termes de promotion, salaire, comportement ou tâches confiées.
Malgré tout, En France comme en Italie, 80% des femmes se disent être mieux intégrées dans le monde économique actuel, 67% en Allemagne, 75% en Pologne, 90% en Suède et 93% au Royaume-Uni. Qui dit mieux ?
A l'occasion du Women In Business Summit, le Wall Street Journal Europe en association avec Arthur Andersen vient de publier une étude sur les femmes européennes les plus influentes.
En décembre 2000, cette enquête a été menée par le Lieberman Research Worldwide auprès de 1 114 femmes cadres dans 6 pays européens : France, Royaume Uni, Allemagne, Italie, Suède et Pologne.
L'étude montre que les femmes européennes affirment leur place dans la nouvelle économie et leur confiance dans l'entreprise et le monde des affaires. Le Top 30 des femmes d'affaires classe Fabiola ARREDONDO, ex-Directrice de Europe, comme la femme la plus influente du continent, suivie de près par Marjorie SCARDINO Directrice de Pearson PLC, puis de Clara FURSE à la tête de la bourse de Londres (London Stock Exchange).
Les cadres françaises sont 63% à être satisfaites dans l'exercice de leur profession. En matière de salaire elles font la grimace. Seules 15% d'entre elles estiment être rémunérées équitablement.
Quel que soit leur professionnalisme ou leur niveau d'expertise et à compétence égale, 26% des Polonaises, 18% des Britanniques, 17% des Italiennes et des Françaises, 13% des Suèdoises et 10% des Allemandes estiment qu'une femme ne sera jamais traitée à égalité avec un homme.
Les femmes cadres européennes veulent un travail satisfaisant, des perspectives professionnelles, une rémunération motivante, et du temps libre pour la vie privée. Pas facile, 53% d'entre elles déclarent avoir été confrontées à une forme de discrimination dans le passé, en termes de promotion, salaire, comportement ou tâches confiées.
Malgré tout, En France comme en Italie, 80% des femmes se disent être mieux intégrées dans le monde économique actuel, 67% en Allemagne, 75% en Pologne, 90% en Suède et 93% au Royaume-Uni. Qui dit mieux ?
