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André SANTINI, vice-président de la "nouvelle" UDF et maire d'Issy-les-Moulineaux dans les Hauts de Seine, souhaite que la France passe rapidement au vote électronique.
Le taux d'abstention lors du premier tour des présidentielles, 28%, a relancé le débat sur l'intérêt du vote à distance. Monsieur SANTINI fait partie de ceux qui soutiennent le développement de ce mode de scrutin.
Le 4 octobre 2000, le maire d'Issy-les-Moulineaux faisait déjà part de son inquiétude dans les colonnes des Echos : "L'abstention record enregistrée lors du référendum sur le quinquennat sonne-t-elle le glas de la politique telle que nous la connaissons ? Les experts ne vont pas manquer de décortiquer ce phénomène et de tenter d'expliquer les mille et une et raisons justifiant que 7 Français sur 10 ne se sont pas déplacés."
Il ajoutait : "Sans sous-estimer l'ampleur du désintérêt que nos concitoyens portent au rite d'une élection qui ne les touche pas directement, ne serait-il pas temps de réfléchir aux moyens de faciliter l'acte de vote des électeurs ?"
La question était lancée. Elle se pose avec d'autant plus d'acuité à l'heure où le représentant d'un parti d'extrême droite accède au second tour des présidentielles en France.
Face à une telle alternative, de nombreux abstentionnistes regrettent de ne pas voir voté dimanche, avec le sentiment que leur vote aurait pu changer la donne...
Monsieur SANTINI pour sa part reste persuader que le vote en ligne peut limiter l'abstention et servir la démocratie.
Dans un communiqué publié jeudi, le vice-président de l'UDF persiste : "Je demande que l'on étudie sérieusement le vote par Internet et que l'on rétablisse le vote par correspondance, afin de simplifier la vie de nos concitoyens, de plus en plus mobiles."
André SANTINI déplore par ailleurs que "depuis trois ans la France ait continué à s'interroger sur les avantages et les inconvénients du vote par Internet."
Le taux d'abstention lors du premier tour des présidentielles, 28%, a relancé le débat sur l'intérêt du vote à distance. Monsieur SANTINI fait partie de ceux qui soutiennent le développement de ce mode de scrutin.
Le 4 octobre 2000, le maire d'Issy-les-Moulineaux faisait déjà part de son inquiétude dans les colonnes des Echos : "L'abstention record enregistrée lors du référendum sur le quinquennat sonne-t-elle le glas de la politique telle que nous la connaissons ? Les experts ne vont pas manquer de décortiquer ce phénomène et de tenter d'expliquer les mille et une et raisons justifiant que 7 Français sur 10 ne se sont pas déplacés."
Il ajoutait : "Sans sous-estimer l'ampleur du désintérêt que nos concitoyens portent au rite d'une élection qui ne les touche pas directement, ne serait-il pas temps de réfléchir aux moyens de faciliter l'acte de vote des électeurs ?"
La question était lancée. Elle se pose avec d'autant plus d'acuité à l'heure où le représentant d'un parti d'extrême droite accède au second tour des présidentielles en France.
Face à une telle alternative, de nombreux abstentionnistes regrettent de ne pas voir voté dimanche, avec le sentiment que leur vote aurait pu changer la donne...
Monsieur SANTINI pour sa part reste persuader que le vote en ligne peut limiter l'abstention et servir la démocratie.
Dans un communiqué publié jeudi, le vice-président de l'UDF persiste : "Je demande que l'on étudie sérieusement le vote par Internet et que l'on rétablisse le vote par correspondance, afin de simplifier la vie de nos concitoyens, de plus en plus mobiles."
André SANTINI déplore par ailleurs que "depuis trois ans la France ait continué à s'interroger sur les avantages et les inconvénients du vote par Internet."
