Test Yamaha YH-L700A : un casque rétro et premium, qui mise sur l'immersion et les basses boostées

Guillaume Fourcadier
Spécialiste Audio
13 novembre 2021 à 12h12
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© Guillaume Fourcadier pour Clubic
© Guillaume Fourcadier pour Clubic

Casque Bluetooth à réduction de bruit vraiment haut de gamme du Japonais Yamaha, le YH-L700A est aussi un pari à plusieurs niveaux. Son design divise clairement, et son prix de 500 euros le place bien au-dessus du tarif des autres haut de gamme, exceptées quelques rares modèles type Airpods Max ou H95 de Bang & Olufsen. L'une de ses technologies phares est la présence d'une puce consacrée à la reproduction 3D du son. Un moyen de justifier au mieux l'existence de ce produit ?

Yamaha YH-L700A
  • Qualité sonore
  • Autonomie
  • Mode 3D convaincant en vidéo/jeux vidéo
  • Construction sérieuse
  • Isolation active moyenne
  • Pas du tout adapté aux petites têtes
  • Trop de basses en mode ANC ?

Le néo-rétro, ça passe ou ça casse

Difficile de trouver un design aussi clivant. Même le casque Airpods Max ou le Bose Headphones 700 ne récoltent pas autant de commentaires négatifs. Et on comprend bien pourquoi. Yamaha a ici voulu faire un pont vers une époque, voire un genre. Les coques rectangulaires avec effet grille du tissu peuvent rappeler de vieux microphones, mais certainement pas un produit moderne. Assez originales, les branches viennent se raccorder de manière asymétrique avec les coques, ce qui incline légèrement le bandeau vers l'avant.

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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La construction n'est pas, il faut bien le dire, vraiment dans ce que l'on peut attendre d'un modèle très haut de gamme, car elle est presque exclusivement en plastique. Cependant, son aspect assez dense, sa surface mate et l'assemblage impeccable donnent un cachet supérieur à celui de modèles du type Sony WH-1000Xm4. Il n'y a pas de quoi perturber des produits premium bien établis, comme le PX7 de Bowers & Wilkins. Quant à l'Airpods Max, il peut dormir tranquille.

À l'usage néanmoins, le YH-L700A est agréable. Le tissu gris, intégré à une partie des coques et à l'arceau, est de très bonne qualité. La structure, en plastique donc, est recouverte d'une texture légèrement
antidérapante très agréable. Enfin, le casque est entièrement pliable, avec
des coques qui se rabattent à 90° (dans un sens seulement). Pour le transport (et le rangement), Yamaha fournit une housse rigide, classique, mais assez bien pensée.

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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Avec ses 330 g sur la balance, le YH-L700A est loin d'être un poids plume. Dommage, car ses coussinets sont très enveloppants et assez épais, le tout sans trop presser le crâne. L'arceau est par ailleurs bien équilibré et rembourré. Ainsi, le Yamaha peut être fatigant sur les longues sessions, mais il n'est jamais désagréable. En revanche, il ne s'adresse clairement pas aux petites têtes. L'amplitude de réglage de l'arceau est bien là, mais nous l'avons presque toujours utilisé à son cran minimum, malgré une tête moyenne/petite.

Des réglages faciles à apprivoiser, une application très dépouillée

Haut de gamme n'est pas nécessairement synonyme de commandes tactiles. Le casque d'Apple en est d'ailleurs une bonne illustration. Néanmoins, il se démarque de la concurrence grâce à sa molette de type couronne, là où Yamaha conserve un certain classicisme.

Les boutons sont placés en trois groupes :

  • Un trio de boutons en similicuir à l'extérieur de la coque droite : un bouton central lecture/pause et deux boutons de volume qui permettent de sauter une piste ou de revenir en début de piste (appui long) ;
  • Deux boutons fins sur la tranche de la coque droite : un bouton allumage/extinction/appairage/indication vocal du niveau de batterie et le bouton du mode 3D (nous y reviendrons dans une section consacrée) ;
  • Un bouton fin sur la tranche de la coque gauche : réglage de l'ANC (on, off, mode Ambient).
© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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Sur le papier, tout paraît très simple. En revanche, les boutons de navigation, placés sur la partie en similicuir, demandent vraiment un temps d'adaptation. Il est difficile, avec ce matériau assez mou, de repérer le
relief au toucher. Les premières heures se limitent généralement à du tâtonnement, avant de vraiment s'y habituer.

Malgré le côté haut de gamme du Yamaha YH-L700A, il n'y a aucun capteur de proximité pour la pause/lecture automatique. Un manque qui
fait un peu tache dans l'approche technologique, mais qui n'est, selon nous, pas aussi important que sur des écouteurs True Wireless.

