Californie, jeux vidéo et pin-ups : Nerces à l'E3

Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
03 juin 2005 à 18h00
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Sommaire
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À côté des problèmes posés par la suppression du lundi de Pentecôte, la seconde quinzaine de mai aura aussi été marquée par un autre événement : la tenue de la 11ème Electronic Entertainement Expo que tout le monde connaît sous le nom « d'itri », à prononcer avec un paquet de chewing-gum dans la bouche pour faire davantage couleur locale. L'E3 a effectivement lieu sous le chaud soleil californien, dans cette monstrueuse cité tentaculaire qu'est Los Angeles et, comme nous le faisons depuis déjà quelques années, Clubic était sur place afin de couvrir l'événement pour vous lecteurs... Et puis c'est vrai aussi un petit peu pour nous quand même !

« N'est que c'te gêne et ration » ?

Vous excuserez ma compréhension plus qu'approximative de l'anglais façon « Oncle Sam », mais cette année le salon de Los Angeles n'avait d'yeux que pour la nouvelle vague de consoles imaginées par Microsoft, Sony et Nintendo... Enfin imaginées par Microsoft et Sony, devrais-je dire, puisque Nintendo a plutôt brillé par son silence. Le géant japonais préférant détailler ses productions GameCube et Nintendo DS ou bien encore parler de son minuscule GameBoy Micro plutôt que de s'étendre sur le cas de la Revolution. En même temps et malgré ce que vous avez pu en lire un peu partout sur le web, les deux autres mastodontes du jeu vidéo n'avaient finalement pas tant de choses à montrer. Du côté de Sony, la Playstation 3 semble très puissante sur le papier, mais en dehors de quelques séquences cinématiques dont on ne peut être sûrs de la provenance, il n'y avait presque rien à voir.

À côté des deux sociétés japonaises, Microsoft était sans aucun doute le plus avancé sur le terrain de la nouvelle génération. Sa Xbox 360 était physiquement présente et quelques jeux pouvaient être aperçus sur différents stands du salon. Pour autant, je ne pense pas beaucoup me tromper en disant qu'au final, nous n'en avons pas vu tant que ça. Alan Wake, Call Of Duty 2, Elder Scrolls : Oblivion ou Quake 4 seront plus ou moins identiques dans leurs versions PC et la majorité des titres plus spécifiques restaient bien souvent très discrets... Heureusement que des jeux comme Gears Of War étaient là pour regonfler le coeur des amateurs, car un peu extérieur à cet univers console, je n'ai pas été particulièrement impressionné...

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Ou plutôt si, je l'ai été, mais bien davantage par l'énorme déballage publicitaire plutôt que par de réelles prouesses fussent-elles seulement technologiques. Mais laissons de côté le monde de la console - et par la même occasion mon scepticisme chronique - pour voir ce que les éditeurs PC nous réservaient durant ces trois jours de « news », de « games » et de « babes » ininterrompus. Des jeux PC, il y en avait effectivement beaucoup et pas simplement des portages de titres consoles. Afin que vous puissiez vous y retrouver plus facilement, nous avons réalisé une sorte d'index regroupant les 49 titres PC plus ou moins visibles sur le salon et avec pour chacun d'entre eux, un renvoi vers une page détaillant plus précisément les choses... Vous êtes prêts ? C'est parti !

25 To Life (c) Ritual Entertainment / Eidos Interactive

Surfant sur la vague « gangsta » initiée par des titres comme Grand Theft Auto 3 de Rockstar, 25 To Life est l'un des tout premiers jeux à nous permettre de jouer le flic ou le voyou : l'inspecteur Lester Williams ou le D-Boy Andre « Freeze » Francis. Afin d'épargner à son tout jeune fils la même vie de crime qu'il a connue jusqu'à présent, « Freeze » a décidé de se ranger, mais avant il doit encore se venger de Calderon, son pote de toujours. Ce dernier l'a effectivement trahi lors de leur dernier coup et il n'est pas question qu'il puisse s'en tirer ainsi. Pour lui régler son compte, « Freeze » doit toutefois faire attention aux gangs ennemis ainsi qu'à l'inspecteur Williams et à sa redoutable partenaire, Maria Mendoza.

