Alors nous y sommes. 721 jours après la sortie du Nothing Phone (2), la marque londonienne revient enfin sur le devant de la scène – et le fait en fanfare. Depuis, des ailes ont poussé sur le dos de l'entreprise et, avec elles, des envies de grandeur. Le Nothing Phone (3) est un flagship, un vrai, nous promet la boîte de Carl Pei. Alors, très bien. Jugeons-le comme tel.
Nothing est née en 2020 et s'est rapidement spécialisée dans les smartphones de milieu de gamme ; les flagship killers dont les tout récents Nothing Phone (3a) et CMF Phone 2 Pro sont probablement les meilleurs représentants. Cinq ans à peaufiner sa formule, à innover… mais aussi cinq ans à voir le plafond de verre se rapprocher de plus en plus. Il était temps de passer la seconde.
On ne peut pas en vouloir à Nothing d'avoir envie de tâter l'herbe du haut de gamme. Le timing est le bon : la marque a sa petite réputation de sale gosse et le prix des smartphones plus conventionnels part à la hausse. Seulement, avec un Phone (3) vendu très exactement 2,07 fois plus cher que le Phone (3a) Pro, Nothing ne vise-t-il pas un peu trop loin, un peu trop tôt ? C'est tout l'objet de ce test.
- Un design clivant mais hors du commun
- Écran lumineux et bien calibré
- D'excellentes performances (même sans Snapdragon 8 Elite)
- Autonomie généreuse
- L'épure du logiciel (et la discrétion de l'IA)
- Le smartphone mériterait le meilleur verre Gorilla Glass du marché
- Un moins bon téléobjectif que le Phone (3a) Pro
- Glyph Matrix, plus utile que les LED, mais pas moins gimmick
- Probablement 50€ trop cher
Test réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur.
Dans la boîte du Nothing Phone (3)
- Un câble USB-C vers USB-C ;
- Une coque de protection transparente.
Design : une enveloppe hors du commun
Il fallait s'y attendre au vu de l'historique de la marque : le Nothing Phone (3) est… chelou. Mais d'une bonne façon, je crois. Eh bien oui, pardon. Je teste une cinquantaine de smartphones tous les ans, permettez-moi de me réjouir lorsqu'un modèle n'est pas qu'un simple copié-collé de ce qui se fait depuis des années dans l'industrie. Comme d'habitude, Nothing ose, et cela doit être porté à son crédit.

Dans la droite lignée de ses précédents modèles, le Nothing Phone (3) se réapproprie le design faussement transparent et enfonce le clou d'une asymétrie qui provoquera sans doute des nausées à certaines et certains. Oui, on a l'impression que Nothing a jeté là les trois appareils photo sans trop se préoccuper de leur emplacement. À titre personnel, je suis surtout gêné par le fait que seuls deux des trois capteurs dépassent (d'environ 2 mm) du châssis. Le téléobjectif, lui, est presque plat. Chelou, je vous dis.
Autre éléphant dans la pièce : le système lumineux Glyph LED n'est plus. Il cède sa place cette année à Glyph Matrix, un petit afficheur logé dans l'angle supérieur droit, intégrant 489 LED capables d'afficher diverses informations que je passais en revue dans cet article.
Du reste, ce smartphone au cadre d'aluminium affiche les mêmes boutons que ses prédécesseurs, avec notamment l'Essential Key inauguré sur les (3a) plus tôt cette année. Assez lourd (218 grammes), il renvoie une belle impression de solidité. C'est incontestablement le smartphone le plus abouti conçu par Nothing – et le premier à profiter d'une certification IP68. Un indispensable, pour le haut de gamme. Par contre, ce qui ne fait pas haut de gamme du tout, c'est ce verre Gorilla Glass 7i que l'on retrouve surtout sur des références à 400€. Pour un téléphone que Nothing veut nous faire poser à l'envers, écran vers le bas, afin d'admirer son design, on espérait mieux.
