Le département Business Services de l'opérateur et fournisseur d'accès à Internet Orange annonce un nouveau service à destination des professionnels baptisé « Flexible Computing ». En emboîtant le pas à Amazon et Google, le fournisseur d'accès à Internet dévoile alors son offre d'informatique distribuée sur nuages de serveurs.
Clone Cloud : voilà le nom d'un projet très prometteur actuellement en cours d'expérimentation dans les laboratoires de recherche et développement d'Intel.
Plus connu du grand public pour ses activités de vente en ligne, Amazon commercialise également auprès des professionnels des offres d'hébergement distribué, baptisées Elastic Compute Cloud (EC2). De nombreux clients ont perdu l'accès à certains de leurs serveurs mercredi, pendant plusieurs heures. « Un orage a endommagé une unité de distribution du courant. Bien que la plupart des serveurs n'aient pas été touchés, un certain nombre de baies ont subit une panne de courant, » a expliqué la société.
Editeur de solutions de business intelligence (BI), QlickTech opte pour la solution de gestion des relations clients Salesforce du spécialiste du logiciel d'entreprise en tant que service (SaaS). L'offre utilisée, Salesforce CRM (service client, automatisation des forces de vente, marketing, support...), est complétée de l'outil de collaboration client Service Cloud et de l'application commerciale Sales Cloud. QlikTech (qlikview.com) utilise cet ensemble pour gérer ses ventes directes et indirectes et renforcer la qualité de son service client.
Après Amazon, Microsoft Azure, Salesforce.com et Google, IBM lance de nouveaux services sécurisés en mode 'cloud'. Autrement dit, une suite d'outils professionnels basée sur un réseau de calcul distribué dans lequel le stockage des données et l'exécution d'applications s'effectuent, non plus localement, mais via un nuage de serveurs connectés à internet.
Sun met sa plateforme pour application en ligne GlassFish Java à disposition des utilisateurs de l'Amazon Elastic Compute Cloud (Amazon EC2), un service de location de puissance de calcul. Cette offre open source, qui inclut également les gestionnaires d'identité OpenSSO et OpenDS (Single Sign-On), se retrouve ainsi face à une autre solution d'Oracle WebLogic Server, né de son mariage avec BEA.
IBM ouvre un premier laboratoire dédié au calcul distribué au sein du pôle Cyberport de Hong Kong. Le groupe informatique américain profitera de l'occasion pour mettre en valeur, sur la zone Asie-Pacifique, son service hébergé de communication et de collaboration : IBM LotusLive. Big Blue va également faire la promo de sa toute nouvelle acquisition : la messagerie développée par l'entreprise hongkongaise Outblaze.
Parallèlement au rejet de l'offre de rachat d'IBM, Sun Microsoystems sort la version 2.2 de sa Virtualbox. Fruit de l'acquisition de l'éditeur allemand Innotek, VirtualBox est un logiciel de virtualisation proposé sous licence publique générale (GPL). L'outil permet à l'utilisateur de faire fonctionner sur une même machine différents systèmes d'exploitation, l'un physique, les autres virtuels, et de passer de l'un à l'autre. Le logiciel supporte différents systèmes hôtes, dont Windows, Linux, Solaris et Mac OS X.
Initiateur de l'Open Cloud Manifesto, le groupe IBM tente de regrouper les acteurs du cloud computing au sein d'une alliance. Les références du secteur, Salesforce.com, Google, Microsoft et Amazon.com n'ont pas adhéré à ce manifeste visant à établir des règles d'interopérabilité. En revanche, Sun, VMWare, EMC et Cisco comptent parmi les premiers signataires du manifeste.
Le français Sinequa, concurrent d'éditeurs de technologies de recherche pro comme Exalead, Autonomy et FAST, place sa solution auprès de l'université Paris Descartes. Cette dernière, spécialisée dans les sciences de l'Homme et de la santé, a souhaité faire évoluer son environnement numérique de travail (ENT). L'ENT permet aux étudiants, enseignants, chercheurs et personnels administratifs et techniques d'accéder à un ensemble de ressources numériques.
L'heure est aux nuages de serveurs ou cloud computing. Dans ce type d'environnement, le stockage de données et l'exécution d'applications s'effectuent, non plus localement, mais par le biais de multiples serveurs connectés à internet.
Plus que jamais le marché du stockage semble entrer dans une profonde mutation qui s'explique à la fois par des évolutions technologiques, une évolution des attentes des entreprises et un contexte économique toujours plus tendu. Les conditions du marché sont donc réunies pour une rupture. Cette conjonction d'éléments est à la base de l'émergence et de la croissance du Cloud Storage ou stockage hébergé, qui se développe pour les PME et prend la forme de Cloud Storage privés pour les grandes entreprises.
