C’est presque une tradition : en juillet, Samsung met à jour la famille Galaxy Z, sa gamme de smartphones pliants. Nous testons aujourd’hui le Galaxy Z Flip 7, le modèle « à clapet » qui jouit d’une popularité grandissante.

Qu’apporte donc le nouveau venu par rapport à son prédécesseur ? Vaut-il véritablement le coup ? Avec un prix débutant à 1200 euros, on est en droit de se poser ces questions. Et comme on aime bien aider nos lecteurs, on l’a pris en test afin de vérifier son intérêt.
- Ecran externe
- Qualité photo & vidéo en bonne luminosité
- Galaxy AI efficace
- OneUI 8.0
- Ajout de DeX
- Performances globales
- Charge trop lente
- Pas d'alimentation fournie
- Prix élevé
Le design évolue doucement, très doucement…
Pas de grosse révolution en matière de design et d’ergonomie : le Z Flip 7 ressemble comme à un frère au Z Flip 6, tout en étant plus large (75,2 contre 71,9 mm). Mine de rien, cela change pas mal de choses, notamment lorsqu’on utilise le clavier virtuel.
Ses touches sont un poil plus grandes et cela facilite la frappe. Son poids augmente d’un gramme (188 g contre 187 pour son prédécesseur) tandis qu’il perd 0,4 mm d’épaisseur (6,5 mm). L’intégralité de la face arrière est protégée par une feuille de verre Gorilla Victus 2. Sa partie inférieure dispose d’une finition dépolie du plus bel effet (notre modèle de test était bleu).
Le châssis et la charnière sont faits d’aluminium Armor, un alliage propre à Samsung et dont il conserve jalousement le secret de fabrication. Ce n’est certes pas une nouveauté en tant que telle, puisque l’alliage était déjà présent dans le Z Fold 3. Le coréen a revu sa formule afin de la rendre plus résistante et l’a baptisée « Extended Armor ».
À l'en croire, cette nouvelle version serait 10 % résistante que l’originale et surtout plus légère. Le bureau de tests Veritas, qui fait autorité en matière de tests et de certifications, a estimé que la charnière en Extended Armor résisterait à plus de 500 000 cycles d’ouverture/fermeture. Une fois plié, le Z Flip 7 ne fait que 13,7 mm d’épaisseur, soit 1,2 mm de moins que son prédécesseur.
L’appareil s’avère compact et se loge facilement dans une poche de pantalon ajusté. L’ergonomie, enfin, reste on ne peut plus classique : touches mécaniques sur le flanc droit (dont une recevant le lecteur d’empreintes), tiroir pour la carte SIM (1 SIM + 1 eSIM ou 0 SIM + 2 eSIM) et connecteur USB-C à la base.
Avec sa largeur un peu plus grande et son épaisseur réduite, le Z Flip 7 n’est pas une révolution en tant que telle parmis les smartphones pliants. Il apporte néanmoins un confort accru au quotidien, surtout lorsqu’il s’agit de saisir du texte avec le clavier virtuel. Précisons enfin que l’appareil est conforme à la norme d’étanchéité IP48. Il résistera donc à une immersion dans de l’eau claire à 1,5 m pendant 30 minutes et reste insensible aux poussières et autres saletés de plus d’un millimètre.
Deux écrans agréables et lumineux
L’écran principal du Z Flip 7 est constitué d’une dalle Foldable Dynamic Amoled 2x LPTO de 6,9 ’’ affichant 1080 × 2520 pixels. Sa fréquence de rafraîchissement max atteint 120 Hz, mais il reste possible de la faire plafonner à 60 Hz afin de préserver son autonomie.
Bien qu’il soit plus grand que celui de son prédécesseur, il dispose d’une définition moindre, puisqu’il affichait 1080 × 2640 pixels. Même si cela ne fait pas vraiment de différence au quotidien, Samsung ne nous a pas habitués à ce genre de déflation.