Sur le plan technique, 25 To Life ne va pas révolutionner le genre. Il est représenté à la troisième personne et ne semble pas devoir nous bouleverser par son graphisme, relativement quelconque. 25 To Life propose des contrôles instinctifs et on entre très rapidement dans le vif du sujet. De nombreuses missions sont au programme du modes solos, même si la variété semble faire défaut, et un mode multijoueurs devrait permettre des affrontements opposant un maximum de 16 joueurs. Mention spéciale pour la bande son du jeu qui a été confiée à de nombreux artistes hip-hop très connus : 2Pac, Xzibit, Public Enemy, DMX, Shyne, KRS-ONE, Geto Boys, Tech N9ne... Après, le tout est évidemment une question de goûts ;-)

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Issues de la version Xbox, ces captures d'écran ne reflètent pas exactement le jeu sur PC

Age Of Empires 3 (c) Ensemble Studios / Microsoft

Figure emblématique du jeu de stratégie temps réel au même titre que Blizzard, Ensemble Studios n'a officialisé son petit dernier que quelques semaines avant le début du salon. Avec Age Of Empires 3, le développeur se propose de reprendre sa série historique là où il l'avait interrompue. Tant et si bien qu'après l'Antiquité et le Moyen-Age, nous aurons avant la fin de l'année 2005 droit à ce que l'on appelle l'Époque Moderne ou bien encore la découverte du Nouveau Monde par les puissances européennes. Age Of Empires 3 devrait ainsi couvrir une période allant de 1500 à 1850 et nous proposer huit civilisations. Nous avons d'ailleurs été un peu étonnés de retrouver les Allemands, loin de constituer une nation clairement définie à cette époque, à côté des Anglais, des Espagnols, des Néerlandais, des Français, des Ottomans, des Russes et des Portugais.

Fidèle aux canons du genre, Age Of Empires 3 proposera bien sûr des structures et des unités différentes en fonction du peuple sélectionné. Plus originale, la notion de ville natale fera son apparition afin de symboliser les métropoles européennes. Loin du théâtre d'opérations, celles-ci soutiennent les efforts du joueur en envoyant régulièrement des provisions ou des renforts militaires. En retour, plus le peuple prospère sur le Nouveau Monde et plus la ville natale gagne en puissance. Elle gagne en quelque sorte de « l'expérience » qui lui permet d'obtenir différentes améliorations afin, par exemple, d'accéder à de nouvelles technologies. Cette idée de la ville natale sera intégrée au mode solo bien sûr, mais aussi au mode multijoueurs et devrait être « persistante » pour les amateurs de jeu sur Internet avec la possibilité de la visiter entre les parties.

Élément le plus remarquable pour le moment, la réalisation technique est évidemment ce qui frappe au premier regard posé sur cet Age Of Empires 3. Ensemble Studios a clairement décidé de dépoussiérer son titre et même Age Of Mythology semble archaïque à côté de ce que nous avons pu voir. Le rendu de l'eau ou celui de la végétation est impressionnant et les différents effets graphiques (lumières, explosions, projectiles) sont en tout point remarquables. Les améliorations techniques ne se limitent cependant pas seulement aux graphismes puisque les développeurs ont passé beaucoup de temps pour que la physique soit irréprochable (trajectoires d'artillerie) et que les bâtiments soient détruits de manière détaillée en fonction des impacts. Age Of Empires 3 semble donc armé pour affronter la concurrence, et ce, même si je dois reconnaître une petite pointe de déception pendant la présentation... Mais peut-être était-ce dû à la relative lassitude inévitable sur un salon de cette ampleur.

