En effet, pour ce qui est des nouveautés, 3DMark 11 repose sans surprise sur un moteur DirectX 11 utilisant des technologies complexes tels que la tesselation, DirectCompute, les lumières volumétriques et la profondeur de champs. Désormais, 3DMark 11 fera appel à la bibliothèque open source de Bullet Physics pour la physique. On trouvera une batterie de 6 tests accompagnés de deux scènes baptisées " Deep Sea " et " High Temple ". Enfin, l'éditeur FutureMark annonce l'amélioration de son service en ligne offrant la possibilité de facilement valider, stocker, comparer et partager ses résultats.
Pour ce qui est des licences, les règles du jeu ne changent pas. Destinée au grand public, la 3DMark 11 Basic Edition permet de réaliser gratuitement un nombre illimité de tests en mode Performance. Moyennant 19.95$, on débloque la version 3DMark 11 Advanced Edition avec laquelle il est possible d'accéder à l'ensemble des modes de test, de personnaliser les paramètres, de sauvegarder en ligne ses résultats sans limites de stockage et enfin de consulter ses résultats sans connexion internet. Facturée 995$, 3DMark 11 Professional Edition s'adresse bien sûr aux professionnels, débloque l'ensemble des fonctions et permet d'en faire usage dans un cadre commercial.
Petite déception du côté de la traduction. Si les versions allemande, chinoises et finlandaise ont bien fait leur apparition cette année, en plus de la traditionnelle version anglaise, on ne trouve toujours pas de version française.