Sun n'a pas dit son dernier mot, contrairement aux allégations de Michael Dell. Les solutions de Sun Microsystems, 4ème vendeur de serveurs au niveau mondial et contributeur de référence de l'écosystème open source, ont été sélectionnées par The Internet Archive. L'organisation américaine à but non lucratif archive depuis 1996 des contenus numériques. Elle aurait migré près de 3 peta-octets de données (avec une croissance mensuelle estimée à 100 tera-octets) vers le centre 'clé en main' Sun Modular Datacenter ou blackbox.
La crise économique ne touche pas tous les secteurs. Selon l'institut d'études Gartner, les revenus mondiaux des services de 'cloud computing' devraient dépasser 56,3 milliards de dollars en 2009, soit une hausse de 21,3% par rapport à 2008.
Les entreprises européennes peuvent désormais utiliser la plateforme de programmation sur nuages de serveurs (cloud computing) EC2 d'Amazon avec les systèmes Microsoft Windows Server et Microsoft SQL Server.
Maitre mot de l'optimisation des systèmes informatiques, la virtualisation séduit de plus en plus d'entreprises selon Forrester. Le cabinet américain vient de rendre les résultats de son rapport sur les tendances actuelles en matière de systèmes informatiques. Il en ressort que la majeure partie des entreprises ont adopté la virtualisation des serveurs, alors qu'un nombre encore modeste, mais croissant, de sociétés s'essaient au « cloud computing »
La société de service informatique T-Systems, filiale de Deutsche Telekom, vient de remporter un contrat de « plusieurs centaines de millions d'euros » avec Linde AG, un spécialiste du gaz et de l'ingénierie. Ce contrat de sept ans consiste en la fourniture de services de stockage et d'infogérance flexibles.
Alliance sacrée contre vmware ? Alors que s'ouvre à Cannes le salon annuel organisé par le numéro un mondial des solutions de virtualisation, Citrix et Microsoft viennent d'annoncer l'extension de leur partenariat vieux de vingt ans autour de cette question désormais cruciale.
A l'heure de la réduction des budgets informatiques, l'open source et le cloud computing sont-ils une réponse à la crise ? SugarCRM semble y croire. Dans un entretien accordé à TechTarget, John Roberts, directeur de l'éditeur américain de logiciels open source commerciaux de gestion des relations clients, souligne :
Les acteurs de l'open source sont-ils mieux armés pour affronter la crise ? Après Talend, éditeur de logiciels d'intégration de données (ETL) basé à Suresnes, Hauts-de-Seine, et à Los Altos, Californie, Nuxeo, concepteur français d'une plate-forme open source de gestion du contenu pour l'entreprise (ECM), ouvre un bureau outre-Atlantique.
Responsable Innovation de Jet Multimédia, un opérateur de services en ligne du groupe SFR, Cong Duc Trinh propose cette tribune libre dans laquelle il s'interroge sur la valeur ajoutée des opérateurs de services en ligne à l'heure du cloud computing et du software as a service
Malgré la crise et la restructuration, Sun Microsystems, troisième fabricant mondial de serveurs derrière IBM et HP, annonce acquérir Q-layer. Cette jeune pousse belge édite des logiciels à l'attention des centres de données. Elle s'est spécialisée dans l'automatisation du déploiement et de l'administration de nuages de serveurs, « cloud computing » ou réseau de calcul distribué, dédiés au stockage des données et à l'exécution d'applications.
Lorsque l'on observe les tendances d'une année passée, celles d'après se dessinent. Le cabinet d'étude Saugatuck Technology a ainsi présenté en quoi le cloud computing, les logiciels en tant que service (saas), la virtualisation et l'open source allaient marquer 2009.
Exception à la règle? Alors que l'externalisation des activités d'infogérance reste minoritaire dans la finance, l'américain Citigroup et la société de service informatique indienne Wipro viennent de signer un accord d'une durée de six ans. Un contrat approchant les 600 millions de dollars dans lequel Wipro s'engage à prendre en charge les activités de maintenance, de développement d'applications et de gestion d'infrastructures des Citi Technology Services en Inde.
La société française Capgemini, spécialisée dans les conseils et services de l'informatique et de l'infogérance, vient de renforcer sa stratégie de programmation sur nuages de serveurs (cloud computing) en signant un partenariat avec amazon Web Services.
En ce premier jour de PDC (Professional Developers Conference), la grand-messe réunissant les développeurs du monde entier, Microsoft a levé le voile sur Windows Azure. C'est Ray Ozzie, Chief Software Architect de la firme de Redmond, qui s'est chargé de l'annonce lors du premier keynote. Il s'agit pour Microsoft de concrétiser sa stratégie Software + Services, enfin diront les mauvaises langues, en offrant aux développeurs une plate-forme capable d'héberger en ligne tout ou partie de leurs applications avec un haut niveau de disponibilité et un haut degré d'adaptabilité. Windows Azure, c'est la possibilité pour tout un chacun de créer ses propres services en ligne, ou ses propres extensions d'application en ligne, sans se soucier de l'infrastructure réseau qui se cache derrière.