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(c) Remedy / Take 2 Interactive

Laissant de côté Max Payne et ses tourments (le troisième volet est confié à d'autres développeurs), les Finlandais de Remedy sont depuis quelque temps déjà au travail sur et l'E3 2005 fut l'occasion de la première présentation publique du rejeton. Présentation le mot est d'ailleurs un peu fort, puisqu'il s'agissait surtout pour les concepteurs de faire une démonstration technologique tout en plantant un peu le décor de qu'ils appellent eux-mêmes un « psychological action thriller ». Écrivain à succès, puisait son génie dans les rêves que lui inspirait son épouse. Inspirait, car un jour celle-ci disparut sans laisser la moindre trace. Complètement perdu, Alan Wake erra un moment avant de se retrouver alcoolique à Bright Falls, un coin paumé au fin fond de l'Amérique.

Alors qu'il se remet doucement, fait la connaissance d'une femme, véritable sosie de son épouse à un détail près : elle ne lui inspire que des cauchemars qui amènent bien sûr notre écrivain à changer de registre. retrouve alors le succès en tant qu'auteur horrifique, mais les choses prennent une tournure toute particulière lorsque les horreurs qu'il conte commencent à se produire dans la petite bourgade. À côté de cette ébauche de scénario, nous avons pu découvrir quelques éléments techniques tous plus bluffant les uns que les autres. Tout d'abord, fera évidemment bon usage de tout ce qui concerne les lumières dynamiques, « thriller » oblige, avec une gestion particulièrement efficace des cycles jour/nuit et de toutes les nuances.

Autre point particulièrement mis en avant par les développeurs : la gestion de la météo. La géographie de Bright Falls semble avoir été choisie de manière à ce que les graphistes ne soient pas limités et il devrait ainsi être possible de découvrir de véritables tempêtes de neige / pluie faisant voler les feuilles mortes. De la même manière, devrait faire très bon usage des possibilités offertes par le moteur physique Havok pour lequel Remedy s'est offert une licence. Nous n'avons pour le moment pas pu en voir beaucoup d'exemples, mais le résultat était déjà très chouette. Globalement, l'aspect technique d' devrait permettre aux développeurs de nous préparer un titre encore plus riche que Max Payne au niveau de l'ambiance, espérons simplement que l'aventure suivra.

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American Conquest : Divided Nation (c) GSC Game World / CDV

Après la sortie d'American Conquest et un an après celle d'American Conquest : Fight Back, nous pensions que GSC Game World en avait terminé avec cette série, et ce, d'autant plus que les développeurs s'étaient depuis attelés à Cossacks 2 : Napoleonic Wars. Pourtant, quelques jours avant le début de l'E3, GSC et CDV se sont une nouvelle fois associés pour annoncer la venue très prochaine d'un nouvel opus baptisé American Conquest : Divided Nation. Comme son nom l'indique assez clairement, cette extension se penchera sur les divisions américaines du XIXème siècle poursuivant ainsi la chronologie initiée avec les deux opus précédents. Il sera ainsi question de la Guerre de Sécession ou de la Guerre d'indépendant du Texas et les développeurs parlent de cinq camps jouables : Sudistes, Nordistes, Mexicains, Pirates et Texans.

Plus de 100 nouvelles unités et une vingtaine de nouvelles structures ont été imaginées par les concepteurs qui parlent également de quelques grandes batailles historiques pour pimenter le tout. En revanche, on ne peut s'empêcher de regretter certains choix techniques puisque GSC a par exemple reconduit le vieillissant moteur d'American Conquest (il a près de trois ans), au lieu de faire confiance à celui de Cossacks 2 : Napoleonic Wars. Nous regretterons également le peu de nouveautés au niveau du gameplay qui ressemble de fait beaucoup à celui d'American Conquest : Fight Back, mais après tout, American Conquest : Divided Nation doit bien davantage être perçu comme une extension « standalone » (ne nécessite pas le jeu originel) que comme une véritable suite.

