Un téléphone à la fois sécurisé et écoresponsable, c'est ce que proposent Teclib' et Fairphone, qui ont conclu un partenariat visant à proposer le système d'exploitation du premier sur le téléphone du second.
Les entreprises et autres organisations peuvent désormais se procurer des téléphones à la fois sûrs et éthiques prêts à l'emploi. Le fabricant de téléphones Fairphone et l'éditeur de solutions de sécurité Teclib' proposent effectivement des téléphones Fairphone 2 livrés avec le système d'exploitation Uhuru Mobile.
Destiné à des organisations, Uhuru Mobile est un Android dont le noyau a été renforcé et dont les communications par SMS et par VoIP sont chiffrées, entre autres. À la place du Google Play Store, il propose aussi et surtout un catalogue dans lequel chacune des applications sont validées et certifiées pour leur sécurité. Contrairement à un téléphone Android muni des services de Google (Google Play Services), Uhuru Mobile ne transmet aucune donnée de l'utilisateur.
Sur un Fairphone, à ces exigences de sécurité s'additionnent des exigences éthiques. Le Fairphone 2 est pour rappel un téléphone durable (par le biais de la réparabilité), pour lequel le fabricant s'approvisionne en minéraux sans conflits, et qui est fabriqué dans des usines qui ne font pas travailler d'enfants.
Ce Fairphone avec Uhuru Mobile est réservé aux entreprises, qui doivent contacter Teclib'. Son prix n'est donc pas connu. Mais l'antivirus Uhuru est accessible à tous gratuitement, il n'est donc pas exclu que de tels téléphones soient un jour commercialisés auprès du grand public.
En attendant, Fairphone propose une alternative respectueuse de la vie privée, à défaut d'être si restrictive en matière de sécurité. Fairphone OS repose simplement sur le projet Android open source, sans les services Google.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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