Le mois dernier, Sony a présenté au Japon, sans tambour ni trompette, un Xperia Z4 à peine plus évolué que le Z3 présenté au mois de septembre 2014. Mais contrairement à ce que le fabricant a assuré, ce produit ne sera pas réservé à l'archipel.
Mise à jour : Sony a officialisé le Xperia Z3+, l'actualité a été modifiée en conséquence.
Présenté seulement six mois après son aîné, et pas après un an comme c'est le cas dans la quasi-totalité des cas, le Sony Xperia Z4 n'est pas vraiment le successeur du Z3. Il ne s'en distingue d'ailleurs que par quelques évolutions assez modestes :
par le capteur frontal, qui passe de 2 à 5 millions de pixels,
et donc par l'épaisseur, qui passe de 7,3 à 6,9 mm,
et enfin par le port micro-USB, qui n'est plus protégé par une trappe mais qui reste étanche.
Des mises à jour bienvenues mais qui ne justifient pas le passage à une nouvelle génération à part entière.
Contrairement à ce qui était prévu, ce produit sera donc commercialisé dans le reste du monde. Il le sera simplement avec un nom un peu moins trompeur : Sony Xperia Z3+. C'est ce qu'avait prématurément révélé au mois d'avril la documentation d'un nouvel accessoire, d'un étui de protection, adapté spécifiquement à un seul produit, présenté comme étant compatible avec les « Xperia Z4/Z3+ ». Et c'est ce que le fabricant vient finalement d'officialiser.
En Occident Sony retient donc la même approche que Samsung et LG pour les variantes améliorées de leurs Galaxy S5, Galaxy Note 4 et G3.
Dans ces conditions, ce nouvel Xperia sera accueilli à bras ouverts. Il sera mis en vente au mois de juin, mais on ne sait pas dans quels pays, ni à quel prix.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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