Côté application, Yamaha intègre la compatibilité avec Headphones Controller. Il est difficile de faire plus clair et plus sobre que cette application. Sa stabilité est également exemplaire. Néanmoins, il ne faut pas s'attendre à une déluge de fonctions, comme ce que propose Sony avec Sony Headphones.

© Yamaha
© Yamaha

C'est simple, la plupart des fonctions se limitent à l'activation des automatismes et des corrections maison de Yamaha, cela sous trois petits onglets.

Le premier onglet concerne les options 3D. Il est possible d'activer ou non cette technologie d'immersion sonore. Si elle est activée, elle permet de définir l'un des 7 « modes Surround » adaptés à la situation (Cinéma, Musique, Concert, etc.) et d'activer ou non le suivi des mouvements de la tête, comme ce que propose l'Audio Spatial d'Apple.

Le deuxième onglet affiche les modes de réduction de bruit (ANC, Off, Ambient) ainsi que l'activation ou non de deux améliorations sonores made in Yamaha : Listening Care et Listening Optimiser. Le premier permet d'adapter la signature afin que l'écoute soit agréable, même à faible volume. Le second est quant à lui une optimisation sonore qui analyse le son au niveau de l'oreille afin de s'adapter en permanence.

Pas d’égaliseur ni de fonctions vraiment avancées, Yamaha propose presque le service minimum.

Connectivité au plus efficace, un brin de modernité

Sous ses airs rétro, le Yamaha YH-L700A intègre une puce Bluetooth 5.0 tout ce qu'il y a de plus classique (ou moderne, selon les points de vue). Celle-ci permet d'apporter une très bonne stabilité dans le signal et une portée très correcte. Malheureusement, les éloges s'arrêtent là, puisqu'il
faut oublier la connexion Multipoint (connexion à deux appareils à la fois).

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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Le point le plus remarquable de cette connectivité est clairement la compatibilité avec le codec AptX Adaptive de Qualcomm/CSR, l'un des plus modernes à l'heure actuelle et la base de la new Gen Qualcomm (du Snapdragon Sound et de l'AptX Lossless). L'un des avantages de ce codec, en plus de son bitrate semi-adaptatif et assez bas (autonomie conservée), est d'être un sur-ensemble de l'AptX HD, lui-même sur-ensemble de l'AptX. Cela implique, pour les téléphones seulement compatibles AptX ou AptX HD, que ces deux codecs sont disponibles.

 Isolation, la moyenne derrière les grands

On s'attend rarement à voir une marque classique se battre avec les meilleurs sur le terrain de la réduction de bruit. Mis à part quelques surprises, type Bowers & Wilkins avec ses PX7 et PX, la plupart des concurrents, même très premium (Bang & Olufsen H95 ou Shure
Aonic 50
), sont quelques crans derrière.

Bien que très grand fabricant, Yamaha est dans cette tendance avec son YH-L700A. Le modèle serre assez peu le crâne, ce qui diminue en partie ses capacités de réduction passive. Pourtant, le résultat est déjà relativement bon et digne d'un vrai casque fermé. La réduction est assez marquée dans les aigus et est déjà efficace à partir des médiums et haut-médiums. Pas de quoi nous plonger dans une bulle, mais le casque est ainsi adapté à quelques situations.

© Yamaha
© Yamaha

Pour l'isolation active, à 30 dB d'isolation et plus, il ne faudra pas s'attendre à atteindre les sommets des haut de gamme type Bose QC45, Sony WH-1000Xm4 ou Apple Airpods Max. La réduction de bruit débute timidement dès les très basses fréquences et s'accentue des basses jusqu'aux médiums.

Néanmoins, cette atténuation s'articule en moyenne autour des 15 dB, 20dB dans le meilleur des cas, mais jamais davantage. Sur ce point, nous sommes donc plus proches d'un Shure Aonic 50 (même si Yamaha est tout de même plus efficace) que d'un Sony. Il ne faudra clairement pas acheter ce casque si cette option est prioritaire pour vous.

À l'inverse, le mode Ambient est assez surprenant, car il est relativement bon dans sa récupération des fréquences. Un petit manque de naturel est toujours perfectible, notamment sur les voix, mais ce mode est franchement bon.

Quand la 3D mange une très bonne autonomie

L'autonomie du Yamaha YH-L700A peut être qualifiée d'ambitieuse. En effet, la marque annonce pas moins de 34 heures avec ANC (sans mode 3D), sans doute mesuré sous codec AAC, et non AptX. En pratique, nous avons effectivement dépassé les 30 heures, en désactivant les options Listening Care et Listening Optimiser, qui nous ont semblé un peu défectueuses (en drainant exagérément la batterie). Cette performance permet même de dépasser le Sony WH-1000Xm4, pourtant l'un des meilleurs élèves.

