Test Sonos Ace : un premier casque presque parfait

Guillaume Fourcadier
Par Guillaume Fourcadier, Spécialiste Audio.
Publié le 04 juin 2024 à 11h33
Voici le Sonos Ace, le tout premier casque de la marque du constructeur © Guillaume Fourcadier pour Clubic
Voici le Sonos Ace, le tout premier casque de la marque du constructeur © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Attendu de longue date, le tout premier casque du constructeur Sonos, Ace, est enfin disponible. Modèle Bluetooth haut de gamme, il chasse directement sur les terres de marques bien établies, comme Sony, Bose, et bien sûr Apple et son Airpods Max. Un produit très technologique et innovant.

Les plus
  • Sonorité ample et globalement équilibrée
  • Immersion très réussie en mode Atmos
  • Excellente isolation phonique
  • Qualité de fabrication
  • Très bon kit mains libres
  • Bon confort
Les moins
  • Aigus pas assez linéaires
  • Voix en retrait
  • Plus lourd que la moyenne (312 g)

Le constructeur a pour l'occasion mis le paquet sur le design de son casque bluetooth, mais également sur les fonctionnalités. Outre la présence d'une puce haut de gamme Qualcomm (avec codec lossless), il met en avant une réduction de bruit avancée, un son « d'une clarté extraordinaire », et une autonomie robuste. Cerise sur le gâteau, la promesse d'une expérience Dolby Atmos, grâce à un lien privilégié avec ses barres de son. Ambitieux, mais également dispendieux.

Tel qu'Apple aurait pu l'imaginer

100 % Sonos dans la philosophie, l'Ace est selon nous la représentation parfaite de ce qu'aurait pu être l'Airpods Max, du moins dans son design. Ce Sonos est l'exemple même du produit épuré et réussi. Rien ne déborde, aucune aspérité ou élément discordant n'apparaît, le constructeur privilégie les courbes, les traits épurés, les surfaces pâles et uniformes. Mention spéciale pour les coques, qui affichent une finesse assez impressionnante.

Apple a de la concurrence avec le Sonos Ace © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Malgré tout, la marque ne s'abandonne pas totalement aux tons mats, puisque quelques éléments rutilants sont présents sur l'Ace, à commencer par les branches en inox. Afin de conserver un maximum de discrétion, ces dernières s'intègrent (y compris le système de pivot) directement dans les coques.

Le casque est design et élégant © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Les branches constituent les seuls éléments visibles en métal. Pour le reste, nous alternons plastique et similicuir (coussinets et repose-tête). Comme Bose et Sony ? Pas vraiment. Puisque sans atteindre la maestria premium d'un Bowers & Wilkins PX7 S2, ce modèle bénéficie d'une fabrication assez impressionnante, sans réel défaut. La structure est dense, l'assemblage à peu près parfait, aucun grincement de structure ne se fait sentir. Forcément, cela passe par un poids plus élevé que la moyenne : 312 g (contre 254 g pour le WH-1000 Xm5, et 252 g pour le QC Ultra Headphones).

Comme souvent sur les produits modernes, la structure n'est pas pliante. On ne peut ici que rabattre le produit à plat, qui plus est dans le mauvais sens (tourné vers l'extérieur si porté).

La structure n'est pas pliante © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Simple mais efficace, le packaging se compose de trois éléments : une housse de transport rigide recouverte d'une surface rêche ; un câble pour la charge ou une utilisation audio ; un câble USB-C vers jack 3,5 mm, afin de raccorder le Sonos Ace sur une sortie analogique. Si la housse de transport protège très bien le casque, le revêtement est assez salissant et sujet aux rayures, et l'ouverture zippée se coince assez facilement à l'ouverture et à la fermeture.

Confortable, mais un peu plus lourd

À peu près aussi bien équilibré que les meilleurs, le Sonos Ace dispose de coussinets très enveloppants et d'un repose-tête suffisamment bien rembourré. De plus, le niveau de serrage est assez contenu, et le réglage de l'arceau assez long pour que ce produit s'adresse à l'immense majorité des morphologies de têtes.