Écran : une dalle OLED bien calibrée
Nothing a toujours été bon élève avec ses écrans, et le Phone (3) ne fait pas exception. Très bien définie (1 260 points par 2 800), la dalle 6,7 pouces (17 cm) est cadencée à 120 Hz, mais malheureusement pas LTPO. Cela signifie que la fréquence oscille mécaniquement entre 60 Hz et 120 Hz. Pas très « flagship », mais indolore pour l'utilisateur ou l'utilisatrice. L'afficheur est parfaitement fluide, et rares sont les cas d'usage où l'appareil a besoin d'afficher moins de 60 images par seconde. Sauf… en activant le mode always-on, dont la console pour développeurs nous informe qu'il est rafraichi à 120 Hz. Autant dire que la batterie en prendra un coup, le cas échéant.
Cela étant, la luminosité de l'écran est très correcte – même si le film protecteur ajoute beaucoup de réflectance au bilan. Je vous conseille de retirer vos lunettes de soleil en extérieur pour améliorer la lisibilité. Cela dit, Nothing signe un très bon bilan du côté de la colorimétrie. L'image est très belle, les couleurs saturées comme il faut, et le point blanc m'apparaît très neutre sans avoir besoin de farfouiller dans les réglages.
Performances : plus de peur que de mal ?
La fiche technique du Phone (3) fait jaser. Nothing dit vouloir concevoir un flagship, mais se détourne de LA puce qui anime pourtant 99% des smartphones haut de gamme du marché en 2025, la Snapdragon 8 Elite de Qualcomm.
En lieu et place, la marque jette son dévolu sur la toute neuve Snapdragon 8s Gen4, dont le cœur le plus véloce est flashé à 3,21 GHz (contre 4,47 GHz pour l'Elite). Suffisant pour disqualifier le nouveau venu ? Pas si vite.
Dans nos benchmarks habituels, le Nothing Phone (3) s'en sort très bien. Il tutoie les 2 millions de points sur AnTuTu, et dépasse très largement les résultats qu'obtiennent les Pixel 9 de Google. Aussi, soyons cohérents : on ne peut pas accepter que Google refuse la course à la performance et tenir la manche à Nothing pour les mêmes raisons. Surtout quand le Phone (3) est proposé 250€ moins cher que le Pixel 9 Pro.
Le Nothing Phone (3) chauffe peu, et encaisse fièrement un Genshin Impact en qualité Élevée et dans un 60 fps plus ou moins fluide (quelques chutes à 50 fps). Aussi attaquer le Phone (3) sur ses performances au motif qu'il n'utilise pas la même puce que tous ses petits copains est un procès fallacieux.
Avez-vous besoin d'un smartphone plus puissant que celui-ci ? Moi, en tout cas, pas le moins du monde.
Interface : NothingOS joue l'épure
Je reste toujours assez critique de l'esthétique par défaut de NothingOS. Je ne comprends pas comment on est censé s'y retrouver avec ce look monochrome dont l'aspect « dot design » de certains widgets ne fait que réduire la lisibilité de l'interface. Heureusement, on repasse très facilement à une esthétique plus civilisée, avec des vraies couleurs et tout !
Basé sur Android 15 (Android 16 arrive cet été), NothingOS 3.5 est une surcouche très simple. Dépourvue d'applications préinstallées, la surcouche vous laisse maître ou maîtresse de la personnalisation.
J'apprécie de NothingOS que la surcouche ne nous jette rien en plein visage, comme des fonctionnalités IA souvent inutiles ou gimmick. Cela peut décevoir à ce prix, mais l'intelligence artificielle est aussi discrète que fonctionnelle. En fait, elle se matérialise par une barre de recherche « intelligente » qui pourra répondre à vos questions via une version modifiée de Google Gemini. Celle-ci est pourtant masquée dans le tiroir d'applications accessible en glissant vers le haut depuis l'écran principal du smartphone.
Malheureusement, le compte n'y est pas encore tout à fait. Une fois sur deux, l'IA me renvoyait des résultats en anglais ou en français (pour la même question). Rien de rédhibitoire, mais une impréparation qui pourrait être reprochée à Nothing.
L'IA est tout aussi discrète au sein de l'Essential Space. Cet espace centralise tout ce que vous pourrez enregistrer avec l'Essential Key, le bouton magique situé sur la tranche droite du smartphone. Captures d'écran, mémos vocaux… tout ça est analysé par l'IA de Nothing, qui propose de remettre de l'ordre dans tout ça en classifiant vos différentes notes, et même en créant des listes à puces ou des événements à ajouter dans votre calendrier, si besoin.