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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À l'inverse, l'activation du mode 3D met un véritable coup de hache à l'autonomie. Nous passons, toujours avec ANC, plutôt entre 9 et 10 heures. En désactivant la réduction de bruit, il est possible de gagner un peu de temps, mais la différence n'est pas dramatique.

Cette fonction étant très à part, il faut comparer le casque sur des modes équivalents aux autres. Sur ce plan, le Yamaha livre une excellente prestation.

Un son pour amoureux de la basse qui ronronne

Accrochez-vous à votre siège vibrant. La qualité sonore du Yamaha YH-L700A divisera autant que son design. Doté globalement des mêmes
transducteurs que sur le YH-E700, ce casque est indubitablement une réussite technique. Même avec toute la mauvaise foi du monde, on ne pourra le trouver pauvre sur ce plan. En vérité, il est assez clairement au-dessus de l'une des références du genre, à savoir le WH-1000Xm4.

Ce dernier est très intéressant en comparaison directe, puisque sa signature sonore, en tout cas dans les basses, n'est pas si éloignée
de celle de son homologue japonais. Mais, alors que le Sony est « basseux », le Yamaha est très « basseux ».

© Yamaha
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Sans ANC ou en mode Ambient, le casque n'est pas encore dans l'exagération. Ses médiums sont assez équilibrés, n'ont ni creux ni pic
vraiment audible, et la marque parvient à garder un bon équilibre. L'accentuation dans les basses est audible, mais pas dans l'outrance. Nous sommes dans les eaux d'un petit bass-boost de 10-12 dB, de quoi donner suffisamment de corps à l'ensemble pour être fun. Dans ce mode, le YH-L700A est même plus mesuré que le Sony. Non seulement sa maîtrise du bas du spectre est supérieure, mais son équilibre dans le reste des fréquences est également plus prononcé.

Avec la réduction de bruit, en revanche, le déséquilibre s'accentue. Les médiums se creusent un peu plus, mais surtout, les basses gagnent encore des décibels et font plutôt passer le boost à du 20 dB, ce qui devient franchement marqué. Yamaha, grâce à l'excellent niveau technique du transducteur, fournit un travail exceptionnel pour que rien ou presque ne déborde sur les voix, pourtant en retrait.

Et force est de constater que cela fonctionne mieux que sur le modèle de Sony, pourtant beaucoup moins chargé. Néanmoins, cela n'empêche pas une sensation sonore encore plus lourde, vibrante, presque « ridiculement » amusante. Yamaha a voulu donner un son viscéral et ne s'en cache pas. La prouesse du YH-700A est que, malgré toutes ces exagérations, la sauce prend. Le son est spectaculaire sans être mou, il est vibrant, mais jamais étouffé.

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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On privilégiera clairement ce mode (et ce casque en général) pour des styles amples et pour des utilisateurs amoureux de cette exagération,
mais le Yamaha YH-L700A est l'un des plus réussis dans ce genre, si ce n'est le plus réussi dans le domaine nomade. Le niveau de détails est excellent, la scène sonore, déjà assez ample (surtout en largeur). Les aigus, en retrait par rapport aux basses, ne sont pas phagocytés. En d'autres termes, sa polyvalence est très grande.

Sans surprise, l'utilisation d'un bon égaliseur (pas sur l'application consacrée, donc) permet de calmer cette personnalité et de démontrer d'autant plus les qualités techniques du casque, décidément supérieures à celle des Sony, Bose ou même B&W. L'Airpods Max paraît toujours avoir une petite marge sur la qualité technique, mais sa signature sonore (aigus davantage en retrait) ne permet pas forcément de l'exprimer.

En mode filaire et éteint, le casque tombe dans l'écueil assez habituel des modèles Bluetooth ANC. La qualité sonore n'est pas catastrophique, mais la signature sonore perd largement de son équilibre. L'extension dans les basses est presque annihilée.

Mode 3D, l'immersion, surtout pour la vidéo

C'est la mode. La 3D/Atmos/etc. est dans nos vies, que ce soit à travers des puces et des traitements consacrés, ou dans des solutions imaginées plus en amont (comme les mix Atmos). Ici, Yamaha s'est rapproché de ce qu'Audeze avait déjà imaginé pour son casque gamer Mobius. Ainsi, à partir d'un flux stéréo tout à fait classique, une puce de traitement
tente de reproduire un son 3D. Puisque le casque reste forcément un produit stéréo, on a davantage affaire à la « simulation d'une écoute sur système d'enceintes Dolby/Atmos ».

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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La ressemblance avec le Mobius se traduit par la présence d'un suivi gyroscopique des mouvements de la tête. Ce suivi vous rappellera forcément l'Audio Spatial, développé avec les modèles Apple compatibles. Ici, le principe est simplement plus universel, car il fonctionne dans toutes les situations.