Le Sonos Ace est un peu lourd et donc moins confortable sur de longues heures d'écoute © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Malgré tout, nous ne sommes justement pas encore au niveau des meilleurs, du fait de son léger surpoids. Ce casque nomade est tout simplement moins confortable sur les très longues sessions d'écoute.

Il est difficile de le vérifier au vu des températures actuelles assez clémentes, mais les coussinets retiennent visiblement bien la chaleur, ce qui risque d'être problématique pendant l'été.

Commandes à l'ancienne, peu de réglages

Nous pourrions être un peu déçus du choix de Sonos, puisque l'Ace se rapproche plus d'un Airpods Max que d'un WH-1000Xm4 ou un QC Ultra Headphones. Il n'exploite ainsi pas en tant que zones tactiles les très larges surfaces offertes par les coques. La marque est donc prudente, et se concentre sur un principe 100 % boutons, qu'elle associe à des capteurs de port présents au niveau des coussinets.

Des boutons bien présents et utiles © Guillaume Fourcadier pour Clubic

On retrouve ainsi deux boutons classiques : allumage/extinction/appairage ; basculement entre les modes de réduction de bruit. Sonos ajoute à cela une glissière multifonction, cliquable (pour les actions de navigation). Un déplacement vers le haut et le bas permet de modifier le volume, sachant que cette glissière revient toute seule au point d'équilibre. En dépit de sa simplicité, cet ensemble fonctionne extrêmement bien. Mention spéciale à la glissière justement, particulièrement réactive.

Finalement, assez peu de réglages sont disponibles sur cette application Sonos © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Moins convaincante, l'application Sonos ne brille pas par sa richesse. Si l'on met de côté quelques petits bugs expérimentés au premier appairage, Assez peu de réglages ergonomiques et ajustements sont présents. Le constructeur fait là aussi le choix d'une certaine épure. On ne retrouve notamment qu'un égaliseur trois bandes, un réglage loudness (qui accentue les basses et aigus à bas volume), et quelques fonctions. Difficile de comparer l'expérience procurée par ce modèle Bluetooth avec ce que proposent certains adversaires.

Le Sonos n'est pas capable de fonctionner en mode passif (éteint), et il ne dispose pas d'une entrée jack. Mais, Sonos ne se moque tout de même pas de nous, du moins pas autant qu'Apple, puisque le connecteur peut servir d'interface audio (raccordée à une sortie de PC ou console) Plus encore, une prise jack 3,5 mm vers USB-C est livrée, afin de brancher l'appareil à une sortie casque.

Connectivité : tourné vers l'avenir

Propulsée par une puce Qualcomm tout ce qu'il y a de moderne, puisqu'estampillé Snapdragon Sound, le Sonos Ace est compatible multipoint (connexion à deux appareils), et prend en charge la quasi-intégralité des codecs AptX : AptX, AptX HD, AptX Adaptive, et même AptX Lossless via une future mise à jour. En plus basique, nous avons évidemment droit au couple SBC/AAC.

Sans surprise, la liaison se révèle parfaitement stable. Le casque n'est pas sujet à des coupures, même en AptX HD, et la portée est excellente. Seule la compatibilité LE Audio n'est pas encore ouvertement annoncée, bien qu'elle paraisse évidente sur une puce aussi récente.

Le Sonos Ace propose une technologie innovante © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Mais l'aspect le plus innovant du Sonos Ace réside dans une technologie maison : la possibilité de recevoir un flux audio basse-latence en Atmos via une connexion directe avec une des barres de son (pour le moment uniquement l'Arc) de son univers home cinéma. En l'occurrence, la barre de son effectue elle-même un traitement audio capable de transformer un flux Atmos ou multicanal (upsamplé en Audio 3D) en un signal stéréo de type Spatial Audio, afin de le relayer au casque. Le produit bénéficie en outre d'un suivi des mouvements de la tête (désactivable). Via le soft Sonos ou un simple appui long sur la glissière du casque, on peut passer d'un appareil à l'autre, selon les situations (pour ne pas réveiller ses voisins par exemple). Il ne sera visiblement pas possible, du moins dans un premier temps, d'appairer plus d'un appareil à la fois.