Je ne serai pas le plus grand utilisateur de l'Essential Space, mais j'applaudis à Nothing d'être le seul fabricant à donner l'impression de s'être creusé un peu la tête pour, encore une fois, ne pas faire « comme tout le monde ». Pour ces fonctionnalités là, vous accédez bien évidemment à Gemini et autres Entourer pour chercher de Google.
L'une des autres nouveautés du Phone (3), c'est la métamorphose du système Glyph. Désormais représenté par un minuscule écran au dos (plus petit que le cadran d'une montre connectée), Glyph Matrix peut servir de lampe torche, de flash, afficher le niveau de batterie restant, et même vous challenger dans une partie de pierre, papier, ciseaux. Un énorme gimmick donc, du moins jusqu'à ce que l'on s'aventure dans les réglages du téléphone et que l'on mette les mains dans le cambouis pour créer des règles de notifications particulières. Par exemple, je peux faire apparaître le visage (reproduit en esthétique 1 bit) du contact qui m'envoie un message. Ça n'a l'air de rien comme ça, mais pour qui souhaite passer moins de temps sur son téléphone, Nothing a trouvé l'astuce pour nous le faire reposer face vers le bas. Malin – et bien plus utile que le précédent système Glyph dans tous les cas.
Par honnêteté intellectuelle, je rapporte que j'ai rencontré quelques petits soucis logiciels pendant mon test. Par exemple, impossible de lancer le stress test GPU de 3DMark. Parfois, Genshin Impact restait aussi bloqué sur son écran d'accueil, et il me fallait redémarrer le smartphone pour résoudre le problème. Je n'ai jamais eu de problème sur les précédents smartphones de Nothing, donc je mets ça sur le compte d'un logiciel qui manque encore un tout petit peu d'optimisation.
Pour conclure, la marque londonienne promet cinq mises à jour majeures d'Android (jusqu'à Android 20 donc) et sept ans de correctifs de sécurité.
Appareil photo : polyvalent, mais imparfait
On en attendait pas moins : le Nothing Phone (3) affiche un beau trio d'appareils photo de 50 mégapixels (Mpx). Une configuration aujourd'hui assez standard, mais dont on ne manquera pas de souligner la ressemblance avec celle du Phone (3a) Pro. D'ailleurs, ce dernier semble même embarquer un téléobjectif un peu meilleur… de 1/1,95" à ouverture f/2,6, contre 1/2,75" f/2,7 ici. Nothing motive ce choix par la volonté d'offrir une distance de mise au point inférieure pour satisfaire au mode macro qui semblait lui tenir à cœur. Quitte à tirer les performances photo vers le bas ?
La configuration photo du Nothing Phone (3) :
- Grand-angle : 50 Mpx, 1/1,3", f/1,7, OIS ;
- Ultra grand-angle : 50 Mpx, 1/2,76", f/2,2 ;
- Téléobjectif 3x : 50 Mpx, 1/2,75", f/2,7, OIS ;
- Selfie : 50 Mpx, 1/2,76", f/2,2.
Grand-angle
Le Nothing Phone (3) intègre le plus gros capteur jamais logé dans un smartphone de la marque. Ce n'est pas le meilleur du marché, certes, mais il s'en sort admirablement bien dans la vie de tous les jours. Les images débordent de détails, le piqué est excellent, et l'exposition toujours juste.
Le traitement est cependant un peu agressif, notamment au niveau du renforcement des contrastes et de la saturation. Presque de quoi faire pâlir un Samsung ! Ne vous méprenez pas, les photos sont très plaisantes à regarder. Mais celles et ceux qui cherchent une restitution très naturelle n'y trouveront sans doute pas leur compte.
Ultra grand-angle
On reste sur un capteur de 50 mégapixels pour l'ultra grand-angle. Celui-ci est très capable, produit de belles images, très détaillées, mais manque aussi un peu de continuité par rapport à la colorimétrie du module principal. En fait, les couleurs paraissent dans certains cas encore plus saturées qu'au grand-angle. C'est notamment vrai sur le bleu du ciel, un peu fantasmé à mon goût.
Téléobjectif / Zoom
Le téléobjectif 3x du dernier Nothing est un accessoire à mon sens indispensable sur un smartphone haut de gamme. On voit immédiatement la différence lorsqu'on compare un cliché en x2 (utilisant le grand-angle) et le x3 avec son optique native. Le piqué est excellent, mais l'exposition est aussi parfois meilleure avec le zoom numérique du capteur principal.
