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Organisation internationale, le W3C (World Wide Web Consortium) développe des protocoles communs qui facilitent l'évolution et assurent l'interopérabilité du Web.
Mardi, le Consortium a annoncé la publication de la recommandation XForms 1.0 pour une nouvelle génération de formulaires Web, qui permette “de dissocier le but recherché, la présentation et le format des résultats, a travers XML (Extensible Markup Language)”, a précisé le W3C dans son communiqué.
Le statut de Recommandation W3C, est équivalent à un standard Web, revu et approuvé par les membres du Consortium qui préconisent une large utilization de la norme par l'industrie.
“10 ans après leur création, les formulaires pour le Web ont besoin d'une mise à jour”, souligne le Consortium piloté conjointement par le European Research Consortium for Informatics and Mathematics (ERCIM) en France, l' Université de Keio au Japon, et le Laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (MIT CSAIL) aux Etats-Unis.
Les premiers formulaires HTML, apparus sur le Web dès 1993, ont donné la possibilité de rassembler des informations et d'effectuer des transactions. Ce modèle montre aujourd'hui ses limites.
Les utilisateurs souhaitent désormais aussi accéder au Web à partir de téléphones mobiles, d'ordinateurs de poche, et de logiciels d'assistance tels que des lecteurs d'écran.
«XForms apporte plus de puissance et de flexibilité aux auteurs, tout en améliorant le confort des utilisateurs», a signalé Steven PEMBERTON, co-responsable du groupe de travail XForms du W3C.
Avant de conclure : «Le groupe de travail XForms a fourni aux implémenteurs un modèle qui rend plus facile le développement et la réutilisation de composants de formulaires, leur intégration dans les services Web, et apportant des fonctionnalités aux utilisateurs et aux terminaux non disponibles jusqu'à présent.»
Mardi, le Consortium a annoncé la publication de la recommandation XForms 1.0 pour une nouvelle génération de formulaires Web, qui permette “de dissocier le but recherché, la présentation et le format des résultats, a travers XML (Extensible Markup Language)”, a précisé le W3C dans son communiqué.
Le statut de Recommandation W3C, est équivalent à un standard Web, revu et approuvé par les membres du Consortium qui préconisent une large utilization de la norme par l'industrie.
“10 ans après leur création, les formulaires pour le Web ont besoin d'une mise à jour”, souligne le Consortium piloté conjointement par le European Research Consortium for Informatics and Mathematics (ERCIM) en France, l' Université de Keio au Japon, et le Laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (MIT CSAIL) aux Etats-Unis.
Les premiers formulaires HTML, apparus sur le Web dès 1993, ont donné la possibilité de rassembler des informations et d'effectuer des transactions. Ce modèle montre aujourd'hui ses limites.
Les utilisateurs souhaitent désormais aussi accéder au Web à partir de téléphones mobiles, d'ordinateurs de poche, et de logiciels d'assistance tels que des lecteurs d'écran.
«XForms apporte plus de puissance et de flexibilité aux auteurs, tout en améliorant le confort des utilisateurs», a signalé Steven PEMBERTON, co-responsable du groupe de travail XForms du W3C.
Avant de conclure : «Le groupe de travail XForms a fourni aux implémenteurs un modèle qui rend plus facile le développement et la réutilisation de composants de formulaires, leur intégration dans les services Web, et apportant des fonctionnalités aux utilisateurs et aux terminaux non disponibles jusqu'à présent.»