Isolation et appel : premier essai, belle surprise

Petit nouveau dans le domaine, mais acteur très bien rodé technologiquement, le Sonos Ace est un produit particulièrement surprenant pour un premier essai. C'est simple, l'appareil parvient à se hisser, à quelques détails près, à la hauteur des meilleurs élèves. L'isolation est particulièrement importante dès les plus basses fréquences, et se perpétue dans les médiums avec une belle régularité. Seule l'isolation des voix, à peu près égale à ce que propose Sony sur son WH-1000Xm5 (légèrement meilleur), n'égale selon nous pas le traitement impressionnant du Airpods Max. Ainsi, les voix, surtout masculines, ne semblent pas aussi sabrées que le reste. Mis à part ce cas de figure, la sensation de bulle de silence est bluffante, notamment en avion ou en ville.

Mesure de l'isolation active. En noir le bruit normalisé à 0 dB. En vert, l'isolation active. En marron, l'isolation passive. Mis à part un léger rebond autour des voix (petit artefact dans les aigus, probablement lié à la tête de mesure), l'appareil est impressionnant à tous les niveaux © Guillaume Fourcadier pour Clubic

De son côté, le retour sonore n'est pas parfait, puisque les fréquences aiguës restent légèrement en retrait, mais il parvient à reproduire un environnement cohérent (avec des effets de spatialisations corrects), sans trop de souffle. Une fois encore, Apple reste le leader incontesté, mais Sonos est dans le peloton de tête.

Même constat ou presque avec la prise en charge des appels. Le Sonos Ace ne dispose pas nécessairement de la captation la plus pure et la plus équilibrée qui soit pour un casque Bluetooth, mais celle-ci reste claire et détaillée, sans artefact marqué dans la voix ni débordement lié aux sons sifflants. En milieu bruyant, la réduction de bruit est bien dosée, puisqu'elle permet de suivre une conversation, peu importe les situations, sans trop hausser la voix et sans détériorer cette dernière. Le QC est un peu au-dessus, mais il reste une exception.

Autonomie : là où on l'attend

Annoncée à 30 h avec réduction de bruit, l'autonomie est sur le papier dans la moyenne haute, sans plus. Si certains produits n'atteignent même pas 20 h, d'autres comme le Sennheiser Momentum 4 et certains JBL dépassent sans souci les 80 h.

On retrouve une unique prise, mais capable de fonctionner pour la recharge et pour l'écoute. © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Fait intéressant, nous avons atteint les 30 h 30… mais sous AptX HD, codec pourtant plus énergivore que l'AAC. Il n'est pas impossible de penser que nous pourrons nous approcher des 35 h, voire un peu plus, sous ce dernier. Nous n'avons également pas eu, par manque de temps, la possibilité de mesurer l'endurance en mode home cinéma, qui exploite une liaison en Wi-Fi direct.      

Un son clair, mais perfectible

Loin d'être nouveau dans l'audio, mais novice en matière de casque, Sonos se frotte avec son Ace à de très sérieux concurrents, et le fait encore une fois de manière atypique. Propulsé par des transducteurs dynamiques de 40 mm, il affiche un profil plus équilibré que la moyenne, mais il n'est pas parfait pour autant.

Le son est bon, mais il manque ce petit quelque chose qui le placerait au rang des meilleurs © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Les basses, légèrement mises en avant par rapport aux médiums, permettent à la musique de développer suffisamment de puissance et d'ampleur. Il manque le côté vraiment viscéral d'un B&W ou d'un Apple, mais le Sonos permet de ne jamais avoir de côté très lourd, assez habituel chez ses concurrents. On peut toutefois noter que, si le Sonos Ace est techniquement réussi, il n'affiche pas non plus la maîtrise des meilleurs. Les impacts sont moins propres que sur un Bowers & Wilkins PX7 S2, et il manque ce niveau de détails qui le ferait totalement rentrer dans la cour des très grands.