Et puisqu'on parle du zoom numérique, le Phone (3) peut le pousser jusqu'à un vilain 60x, qui active automatiquement la reconstruction d'image par IA. Dans tous les cas, c'est plutôt cracra, et j'évite personnellement de pousser au-delà d'un zoom 10x (équivalent à 240 mm environ).
Photos de nuit
De nuit, les différences colorimétriques entre les différents capteurs apparaissent encore plus sensiblement. Si le grand-angle est de loin le module le plus intéressant du lot, sa gestion de la balance des blancs est un peu étrange, et aura tendance à rendre des clichés très froids par rapport à ses deux camarades.
Reste que sa définition force le respect, et la faible présence de bruit doit être portée au crédit de Nothing. Le téléobjectif, vous vous en rendrez compte, est quant à lui assez capricieux avec son autofocus. D'autant que le déclenchement prend parfois des plombes en basse lumière.
Portraits et selfies
Avec ses différentes focales, le Nothing Phone (3) permet de s'amuser avec le mode portrait. Le traitement est encore différent ici, et renforce davantage les contrastes pour mettre en valeur le sujet. Rien de négatif à dire au sujet du détourage, toujours réussi.
Ce qui est moins réussi, c'est la fonction macro intégrée ici au téléobjectif. La mise au point est laborieuse et le déclenchement bien trop lent. J'ai rarement réussi à prendre un cliché net avec ce mode pendant mon test.
Le module photo avant est, pour finir, excellent. Très détaillé, il ne craint pas les hautes dynamiques grâce à un mode HDR automatique convaincant. Malheureusement, opter pour le mode portrait désactive le HDR. Il vous faudra choisir entre des couleurs plus vives et un flou d'arrière-plan.
Vidéo
Nothing fait l'impasse sur la 8K et se contente de proposer un trio de caméras capables de filmer en 4K à 60 images par seconde et en HDR. Un choix parfaitement entendable, et qui permet de conserver une bonne stabilisation d'ensemble sur les trois modules.
Le Nothing Phone (3) est un vidéaste convaincant, même si les clips ont à mon goût un peu trop de grain pour un usage vraiment créatif.
Captation 4K 60 fps avec le grand-angle du Nothing Phone (3). ©Pierre Crochat pour Clubic
Captation 4K 60 fps avec l'ultra grand-angle du Nothing Phone (3). ©Pierre Crochat pour Clubic
Captation 4K 60 fps avec le téléobjectif du Nothing Phone (3). ©Pierre Crochat pour Clubic
Autonomie : un bon bilan
Avec sa batterie de 5 150 mAh, le Nothing Phone (3) ferait presque la fine bouche, face à un realme GT 7 et sa gargantuesque batterie de 7 000 mAh. Reste que mon temps passé avec lui a suffit à me rassurer sur son autonomie. Le Phone (3) a largement ce qu'il faut pour tenir une bonne journée et demie, même en activant l'écran always on (ce que j'ai fait).
Sur le test automatisé de PCMark, le Phone (3) met 18h34 pour passer de 100% à 20% d'autonomie. Ce qui le classe à peu près au même niveau que le Google Pixel 9a ou le Xiaomi 15 Ultra.
Enfin, pour la recharge, le smartphone accepte une entrée de 65 watts en filaire ou 15W sans fil. Avec un chargeur compatible Anker, il faut compter un tout petit peu moins d'une heure pour refaire le plein.
Nothing Phone (3) : prix, disponibilité et concurrence
Le Nothing Phone (3) sera disponible le 15 juillet prochain à partir de 849€ avec 12+256 Go, ou 949€ pour 16+512 Go (modèle testé).
Un nouveau concurrent direct pour le Samsung Galaxy S25 donc, mais aussi pour le Pixel 9 que nous évoquions plus haut. Le POCO F7 Ultra, vendu beaucoup moins cher, à 649€, est également une référence à garder à l'œil.
Nothing Phone (3) : l'avis de Clubic
Est-ce que le Nothing Phone (3) est un bon smartphone ? Indéniablement. Est-ce un bon flagship ? Il y a des choses à dire.