Pour le reste, il est conforme à ce que l’on peut espérer d’un produit haut de gamme : luminosité maxi de 2600 nits, certification HDR10+ et gestion impeccable des contrastes. La pliure, signature pour l’instant inévitable des smartphones pliants, est quasiment invisible dans les conditions normales d’utilisation (face à l’écran allumé).
Le nouveau verre de protection rend la pliure encore moins sensible au toucher. On la perçoit très légèrement en utilisation quotidienne, mais elle n’est plus gênante. En revanche, son revêtement reste un aimant à salissures (empreintes de doigt, poussières) et émet toujours autant de réflexions parasites.
L’écran externe est l’une des grandes nouveautés du Z Flip 7. Sa dalle Super AMOLED couvre désormais la quasi-totalité de la face avant, les optiques et le flash de la caméra principale prenant place dans trois perforations.
Il gagne en taille (diagonale de 4,1"), dispose d’une luminosité maxi de 2600 nits (1600 nits pour son prédécesseur) et affiche 948 × 1048 pixels (hors perforations). Il reste impeccablement lisible en plein soleil, ce qui le rend encore plus attractif.
Lors de nos tests, nous avons apprécié sa lisibilité ainsi que sa taille. Il permet de ne pas recourir à l’écran principal pour les interactions de la vie quotidienne (notifications, lecture de playlists, messagerie instantanée, etc). C’est un avantage indiscutable par rapport aux modèles précédents.
Des performances très honorables
Le Z Flip 7 est construit autour du SoC Samsung Exynos 2500 comportant 10 cœurs gravés en 3 nm. C’est la première fois que nous croisons ce SoC, annoncé en juin dernier et positionné en haut de gamme.
À en croire ses concepteurs, il doit tenir tête aux ténors du moment (Qualcomm Snapdragon 8 Elite, Mediatek Dimensity 9400), notamment grâce à son GPU Xclipse 950 gérant le ray tracing au niveau matériel. Il est épaulé par 12 Go de RAM et par 256 ou 512 Go de stockage UFS 4.0 interne non extensible.
Nous avons donc soumis le Z Flip 7 à notre habituelle batterie de benchmarks. Il est crédité de 1 722 555 points au test Antutu qui évalue les performances globales. Son GPU obtient 4 993 points avec 3D Mark Wild Life Extreme, tandis que le processeur central récolte 6 798 points GeekBench en multicœurs (1795 points en monocœur).
Ces performances sont effectivement très bonnes, sans toutefois atteindre celles d’un smartphone équipé d’un Snapdragon 8 Elite ou d’un Dimensity 9400. Cela s’explique en partie par le design pliant du produit qui ne permet pas d’installer un mécanisme de dissipation calorique aussi performant que dans un smartphone conventionnel. Nos résultats montrent que le SoC doit réduire fortement sa fréquence de fonctionnement (throttling) afin de ne pas surchauffer.
Ne noircissons pas inutilement le tableau. Le Z Flip 7 est capable de mener à bien la totalité des tâches qu’on pourra lui confier, y compris les plus exigeantes en matière de puissance de calcul. Les derniers jeux 3D tournent sans problème au framerate maximal avec un niveau de détail élevé. Nous n’avons pas remarqué de ralentissement notable en utilisation intensive et la température ne s’envole pas au point de rendre l’appareil désagréable à utiliser.
Autonomie en hausse, mais charge trop lente
Samsung a réussi à caser dans le Z Flip 7 une batterie Li-Po de 4 300 mAh, soit 300 mAh de plus que sur le Z Flip 6. On salue la performance, surtout dans des dimensions si contenues. Bien sûr, il aurait pu bénéficier d’une meilleure capacité si le constructeur avait opté pour un accumulateur Silicium-Carbone offrant une meilleure densité énergétique. Samsung y viendra peut-être, lorsqu’il estimera maîtriser correctement ce type de batterie.