Si le casque développe, d'un point de vue global, un son équilibré, de bonne qualité, le constructeur ne réussit tout de même pas son pari à 100 %, puisque les aigus sont animés de nombreuses oscillations. Cette particularité fait que l'Ace affiche une réelle clarté et une bonne présentation des détails, mais n'a pas une dynamique si impressionnante (en l'occurrence la capacité à faire ressortir des nuances à faible volume).

Réponse en fréquence (compensée) du Sonos Ace. Malgré un bon équilibre général, il manque une certaine linéarité à l'ensemble.© Guillaume Fourcadier pour Clubic

Ce comportement légèrement folâtre du haut du spectre s'accompagne d'une scène sonore particulièrement large, mais peu projetée vers l'avant. Les voix paraissent notamment en retrait. Ces remarques se font avant tout en rapport à l'orientation haut de gamme du casque. D'une manière générale, le Sonos Ace a tout à fait sa place dans le segment, mais profiterait largement d'un transducteur plus technique, plus travaillé. Pour le dire plus simplement : sa signature est plus agréable et naturelle qu'un Sony WH-1000Xm4 ou un Bowers PX7 S2, mais avec un moins bon haut-parleur.

Nous pouvons ainsi relever le caractère très polyvalent de l'Ace, qui n'accentue pas ni ne transforme un mixage audio. Avec lui, les erreurs d'une mauvaise piste ne sont pas lissées, et un morceau particulièrement énergique ne gagne pas en puissance. Nous le préférons probablement au dernier Bose, dont la signature plus agressive finit par être plus fatigante.

Le mode Atmos est intéressant à plus d'un titre © Guillaume Fourcadier pour Clubic

Enfin, difficile de passer à côté du mode Atmos via la barre de son. Certes réservée aux personnes déjà équipées Sonos, cette fonction se révèle tout à fait au point. Presque aussi réussi que chez son concurrent Apple, le son spatialisé est ici extrêmement immersif, cohérent, il ne donne pas l'impression d'un algorithme poussant la réverbération au maximum. L'apport sur un film spectaculaire est indéniable, et le suivi des mouvements de la tête se fait presque sans aucune latence. Un gadget ? Clairement pas. Il faudra toutefois attendre le déploiement de cette fonction sur les barres Beam (1 et 2) ainsi que sur la Ray pour assister à une certaine démocratisation (entre guillemets).

Sonos Ace : l'avis de Clubic

Conclusion
Note générale
9 / 10

Débutant dans le monde impitoyable du casque audio nomade premium, l'Ace de Sonos fait une entrée franchement réussie dans cet univers. Cette bonne performance débute par son enveloppe, véritable ode au minimalisme. Ce casque au design très Apple se permet d'être élégant, confortable, et parfaitement bien construit.

Plus pragmatique qu'innovant en matière d'expérience utilisateur, Sonos propose une certaine simplicité des commandes et des réglages. Tout le monde n'accrochera pas à sa philosophie, mais force est de constater que cela fonctionne, particulièrement avec les utilisateurs novices. Surtout, cette simplicité apparente s'accompagne d'une base technologique impressionnante, qui coche tous les points clés : isolation phonique, kit mains libres, connectivité, et autonomie.

La recette serait parfaite si le son, plaisant et très aéré, bénéficiait d'un peu plus de linéarité dans les hautes fréquences. Ni agressif ni mou, le Sonos Ace manque encore d'un peu de substance pour se mesurer aux ténors. Au moins, il ne présente aucun défaut rédhibitoire, et fait preuve d'une belle polyvalence. Enfin, la cerise sur le gâteau est apportée par sa botte secrète, permettant de relayer le flux Dolby Atmos d'une barre de son vers le casque. Un
principe en apparence un peu gadget, mais finalement addictif.

