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Pour mieux lutter contre les enlèvements, une spécialité mexicaine, les autorités expérimentent un processeur permettant de localiser l'individu "marqué".
Entre 1992 et 2002, près de 15 000 personnes ont été enlevées au Mexique. Grâce à ce triste record, le pays occupe désormais le deuxième rang mondial pour l'insécurité, derrière la Colombie et devant le Brésil.
La semaine dernière, Rafael MACEDO, Procureur général de la République mexicaine (www.pgr.gob.mx), a annoncé s'être fait implanter une puce électronique dans le bras afin d'être plus facilement localisé "n'importe où dans le pays", en cas de kidnapping.
Cette puce reliée à une base de données nationale est censée permettre aux enquêteurs, pas toujours très efficaces face à une industrie de l'enlèvement qui dépasse les hiérarchies, de progresser dans leurs investigations.
L'annonce a fait la une de la presse nationale. Rafael MACEDO a déclaré que ses principaux collaborateurs avaient, eux aussi, subi une intervention pour recevoir ce microprocesseur. Attention aux rejets et aux pulsions chirurgicales de certains !
A l'heure actuelle au Mexique, l'enlèvement est quotidien. Les ravisseurs peuvent obtenir de leur trafic des millions de pesos chaque semaine, grâce au versement de rançons par les plus "fortunés", personnalités du monde politique, hommes et femmes d'affaires, membres de la classe moyenne, expatriés et touristes.
Certaines affaires de séquestration tournent très mal, parfois jusqu'au meurtre.
Entre 1992 et 2002, près de 15 000 personnes ont été enlevées au Mexique. Grâce à ce triste record, le pays occupe désormais le deuxième rang mondial pour l'insécurité, derrière la Colombie et devant le Brésil.
La semaine dernière, Rafael MACEDO, Procureur général de la République mexicaine (www.pgr.gob.mx), a annoncé s'être fait implanter une puce électronique dans le bras afin d'être plus facilement localisé "n'importe où dans le pays", en cas de kidnapping.
Cette puce reliée à une base de données nationale est censée permettre aux enquêteurs, pas toujours très efficaces face à une industrie de l'enlèvement qui dépasse les hiérarchies, de progresser dans leurs investigations.
L'annonce a fait la une de la presse nationale. Rafael MACEDO a déclaré que ses principaux collaborateurs avaient, eux aussi, subi une intervention pour recevoir ce microprocesseur. Attention aux rejets et aux pulsions chirurgicales de certains !
A l'heure actuelle au Mexique, l'enlèvement est quotidien. Les ravisseurs peuvent obtenir de leur trafic des millions de pesos chaque semaine, grâce au versement de rançons par les plus "fortunés", personnalités du monde politique, hommes et femmes d'affaires, membres de la classe moyenne, expatriés et touristes.
Certaines affaires de séquestration tournent très mal, parfois jusqu'au meurtre.