En attendant, l’autonomie du du Z Flip 7 s’avère en progrès par rapport à celle du Z Flip 6. En utilisation traditionnelle, c’est-à-dire sans trop forcer sur le jeu, le streaming vidéo et sans le déplier à tout bout de champ, on dépasse 1,5 jour avant de devoir passer par la case recharge. En mode geek, où l’on abuse des joies simples de la vie numérique (jeu, streaming audio et vidéo, messageries instantanées, réseaux sociaux, etc), on dépasse de peu une journée d’autonomie.
On a certes déjà croisé des smartphones plus autonomes, mais on est heureux de constater que le Z Flip 7 fait beaucoup mieux que son prédécesseur. Le mérite en revient en grande partie à la gravure en 3 nm qui nécessite moins d’énergie. L’Exynos 2500 étant très récent, gageons que la R&D de Samsung optimisera ses pilotes afin de réduire la consommation électrique : c’est généralement ce qui se passe avec les nouvelles puces.
Dommage que Samsung se contente toujours d’une charge filaire « rapide » limitée à 25 watts. En utilisant le bloc d’alimentation officiel (non fourni avec le smartphone), il faut tout de même 30 minutes pour passer de 0 à 50 % et près de 90 minutes pour atteindre 100 %. L’induction ne brille pas non plus par ses performances et il faudra se contenter de 15 watts, toujours en ayant le chargeur qui-va-bien.
OneUI 8.0 exploite de mieux en mieux l'écran externe
Côté logiciel, le Z Flip 7 dispose d’Android 16 et de la surcouche maison OneUI 8.0. Avant d’aller plus loin, rappelons que Samsung garantit 7 ans de mises à jour de sécurité ainsi que la fourniture de 7 versions majeures d’Android (et non plus de 7 années de support Android, comme indiqué auparavant). À notre connaissance, seul Google offre une telle longévité sur ses smartphones Pixel.
On a déjà dit tout le bien que l’on pensait des versions précédentes de OneUI, et ce n’est pas celle-ci qui va nous faire changer d’avis ! Toujours aussi agréable à utiliser et très intuitif, OneUI 7.0 remplace avec bonheur l’interface standard d’Android Stock, dont il comble les lacunes (et il y en a).
Galaxy AI, l’intelligence artificielle maison, est bien entendu de la fête et reprend les nouveautés introduites avec les Galaxy S25. On ne va donc pas s’étendre sur le sujet afin de ne pas être accusé de radotage.
En revanche, on apprécie l’exploration de l’écran externe faite par Samsung. Contrairement à ce que propose Motorola avec le Razr 60 Ultra, il n’est pas encore possible d’accéder à toutes les applications sans avoir à déplier le smartphone. Certaines offrent des widgets bien conçus donnant accès à la majorité des fonctions.
Les autres ne sont pas officiellement supportées, mais cela ne saurait tarder. En nous baladant dans les paramètres, on a remarqué avec plaisir que la rubrique « Labs » permettait d’ajouter des apps non supportées officiellement.
Mieux : en installant « Multistar », un utilitaire développé par Samsung, on peut désormais ajouter n’importe quelle app sur le lanceur externe. On a donc tenté l’expérience et cela fonctionne plutôt très bien, à condition que l’app puisse s’arranger d’un écran carré.
Nos applications habituelles fonctionnent parfaitement. Parfois, certains éléments ne sont pas complètement accessibles, notamment si les boutons de validation se trouvent au niveau des objectifs de la caméra. Ils sont alors inaccessibles et il faut déployer l’écran. Dans tous les cas, le clavier s’est avéré fonctionnel et agréable à utiliser. Espérons que cette possibilité sera rapidement disponible par défaut !
La seule véritable nouveauté logicielle réside dans l’ajout de DeX. Auparavant réservé aux séries S et au Fold, cette fonction transforme le smartphone en un ordinateur de bureau. Pour cela, il faut le connecter en Wifi ou à l’aide d’un câble à une smart TV ou à un moniteur informatique.