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Au Coeur De Lascaux (c) Kheops Studio / The Adventure Company

Présenté sur le stand The Adventure Company, la prochaine aventure des auteurs de Retour Sur L'Île Mystérieuse sera distribuée en France par Nobilis et ce, dès le début du mois de juillet prochain. Au Coeur De Lascaux nous emmène à l'époque des fameuses peintures rupestres en nous proposant d'incarner un jeune chasseur. Relativement statique dans son déroulement, l'aventure est aussi simple d'accès que son déroulement est logique. Les énigmes ne sont jamais très compliquées et l'enchaînement des actions se fait de manière très linéaire. Certains vieux routards du genre risque de trouver le défi un peu facile à relever, mais Au Coeur De Lascaux devrait malgré tout plaire au grand public à qui il se destine plus volontiers. Notez qu'une démo jouable est parue juste après la fin du salon afin que tout le monde puisse se faire une petite idée du jeu.

» Télécharger la démo jouable d'Au Coeur De Lascaux

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Auto Assault (c) NetDevil / NCsoft

Alors que le succès de Guild Wars Prophecies ne se dément pas, NCsoft continue de mettre l'accent sur le massivement multijoueurs et profitait de cet E3 2005 pour présenter quelques-uns de ses titres à venir parmi lesquels le prometteur Auto Assault, dont le beta test a commencé il y a quelques jours de cela. En quelque sorte, mélange de World Of WarCraft et de Mad Max, il prend place dans un monde post-apocalytptique que l'on parcourt à bord d'un véhicule customisé. De manière assez classique, le joueur devra choisir parmi quatre classes de personnages (le tank, l'officier, l'ingénieur et le ranger) et accomplir de nombreuses quêtes pour acquérir l'expérience nécessaire à sa progression. Plus ou moins liées aux trois factions de ce monde (Humains, Mutants et Biomeks), ces missions peuvent bien sûr être réalisées en solo ou en coopératif.

L'élément le plus remarquable pour distinguer Auto Assault des autres jeux du genre est bien entendu la présence de véhicules. Chaque joueur peut disposer de plusieurs engins et chacun d'entre eux est très largement modifiable, aussi bien au niveau de l'esthétique que de l'équipement (armes, armures...). Dans le même ordre d'idée, les développeurs de NetDevil ont mis l'accent sur le plaisir du joueur. Pratiquement tout ce qui se trouve sur son chemin sera destructible (des autres joueurs en passant par les ennemis ou de nombreux éléments de décor) et la mort n'aura pour ainsi dire aucune conséquence. Toujours dans cette optique et tant pis pour le réalisme, mais les véhicules ne souffriront jamais de panne d'essence ou de manque de munitions alors qu'un système de transport aérien sera mis en place pour ne pas perdre de temps en voyages inutiles.

Plusieurs mois avant sa sortie, Auto Assault s'annonce déjà très prometteur. Les premiers échos du beta test semblent très favorables et NCsoft semble tenir un nouveau hit en puissance qui devra cependant batailler plus ferme que Guild Wars Prophecies pour s'imposer. Au contraire du titre mis au point par ArenaNet, Auto Assault devrait effectivement fonctionner avec un classique système d'abonnement mensuel dont les prix ne sont cependant pas encore fixés de manière définitive.

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Battlestations : Midway (c) Mithis Entertainment / SCI

De prime abord, Battlestations : Midway fait immanquablement penser à un nouveau shoot aérien basé sur la Seconde Guerre Mondiale : il n'en est en fait rien. Sans atteindre la profondeur d'un jeu de stratégie, Battlestations : Midway se propose de reprendre plus ou moins le concept de Battlefield 1942 en se focalisant sur les engins (il n'y a pas d'infanterie). Le jeu débute avec la bataille de Pearl Harbor et s'achève, comme son titre le laisse supposer, par celle de Midway. Entre les deux et en mode solo, le joueur se voit confier le rôle d'un petit jeunot tout juste sorti d'Annapolis et qui doit faire ses preuves « sur le terrain ». Que les amateurs de Zéros se rassurent : il sera également possible de contrôler les forces japonaises. Au cours de la partie, Battlestations : Midway propose de contrôler des forces assez variées comprenant des bâtiments de surface, des avions et même des sous-marins.