Pour cela, il faut activer le mode par un appui long sur le bouton 3D consacré ou directement dans l'application. Cette dernière permet, en outre, d'activer ou de désactiver le suivi des mouvements de tête. Dans le cas du suivi, la position de la tête au moment de l'appui définit la position « zéro ». Par conséquent, en tournant la tête du côté gauche, la scène sonore se déplace vers l'oreille droite, et ainsi de suite.

Ce suivi est particulier, mais très efficace. La sensation d'entendre la scène se « déplacer » est vraiment cohérente, même en prenant en compte la dimension verticale du son. Le bouton permet à partir de là, avec des appuis courts, de basculer entre 7 présélections de mode 3D, allant du mode cinéma à des modes plus musicaux. La différence entre chaque est de l'ordre du détail, mais pas du détail inutile. Il ne faut donc pas hésiter à tâtonner un peu. En général, en vidéo et en jeu, le mode cinéma reste celui à privilégier.

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
© Guillaume Fourcadier pour Clubic

Et l'immersion ? Elle est très proche de ce que nous pourrions avoir à l'écoute du 360 Reality Audio de Sony ou de l'Audio Spatial d'Apple. Clairement, cette reproduction 3D fonctionne sur les pistes à l'ambiance déjà Live, particulièrement sur les enregistrements intimistes du type bar jazz. Ici, l'intérêt d'un traitement 3D est bien là, car il projette la scène vers l'avant. À l'inverse, ce mode est clairement contre-productif et brouillon sur des pistes plus énervées, à la scène sonore déjà trouble (qu'est-ce qu'une scène cohérente sur du métal ou de l'électro ?).

© Guillaume Fourcadier pour Clubic
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L'intérêt manifeste de cette option 3D est finalement ailleurs, à savoir dans son utilisation pour de la vidéo ou, plus encore, des jeux vidéo, en particulier les FPS. Sans être révolutionnaire, le rendu est très efficace, il donne un certain naturel aux bruits environnants, le tout en amélioration la localisation des bruits. Nous avons par exemple utilisé le YH-L700A
lors de sessions de Back 4 Blood et de Sea Of Thieves, et la qualité était bien là. On ne parlera pas de révolution, puisque le classique stéréo conserve des avantages (en plus de l'autonomie), mais cette fonction n'a rien du gadget, pour une fois.

L'avis de Clubic

Cher et atypique, le casque Yamaha YH-L700A avait tout du plantage en règle. Certes, on ne peut pas le qualifier de monstre technologique,
notamment à cause de sa réduction de bruit moyenne et de son application franchement simpliste. Mais, contre toute attente, la recette fonctionne assez bien.

Sa bonne fabrication, sa personnalité radicale, mais réussie, et son mode 3D ambitieux permettent de faire surnager le modèle. En revanche, sa forme très imposante n'est absolument pas adaptée aux petites têtes.

Le Yamaha n'a rien d'un tueur dans sa branche haut de gamme, il s'adresse à une cible réduite, mais se démarque positivement des autres casques. Difficile de justifier une telle tarification, mais sa qualité sonore permet d'apporter un bon début de réponse.

Yamaha YH-L700A

7

Imposant, pas extrêmement isolant et doté d'un design très particulier, le Yamaha YH-L700A est loin d'être le casque nomade parfait. Mais ses qualités sonores héritées du YH-E700A ainsi que son mode 3D convaincant permettent à ce produit premium d'imposer sa différence.

Les plus

  • Qualité sonore
  • Autonomie
  • Mode 3D convaincant en vidéo/jeux vidéo
  • Construction sérieuse

Les moins

  • Isolation active moyenne
  • Pas du tout adapté aux petites têtes
  • Trop de basses en mode ANC ?

Construction 7

Confort 6

Isolation 7

Autonomie 9

Son 8

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Guillaume Fourcadier

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Tombé dans l'audio depuis tout petit mais certainement pas audiophile, je navigue entre Hifi indécente et modèles plus abordables avec le même plaisir. Rédacteur audio sur Clubic et malheureux addict...

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Commentaires (1)

Cornichon_91
Est ce que le casque « binauralise » à partir de sources multicanal (5.1 7.1) comme peut le faire l’audio spatial d’Apple ou ne fait que spatialiser un flux stéréo ?
guifou
Le casque part forcément d’une source stéréo ici, il n’y a pas de travail en amont du smartphones comme ce qui existe sur le spatial audio. Cela implique que le rendu n’est pas aussi convaincant qu’avec des musiques et sources faites pour cela, mais rend également le modèle plus universel, en particulier quand on parle de jeu vidéo.
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