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La publication en ligne par l'auteur de best-sellers américain Stephen King de son roman à épisodes "The Plant" lui a rapporté près d'un demi-million de dollars, révèle l'écrivain sur son site internet.
Le maître de l'épouvante était entré dans l'histoire en mars 2000 en vendant pour la première fois une nouvelle via la toile mondiale. "Riding the Bullet" avait trouvé quelque 500.000 amateurs, qui avaient payé 2,50 dollars. A raison de deux dollars par téléchargement d'un nouveau chapitre versés par les lecteurs internautes, son roman à épisodes, "The Plant" a généré 721.448 dollars de recettes. La gestion du site ayant coûté 257.616 dollars, le bénéfice net est de 463.832 dollars, selon les chiffres publiés sur le site web de l'auteur. Stephen King qui avait mis fin, provisoirement, à l'expérience en novembre, et fort de ces bons résultats, invite les lecteurs à s'inscrire sur une liste afin d'être prévenus à l'avance de la mise en ligne du septième épisode. Au début de la publication, l'auteur « visionnaire », avait lancé à ses lecteurs : "Mes amis, nous avons la chance de devenir le pire cauchemar de la Grande Edition". L'essor de l'Internet marquerait-il un tournant dans la distribution traditionnelle d'ouvres littéraires, voire musicales, via éditeurs et maisons de disques ?
Le maître de l'épouvante était entré dans l'histoire en mars 2000 en vendant pour la première fois une nouvelle via la toile mondiale. "Riding the Bullet" avait trouvé quelque 500.000 amateurs, qui avaient payé 2,50 dollars. A raison de deux dollars par téléchargement d'un nouveau chapitre versés par les lecteurs internautes, son roman à épisodes, "The Plant" a généré 721.448 dollars de recettes. La gestion du site ayant coûté 257.616 dollars, le bénéfice net est de 463.832 dollars, selon les chiffres publiés sur le site web de l'auteur. Stephen King qui avait mis fin, provisoirement, à l'expérience en novembre, et fort de ces bons résultats, invite les lecteurs à s'inscrire sur une liste afin d'être prévenus à l'avance de la mise en ligne du septième épisode. Au début de la publication, l'auteur « visionnaire », avait lancé à ses lecteurs : "Mes amis, nous avons la chance de devenir le pire cauchemar de la Grande Edition". L'essor de l'Internet marquerait-il un tournant dans la distribution traditionnelle d'ouvres littéraires, voire musicales, via éditeurs et maisons de disques ?