Le joueur peut donner différents ordres à ses troupes et ensuite, toujours plus ou moins à la manière de Battlefield 1942, l'intelligence artificielle met le tout à exécution. Le joueur a alors la possibilité de prendre directement le contrôle d'une unité, par exemple pour mener un raid aérien aux commandes d'un corsaire façon Têtes Brûlées ! Dans ce cas très précis, il faut savoir que les développeurs n'ont pas voulu mettre trop l'accent sur le réalisme : inutile donc d'espérer une simulation aussi précise qu'un IL-2 Sturmovik. Il y aurait encore beaucoup de choses à dire à propos de ce Battlestations : Midway, mais nous n'avions que peu de temps à lui consacrer. Sa sortie étant prévue en septembre prochain, nous espérons cependant pouvoir bien vite nous repencher sur son cas.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Battlestations : Midway

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Blitzkrieg 2 (c) Nival Interactive / CDV

En développement depuis déjà de nombreux mois, Blitzkrieg 2 n'intéressait jusqu'à présent que les fans purs et durs et de la célèbre série stratégique. Il faut dire que contrairement à la tendance, les améliorations affichées par ce second volet ne sont pas vraiment d'ordre graphique : du coup sur les nombreuses captures déjà disponibles, le jeu paraît clairement vieillot à une époque où on ne parle que de pipeline, de vertex et autres shaders. Pourtant, les innovations, Blitzkrieg 2 ne manquent pas à commencer par le nouveau déroulement des campagnes simple joueur qui ne sont plus décomposées comme nous en avions l'habitude dans pratiquement tous les jeux de stratégie temps réel. Ici, la campagne prend effectivement place sur une vaste carte où divers éléments permettent de choisir la prochaine mission.

Une ligne de front est tracée et différents « points chauds » sont dessinés, mais c'est le joueur qui décide de la marche à suivre pour la poursuite de son offensive. Différents objectifs sont matérialisés sur cette carte (gares, aérodromes...) et leur prise permet d'assurer l'effort de guerre. Cela apporte quelques avantages sur les prochaines batailles, mais permet surtout de faire évoluer la carte « dans le bon sens ». En tout, la partie solo de Blitzkrieg 2 devrait offrir quatre campagnes distinctes pour un total de 68 missions. Puisque nous en sommes à parler chiffres, sachez également que le jeu devrait proposer plus de 250 unités fidèlement reproduites et pas moins de 60 types d'infanterie. Évidemment moins tape à l'oeil qu'Age Of Empires 3, Blitzkrieg 2 devrait malgré tout intéresser de nombreux joueurs tant le potentiel stratégique semble au rendez-vous.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Blitzkrieg 2

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Call Of Cthulhu : Destiny's End (c) Headfirst Productions / Hip Games

Dévoilé pour ainsi dire à la surprise générale alors que tout le monde attendait plutôt Call Of Cthulhu : Dark Corners Of The Earth, ce Call Of Cthulhu : Destiny's End s'inspire bien sûr de l'oeuvre de Lovecraft pour nous faire trembler à partir de l'été 2006 si les développeurs s'en tiennent à leur calendrier. Pas question ici de FPS, Call Of Cthulhu : Destiny's End appartient au genre « survival horror » à la troisième personne bien connu sur consoles. Au début de l'aventure, le joueur a le contrôle de deux personnages, Emily et Jacob, qui décident de découvrir les mystères d'une ville abandonnée : Innsmouth. Très rapidement les choses vont mal tourner et nos héros ne seront pas trop de deux pour se sortir du pétrin dans lequel ils se sont fourrés. Ils disposent effectivement d'aptitudes plus ou moins complémentaires et auront régulièrement besoin de s'entraider pour grimper par dessus une grille, se faufiler dans un passage étroit ou tout simplement interagir à deux endroits à la fois.