L’écran du smartphone devient alors un pavé tactile et on peut lui adjoindre un clavier Bluetooth. Nous devons avouer notre affection pour ce mode que nous utilisons assez souvent lors de déplacements. Il rendra service aux professionnels ne souhaitant pas s’encombrer d’un notebook juste pour dérouler une présentation en clientèle.
L’étrange cas du Galaxy Z Flip 7 FE
La famille Galaxy Z s’enrichit d’un nouveau membre : le Galaxy Z Flip 7 FE. Ce suffixe, déjà croisé dans différentes gammes, désigne un produit aux caractéristiques techniques plus modestes, mais au prix plus abordable.
Avec lui, Samsung s’enorgueillit de proposer un modèle Z dont le prix de vente reste sous la barre des 1000 euros. Mathématiquement parlant, on ne peut pas lui donner tort, puisqu’il est vendu 999 €. Comme quoi, le marketing se cache souvent dans les détails…
Nous aurions aimé le tester, mais Samsung n’a pas été en mesure de nous en faire parvenir un exemplaire à temps. Nous nous sommes donc contentés d’examiner l’appareil lors de la présentation officielle ainsi que sa fiche technique. Ce qu’on y apprend est très instructif.
Ce Z Flip 7 FE a comme un petit air de déjà-vu. Nous n’avons pas eu à chercher bien loin pour trouver l’explication : il reprend l’essentiel des caractéristiques du Z Flip 6 de l’an dernier. La principale différence réside dans l’emploi d’un SoC Exynos 2400, déjà vu dans les Galaxy S24 et S24+ et dont les performances se rapprochent de celles d’un Snapdragon 8 gen 3.
Il est accompagné par 8 Go de RAM (contre 12 Go pour son prédécesseur) et n’est proposé qu’avec 128 ou 256 Go de stockage interne (256 Go ou 512 Go pour le Z Flip 6). La luminosité de l’écran externe bénéficie d’un boost bienvenu puisqu’elle atteint désormais 2600 nits en pic HDR.
Enfin, Bluetooth passe en version 5.4 (contre 5,3 sur le Z Flip 6). Pour le reste, rien ne change : les dimensions et le poids sont identiques, tout comme la définition des écrans, la capacité de la batterie ainsi que les caméras embarquées.
Et le prix, dans tout cela ? On l’a évoqué en introduction, la version 8Go+128Go est proposée à 999 € tandis que le modèle 8 Go+256Go vaut 1059 € (hors promotions de lancement). Au moment où ce test est rédigé, le Galaxy Z Flip 6 en 12Go+256Go est facilement trouvable neuf entre 700 et 850 €. Il est donc plus intéressant que le Z Flip 7 FE jusqu’à épuisement du stock.
Photo & vidéo : comme un air de déjà-vu
La caméra extérieure du Z Flip 7 se compose de deux modules :
- Module principal : capteur 50 Mpxl (photosites 1 µm) ; objectif 23 mm ouvrant à f/1,8 : autofocus dual pixel ; stabilisation optique
- Ultra grand-angle : capteur 12 Mpxl (photosites 1,12 µm) ; objectif 14 mm ouvrant à f/2,2 ; angle de vision de 123°
La caméra intérieure est quant à elle constituée d’un capteur 10 Mpxl (photosites 1,22 µm) et d’un objectif 23 mm ouvrant à f/2,2.
Dire que les concepteurs du Z Flip 7 ne se sont pas foulés sur ce coup-ci tient de l’euphémisme. Ils se sont contentés de reprendre à l’identique les caméras du Z Flip 6. Difficile de leur en vouloir, ce dernier étant plutôt doué pour un smartphone pliant. En plein jour ou en luminosité normale, les images shootées avec le module principal sont de très bonne qualité.