Les plus
  • Sonorité ample et globalement équilibrée
  • Immersion très réussie en mode Atmos
  • Excellente isolation phonique
  • Qualité de fabrication
  • Très bon kit mains libres
  • Bon confort
Les moins
  • Aigus pas assez linéaires
  • Voix en retrait
  • Plus lourd que la moyenne (312 g)
Sous-notes
Construction
9
Confort
8
Ergonomie
8
Isolation
9
Autonomie
9
Qualité sonore
7

Fiche technique Sonos Ace

Résumé
Type de casqueFermé
FormeCircum-aural
Autonomie30h
Conception
Type de casqueFermé
Taille des transducteurs40mm
Type de transducteurTransducteur dynamique
FormeCircum-aural
PliableNon
Contrôle du volumeSur le casque
MicroOui
Poids312g
Connectivité
Sans-FilOui
BluetoothOui
Version bluetooth5.3
Liaison filaireJack 3.5mm
Alimentation
Autonomie30h
Connectique de chargeUSB Type C
Batterie amovibleNon
Recharge via boîtierNon
Spécifications audio
Codecs BluetoothSBC, AptX HD, AptX Adaptative, AptX, AAC
High-Res audioNon
Réduction de bruit activeOui
Par Guillaume Fourcadier
Spécialiste Audio

Tombé dans l'audio depuis tout petit mais certainement pas audiophile, je navigue entre Hifi indécente et modèles plus abordables avec le même plaisir. Rédacteur audio sur Clubic et malheureux addict à Binding of Isaac, à retrouver sur le pire réseau social de la création en tant que Guifou.

Vous êtes un utilisateur de Google Actualités ou de WhatsApp ?
Suivez-nous pour ne rien rater de l'actu tech !
Nos experts recommandent des produits et services technologiques en toute indépendance. Si vous achetez via un lien d’affiliation, nous pouvons gagner une commission. Les prix mentionnés sont susceptibles d'évoluer. En savoir plus
Commentaires (0)
Rejoignez la communauté Clubic
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur expertise quotidiennement.
Commentaires (10)
soaf78

pas de mode filaire pour les sédentaires ou ceux qui ne veulent pas dégrader la musique avec du BT et préfèrent l’analogique ?
A 500 balles, ça pique un peu

eagle6

Il me semble que le mode filaire passe par un adaptateur fourni USB-C - Jack mais il doit y avoir un DAC dedans :thinking:

jarod692001

« prend en charge la quasi-intégralité des codecs AptX : AptX, AptX HD, AptX Adaptive, et même AptX Lossless via une future mise à jour. »

Dommage, pas de LDAC.

guifou

C’est indiqué dans le test ;), d’où l’intérêt de lire en détails au moindre doute.

soaf78

J’ai lu l’article, il faut un adaptateur USB c / jack donc ce n’est absolument plus de l’analogique mais du numérique transcodé par un dac dont on peut douter de la qualité de restitution

Marshall

Remarque si vraiment tu es sédentaire et ne jure que par le filaire autant acheter un casque filaire direct :sweat_smile:

soaf78

Les bons casques filaires sont malheureusement de plus en plus rares…
Mais persiste que pour le prix de ce casque, ne pas avoir « l’option filaire » prévu nativement, c’est abusé.
Le filaire, en plus d’une meilleure qualité sonore permet d’utiliser son casque sans avoir sa batterie pleine

Marshall

Il me semble qu’il y’a bien un câble usbc inclus pour écouter en lossless avec le Sonos
Après je te rejoins, j’écoute également aussi bien filaire chez moi qu’en BT extérieur, j’ai opté pour le Focal Bathys perso , c’est un budget cents clair mais vraiment satisfait de ce casque.

eagle6

J’ai eu un focal un temps, assez déçu de la qualité de fabrication, il est tombé en ruine assez rapidement, dommage, le son était pas mal :roll_eyes:

soaf78

J’ai un vieux (et onéreux) casque bose filaire, je cherche un truc chouette pour ma femme et je suis surpris de voir que les fabricants et les utilisateurs se tournent tous vers le BT alors que ces casques sont pleins de défauts :

  • Durée de vie limitée et obsolescence programmée (batterie qui tient 1000 charges avant de se dégrader, soit 3 ans, codecs BT qui vont évoluer…)
  • Qualité sonore dégradée, les codecs BT, c’est toujours pas ça

Je ne comprends pas que tout le monde s’accorde à dire que les souris filaires, c’est ce qu’il y a de mieux (gamers, créatifs), et de plus précis mais pour le son, on passe pour un dinosaure quand on veut garder son fil…