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Une centaine d'intégrateurs peuvent désormais consulter le code du système d'exploitation de Microsoft, Windows, sans toutefois le modifier.
Le numéro un mondial du logiciel a annoncé jeudi qu'il allait étendre sa Shared Source Initiative, soit un projet de partage du code source de Windows.
Microsoft se sent obligé "d'ouvrir" le code de son système d'exploitation pour protéger son empire face à la montée en puissance du système libre, Linux.
L'initiative Shared Source a été lancée en 2001 par la firme de Bill GATES pour se défaire d'une image monopolistique entretenue par des procès antitrust qui n'en finissent pas.
Une centaine d'intégrateurs (VAR - value added resellers) pourront donc maintenant consulter le code de Windows, sans toutefois le modifier ni le revendre.
C'est une des grandes différences avec les logiciels libres, "open source". Linux met son code-source à la disposition de chacun et les programmeurs peuvent le modifier en fonction de leurs besoins.
Du côté de Microsoft, Jason MATUSOW responsable produit, affirme que l'éditeur aurait déjà diffusé 97% du code-source de Windows 2000, Windows XP et Windows CE (maintenant Pocket PC), auprès de 1 700 sociétés.
Mais il continue, bien évidemment, à défendre le modèle économique du logiciel "propriétaire". En revanche, M. MATUSOW ne fait pas référence à la concurrence de plus en plus forte des logiciels libres présents dans certaines grandes administrations et multinationales, dont bien sûr.
Microsoft mesure maintenant ses critiques contre Linux. L'heure n'est plus aux envolées d'un Craig MUNDIE lancées en mai dernier lors d'un discours à la NYU Stern School of Business (New York University).
Le Vice-président de Microsoft affirmait alors que la philosophie du logiciel libre menaçait les droits de la propriété intellectuelle et que ce mouvement était "fragile" et "corrompu"...
Le numéro un mondial du logiciel a annoncé jeudi qu'il allait étendre sa Shared Source Initiative, soit un projet de partage du code source de Windows.
Microsoft se sent obligé "d'ouvrir" le code de son système d'exploitation pour protéger son empire face à la montée en puissance du système libre, Linux.
L'initiative Shared Source a été lancée en 2001 par la firme de Bill GATES pour se défaire d'une image monopolistique entretenue par des procès antitrust qui n'en finissent pas.
Une centaine d'intégrateurs (VAR - value added resellers) pourront donc maintenant consulter le code de Windows, sans toutefois le modifier ni le revendre.
C'est une des grandes différences avec les logiciels libres, "open source". Linux met son code-source à la disposition de chacun et les programmeurs peuvent le modifier en fonction de leurs besoins.
Du côté de Microsoft, Jason MATUSOW responsable produit, affirme que l'éditeur aurait déjà diffusé 97% du code-source de Windows 2000, Windows XP et Windows CE (maintenant Pocket PC), auprès de 1 700 sociétés.
Mais il continue, bien évidemment, à défendre le modèle économique du logiciel "propriétaire". En revanche, M. MATUSOW ne fait pas référence à la concurrence de plus en plus forte des logiciels libres présents dans certaines grandes administrations et multinationales, dont bien sûr.
Microsoft mesure maintenant ses critiques contre Linux. L'heure n'est plus aux envolées d'un Craig MUNDIE lancées en mai dernier lors d'un discours à la NYU Stern School of Business (New York University).
Le Vice-président de Microsoft affirmait alors que la philosophie du logiciel libre menaçait les droits de la propriété intellectuelle et que ce mouvement était "fragile" et "corrompu"...