Certes, la colorimétrie est un poil boostée, mais c’est habituel chez Samsung. En l’absence de téléobjectif optique, l’IA est mise à contribution afin de produire un zoom « qualité optique ». Le résultat est tout à fait convaincant en 2x, même si on voit apparaître un léger fourmillement dans les zones sombres. Et encore : il faut pour cela examiner l’image sur un moniteur informatique pour le remarquer.
En 4x, le résultat ne démérite pas, même si les détails les plus fins de l’arrière-plan commencent à disparaître. Là aussi, rien de bien dramatique. En 10x, valeur maximale permise ici, l’image reste convenable. L’IA fait ce qu’elle peut pour préserver la scène, mais on note un rendu un poil artificiel sur certaines zones détaillées.
L’ultra-grand-angle n’est pas le meilleur du moment, mais les résultats qu’il produit sont très acceptables. On remarque tout de même un manque de piqué sur les bords de la scène, parfois accompagné de quelques petites aberrations chromatiques. Mais dans l’ensemble, ça passe.
Le mode portrait produit un flou d'arrière-plan convaincant, l'IA progressant au fil des mises à jour. Cela ne l'empêche pas de se faire parfois piéger sur des scènes complexes.
En faible luminosité ou de nuit, les photos suivent la même tendance qu’en plein jour. Toutefois, le lissage imposé par l’IA devient plus envahissant afin de juguler le bruit numérique, forcément plus important. Le lissage qui en résulte rend l’image produite moins convaincante en zoom 2x même si elle reste honorable. Au-delà, les détails les plus fins de la scène sont rapidement gommés et on évitera de s’aventurer au-delà de 4x.
L’aspect vidéo ne démérite pas. On peut enregistrer des séquences en Ultra HD 60 img/s maxi et sélection un débit binaire élevé si besoin (scènes d’action). La captation en HDR10+ est de la partie à condition d’activer l’option dans les réglages. La stabilisation est plus que correcte pour un smartphone de cette catégorie.
L’audio enregistré est de bonne tenue. La fonction « zoom avant du micro », qui effectue un focus sur l’audio de la scène zoomée, peut s’avérer utile. Même constatation avec l’enregistrement audio 360°, disponible si l’on utilise des écouteurs Gazlaxy Buds Pro 3. Ses micros sont mis à contribution afin de capturer un audio spatialisé étonnamment bon pour du matériel grand public.
Le bilan des fonctions photo et vidéo est donc positif. On apprécie la qualité d’image en bonne luminosité, même si l’ultra-grand-angle n’est pas parfait. La captation vidéo donne, elle aussi, entière satisfaction, y compris sur l’aspect audio spatial.
Samsung Galaxy Z Flip 7 : l'avis de Clubic
A n'en pas douter, le Galaxy Z Flip 7 de Samsung est un produit réussi. Il reprend l’essentiel de ce que propose son prédécesseur, tout en améliorant certains points. On pense à la largeur de l’écran principale, un peu plus importante, qui permet de mieux utiliser le clavier virtuel. Ou de l’extension de l’écran externe à toute la surface disponible ainsi qu’une meilleure luminosité.
On prend beaucoup de plaisir à l’utiliser, ce qui évite d’avoir à déplier l’appareil à tout bout de champ. À ce sujet, un travail important a été effectué sur la charnière et le verre de protection de la dalle AMOLED. La pliure est de moins en moins visible et pratiquement imperceptible au toucher.
Bon point aussi pour les performances très correctes de l’Exynos 2500 et sa bonne gestion de la consommation électrique. La batterie de 4300 mAh offre une autonomie correcte. Seule la charge « rapide », qui ne l’est pas vraiment, mériterait un peu plus d’attention de la part de Samsung.
Côté logiciel, Android 16 et son complice OneUI 8.0 sont toujours aussi agréables à prendre en main. On apprécie la fluidité de l’interface et les fonctions proposées par la surcouche logicielle de Samsung. Notons avec satisfaction que DeX, le mode desktop de Samsung, apparaît pour la première fois sur un Galaxy Z Flip.
