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Alors que le logiciel Google Earth et le service Web Geoportail proposent des vues aériennes de la Terre, permettant de naviguer en 2D et prochainement en vraie 3D à travers respectivement les cartes Satellites du monde et de France, six étudiants de l'école d'Informatique Epitech travaillent actuellement sur Magrathea Engine, un moteur d'affichage en 3D des systèmes solaires.
Après la Terre, l'Espace ? Six étudiants en 4ème année à l'école d'informatique Epitech veulent concurrencer Google Earth ou Geoportail en dévoilant Magrathea Engine, un projet de moteur de visualisation 3D en temps réel des systèmes solaires.
Capable de reproduire la totalité de la surface et des reliefs de la Terre, de la Lune ou encore de Mars grâce à l'intégration de données topographiques réelles, ce moteur 3D permet de se déplacer rapidement à travers tous ces univers en permettant de passer de l'un à l'autre sans transition.
Si le Magrathea Engine sera présenté officiellement la semaine prochaine au mondial de la simulation situé au Musée de l'Air de Paris, son modèle économique et son processus d'utilisation par des tiers est encore à l'étude, les étudiants Parisiens envisageant de pouvoir l'utiliser sur des simulateurs aérospatiaux (décollage et mise en orbite d'une fusée ), sur des logiciels de localisation (type Google Earth) ou encore sur des mondes virtuels persistants en 3D (type World of Warcraft).
Ambitieux, il reste à attendre de savoir comment pourra évoluer ce projet qui devrait passer rapidement d'un stade de développement amateur à un stade de véritable projet industriel professionnel.
Après la Terre, l'Espace ? Six étudiants en 4ème année à l'école d'informatique Epitech veulent concurrencer Google Earth ou Geoportail en dévoilant Magrathea Engine, un projet de moteur de visualisation 3D en temps réel des systèmes solaires.
Capable de reproduire la totalité de la surface et des reliefs de la Terre, de la Lune ou encore de Mars grâce à l'intégration de données topographiques réelles, ce moteur 3D permet de se déplacer rapidement à travers tous ces univers en permettant de passer de l'un à l'autre sans transition.
Si le Magrathea Engine sera présenté officiellement la semaine prochaine au mondial de la simulation situé au Musée de l'Air de Paris, son modèle économique et son processus d'utilisation par des tiers est encore à l'étude, les étudiants Parisiens envisageant de pouvoir l'utiliser sur des simulateurs aérospatiaux (décollage et mise en orbite d'une fusée ), sur des logiciels de localisation (type Google Earth) ou encore sur des mondes virtuels persistants en 3D (type World of Warcraft).
Ambitieux, il reste à attendre de savoir comment pourra évoluer ce projet qui devrait passer rapidement d'un stade de développement amateur à un stade de véritable projet industriel professionnel.