Si l’on s’arque-boute autant sur ce terme, c’est que Nothing tend le bâton pour se faire battre. C’est la marque qui insiste autant pour qu’on prenne son dernier smartphone pour tel. Et, lorsqu’on fait le bilan, le compte n’y est pas tout à fait.
Je ne retiendrai pas l’argument du processeur contre Nothing. Je suis de ceux qui estiment qu’un smartphone n’a pas besoin d’avoir la puce la plus puissante qui soit pour mériter des éloges. D’autant que les performances ne sont jamais un problème ici. Mais, la réalité est que je peine à voir ce que ce Phone (3) apporte de plus que le Phone (3a) Pro sorti il y a quelques mois pour deux fois moins cher.
Oui, le design est plus travaillé. Oui, le nouveau Glyph Matrix a des chances d’être moins gimmick que l’ancien système. C’est vrai, l’écran s’améliore, aussi. Mais pour ce qui est de la photo, de l’autonomie ou du logiciel ? Je ne tombe pas de ma chaise.
Le Phone (3) donne l’impression que Nothing s’est un peu surclassé. Un péché d’orgueil difficile à reprocher à une marque qui aligne les succès depuis sa création. Mais le fait est que l’existence de ce flagship me rend surtout impatient de découvrir de quel bois se chauffera le prochain milieu de gamme de la marque, qui héritera probablement des meilleures qualités de celui-ci.
- Un design clivant mais hors du commun
- Écran lumineux et bien calibré
- D'excellentes performances (même sans Snapdragon 8 Elite)
- Autonomie généreuse
- L'épure du logiciel (et la discrétion de l'IA)
- Le smartphone mériterait le meilleur verre Gorilla Glass du marché
- Un moins bon téléobjectif que le Phone (3a) Pro
- Glyph Matrix, plus utile que les LED, mais pas moins gimmick
- Probablement 50€ trop cher
Fiche technique Nothing Phone (3)
Taille de l'écran | 6.67 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Mémoire interne | 256 Go, 512 Go |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go, 16 Go |
Capacité de la batterie | Si/C 5150 mAh |
Charge rapide | Oui |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 Mpx, 50 Mpx, 50 Mpx |
Système d'exploitation | Android |
Version du système d'exploitation | 15 |
Surcouche Android | Nothing OS 3.5 |
Assistant vocal | Google Assistant |
Taille de l'écran | 6.67 pouces |
Type d'écran | OLED |
Définition de l'écran | 1260 x 2800 pixels |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Densité de pixels | 460 ppi |
Écran HDR | Oui |
Mémoire interne | 256 Go, 512 Go |
Stockage extensible | Non |
Processeur | Snapdragon 8s Gen 4 |
Finesse de gravure | 4nm |
Nombre de cœurs CPU | Octa-core |
Fréquence CPU | 3.21GHz |
GPU | Adreno 825 |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go, 16 Go |
Capacité de la batterie | Si/C 5150 mAh |
Batterie amovible | Non |
Recharge sans-fil | Oui |
Charge rapide | Oui |
Puissance de la charge rapide | 65W |
Nombre de caméras (avant & arrière) | 4 |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 Mpx, 50 Mpx, 50 Mpx |
Définition du / des capteur(s) avant | 50 Mpx |
Enregistrement vidéo | 4K@30/60fps, 1080p@30/60fps |
Stabilisateur caméra | Optique et Numérique |
Flash arrière | LED |
Ouverture objectif photo arrières | f/1.7, f/2.7, f/2.2 |
Ouverture objectif photo frontaux | f/2.2 |
Zoom Optique | x3 |
Carte(s) SIM compatible(s) | Nano-SIM |
Compatible double SIM | Oui |
Compatible 5G | Oui |
Compatible VoLTE | Oui |
Wi-Fi | Wi-Fi 7 |
Bluetooth | 6 |
NFC | Oui |
GPS | Oui |
Type de connecteur | USB Type-C |
Lecteur biométrique à empreinte digitale | Oui |
Capteur de reconnaissance faciale | Reconnaissance faciale 2D |
Acceleromètre | Oui |
Gyroscope | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Prise Jack | Non |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Hauteur | 160.6mm |
Largeur | 75.6mm |
Epaisseur | 9mm |
Poids | 218g |
Certification IP | IP68 |
Les produits alternatifs au Nothing Phone (3)
- Les excellentes performances
- Autonomie redoutable
- Les photos (grand-angle et téléobjectif)