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Je vous conseille la lecture d'un article qui va pourtant complètement à
contre courant de l'objet qui nous occupe. Il s'agit d'une news sur
Transfert.net (la
nouvelle version) qui reprend un article du New York Times qui "décrit les
effets négatifs des gadgets sur le lieu de travail. Ils poussent l'employé à
mener de plus en plus de tâches simultanément mais génèrent des interruptions
qui ralentissent le travail à cause du stress et de la surcharge mentale".
Suit ensuite une interview très intéressante du professeur David Meyer, chercheur en sciences cognitives à l'université du Michigan. "Le choc entre les limites du cerveau humain et les possibilités infinies des outils créerait donc ce que les Américains appellent déjà des "troubles de la pseudo-attention", sur le modèle de l'"attention deficit disorder", ce syndrome dont souffriraient beaucoup d'enfants hyperactifs. Parmi les nouvelles pathologies, l'homme le plus moderne est aussi atteint du "syndrome de connexion compulsive", par lequel il aspire à être "toujours branché" ("always on")."
De quoi faire un peu peur aux geeks qui se reconnaîtront forcement dans ce noir portrait.
Suit ensuite une interview très intéressante du professeur David Meyer, chercheur en sciences cognitives à l'université du Michigan. "Le choc entre les limites du cerveau humain et les possibilités infinies des outils créerait donc ce que les Américains appellent déjà des "troubles de la pseudo-attention", sur le modèle de l'"attention deficit disorder", ce syndrome dont souffriraient beaucoup d'enfants hyperactifs. Parmi les nouvelles pathologies, l'homme le plus moderne est aussi atteint du "syndrome de connexion compulsive", par lequel il aspire à être "toujours branché" ("always on")."
De quoi faire un peu peur aux geeks qui se reconnaîtront forcement dans ce noir portrait.