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Dans le feuilleton « Microsoft et la Commission européenne », un nouvel épisode vient de s'achever ou plutôt de débuter... En effet, le groupe ECIS (European Committee for Interoperable Systems - Comité européen pour l'interropabilité des systèmes) jette un nouveau pavé dans la marre et vient renforcer son soutient à la Commission européenne.
Le groupe créé en 1989 et qui compte notamment de puissantes firmes comme , Oracle, , Nokia, RealNetworks a affirmé que « Microsoft avait effectivement tendance à nier les demandes des entreprises concurrentes et à brider les choix qui s'offrent aux consommateurs ». La réclamation/plainte de l'ECIS déposée auprès de la Commission demande à celle-ci de mettre un terme aux pratiques anti-concurrentielles du créateur de Windows.
Un communiqué publié aujourd'hui à ce sujet précise que « l'ECIS regrette amèrement que seules les lois contre l'abus de positions dominantes puissent être les seuls moyens de faire changer le comportement anti-concurrentiel de Microsoft ». Il se poursuit en affirmant que « les décisions prises par la Commission à l'encontre de Microsoft en 2004 doivent être renforcées et appliquées rapidement ». Le document s'appuie sur l'exemple de Microsoft Office pour étayer son argumentation. L'ECIS affirme ainsi que Microsoft Office ne permet pas à la concurrence de profiter d'une Interropabilité parfaite et d'une concurrence loyale au sein du marché des logiciels lié à Windows.
De son côté, Microsoft déplore que ses concurrents répondent à ses innovations / succès, « à travers des moyens légaux ». La Commission devrait examiner en détail cette nouvelle plainte qui viendra alourdir le dossier de cette affaire qui dure maintenant depuis plus de deux ans.
Le groupe créé en 1989 et qui compte notamment de puissantes firmes comme , Oracle, , Nokia, RealNetworks a affirmé que « Microsoft avait effectivement tendance à nier les demandes des entreprises concurrentes et à brider les choix qui s'offrent aux consommateurs ». La réclamation/plainte de l'ECIS déposée auprès de la Commission demande à celle-ci de mettre un terme aux pratiques anti-concurrentielles du créateur de Windows.
Un communiqué publié aujourd'hui à ce sujet précise que « l'ECIS regrette amèrement que seules les lois contre l'abus de positions dominantes puissent être les seuls moyens de faire changer le comportement anti-concurrentiel de Microsoft ». Il se poursuit en affirmant que « les décisions prises par la Commission à l'encontre de Microsoft en 2004 doivent être renforcées et appliquées rapidement ». Le document s'appuie sur l'exemple de Microsoft Office pour étayer son argumentation. L'ECIS affirme ainsi que Microsoft Office ne permet pas à la concurrence de profiter d'une Interropabilité parfaite et d'une concurrence loyale au sein du marché des logiciels lié à Windows.
De son côté, Microsoft déplore que ses concurrents répondent à ses innovations / succès, « à travers des moyens légaux ». La Commission devrait examiner en détail cette nouvelle plainte qui viendra alourdir le dossier de cette affaire qui dure maintenant depuis plus de deux ans.