Cet ensemble d’améliorations fait du Z Flip 7 un smartphone pliant séduisant, dont le prix reste élevé. S’il n’augmente pas par rapport à l’an passé, il faudra tout de même débourser 1199 € pour le modèle 12+256 Go ou 1319 € si l’on opte pour la version 12+512 Go. Cela reste cher. Très cher.
- Ecran externe
- Qualité photo & vidéo en bonne luminosité
- Galaxy AI efficace
- OneUI 8.0
- Ajout de DeX
- Performances globales
- Charge trop lente
- Pas d'alimentation fournie
- Prix élevé
Le bilan de l’aspect photo est donc positif. On apprécie la qualité d’image en bonne luminosité, même si l’ultra grand-angle n’est pas parfait. La captation vidéo donne elle aussi entière satisfaction, y compris sur l’aspect audio spatial.
Fiche technique Samsung Galaxy Z Flip 7
Mémoire interne | 256 Go, 512 Go |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go |
Capacité de la batterie | 4300 mAh |
Charge rapide | Oui |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 mpxl + 12 Mpxl |
Système d'exploitation | Android |
Version du système d'exploitation | 16 |
Surcouche Android | OneUI 8.0 |
Assistant vocal | Bixby, Gemini |
Taille de l'écran | 6.8 pouces |
Type d'écran | Dynamic AMOLED 2X |
Définition de l'écran | 2520 x 1080 pxls |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Écran HDR | Oui |
Taille de l'écran | 4 pouces |
Type d'écran | Super AMOLED |
Définition de l'écran | 1048 x 948 |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Mémoire interne | 256 Go, 512 Go |
Stockage extensible | Non |
Processeur | Exynos 2500 |
Finesse de gravure | 3nm |
Nombre de cœurs CPU | 10 |
Fréquence CPU | 3.3GHz |
GPU | Xclipse 950 |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go |
Capacité de la batterie | 4300 mAh |
Batterie amovible | Non |
Recharge sans-fil | Oui |
Charge rapide | Oui |
Puissance de la charge rapide | 25W |
Nombre de caméras (avant & arrière) | 1 + 2 |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 mpxl + 12 Mpxl |
Définition du / des capteur(s) avant | 10 Mpxl |
Enregistrement vidéo | UHD 4K @60 im/sec |
Stabilisateur caméra | Numérique |
Flash arrière | Dual-LED |
Flash Frontal | Non |
Ouverture objectif photo arrières | f/1,8 + f/2,2 |
Ouverture objectif photo frontaux | f/2,2 |
Zoom Optique | non (2x "qualité optique") |
Carte(s) SIM compatible(s) | Nano-SIM, eSIM |
Nombre total eSIM | 1 |
Compatible double SIM | Oui |
Compatible 5G | Oui |
Compatible VoLTE | Oui |
Wi-Fi | 7 |
Bluetooth | 5.4 |
NFC | Oui |
GPS | Oui |
Infrarouge | Non |
Satellite | Oui |
Type de connecteur | USB Type-C 3.2 gen 1 |
Lecteur biométrique à empreinte digitale | Oui |
Capteur de reconnaissance faciale | Reconnaissance faciale 2D |
Acceleromètre | Oui |
Gyroscope | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Prise Jack | Non |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Hauteur (Ouvert) | 167.7mm |
Hauteur (Plié) | 85.5mm |
Largeur (Ouvert) | 75.2mm |
Largeur (Plié) | 75.2mm |
Epaisseur (Ouvert) | 6.5mm |
Epaisseur (Plié) | 13.7mm |
Poids | 188g |
Certification IP | IP48 |
Indice de réparabilité | 8.1 |
DAS tête | 0,689 W/kg |
DAS tronc | 1,215 W/kg |
DAS membres | 2,45 W/kg |