Cette complémentarité des personnages obligera bien sûr le joueur à passer régulièrement de l'un à l'autre pour progresser dans l'aventure. Plus intéressant encore, il devrait être possible de jouer à deux en mode coopératif pour contrôler les deux héros. L'écran de Call Of Cthulhu : Destiny's End se partage alors en deux et chacun des joueurs peut contrôler son personnage. Les développeurs sont restés étonnamment flous sur le sujet, mais il semblerait que la version PC permette de jouer en mode « écran partagé », mais aussi en réseau... Cela reste bien sûr à confirmer. Ce qui en revanche est déjà sûr et certain, c'est la présence de passages plus « action » où le joueur doit dégommer du zombie dans une vue classique pour les amateurs de Resident Evil : la caméra passe dans une fausse subjectivité où on ne voit plus que le bras du personnage.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Call Of Cthulhu : Destiny's End

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Call Of Duty 2 (c) Infinity Ward / Activision

Le succès remporté par Call Of Duty puis quelques mois plus tard par son extension, Call Of Duty : La Grande Offensive, ne laissait évidemment pas de doute sur le développement d'une véritable suite plus ambitieuse, plus riche, plus immersive. Afin de ne pas nous décevoir, on avait fait les choses en grand chez Activison, avec une présentation en espace fermé histoire de ne pas être dérangé par le brouhaha du reste du salon. Sans apporter de véritable surprise, le résultat fut cependant à la hauteur de ce que nous attendions. Call Of Duty 2 ne révolutionnera clairement pas le genre du FPS, mais devrait offrir un défi intéressant pour tous les amateurs d'action sans prise de tête. Trois campagnes devraient être au programme (Afrique du Nord, France et Union Soviétique) et, c'est une nouveauté, il sera possible de les jouer dans n'importe quel ordre.

La déclaration de bonnes intentions fait également état d'un système de communication immersif entre les soldats de l'escouade et, c'est un classique, d'une intelligence artificielle hors normes. Il nous faudra évidemment attendre la disponibilité du titre pour juger de ce dernier point, mais la possibilité d'emprunter différents chemins pour un même objectif est déjà un plus pour un jeu de ce type. Enfin, et ce n'est pas le moins important pour un tel titre, la réalisation semble tout à fait au niveau. Rappelons que pour Call Of Duty 2, Infinity Ward emploie un moteur maison auquel il ne manque finalement que la physique avancée pour être au niveau des meilleurs. Graphiquement, le résultat est tout à fait convaincant avec une mention toute particulière pour les explosions et les effets de fumée presque trop beaux par rapport au reste du jeu. Call Of Duty 2 doit sortir pour les fêtes de fin d'année sur PC et il s'agira d'un des premiers titres Xbox 360.

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City Of The Dead (c) Kuju Entertainment / Hip Games

D'un genre relativement inhabituel sur PC, City Of The Dead est un gros jeu d'action « qui tache » : inspiré de l'univers de George A. Romero, son seul et unique objectif est de nous permettre d'exploser du monstre, de massacrer du zombie avec le plus de panache possible ! L'histoire prend place sur l'île d'Isla Morta siège d'une base militaire un peu particulière où des scientifiques sans scrupules expérimentent de nouvelles armes meurtrières sur des cadavres humains. Inutile de vous expliquer la suite, vous l'avez sans doute déjà devinée... Bingo ! Les expériences tournent mal, des zombies envahissent le complexe et pour faire simple, c'est le m.... ! Arrivé on ne sait trop comment sur l'île avec trois autres survivants, vous n'aurez bien sûr d'autre objectif que d'envoyer ad patres un maximum de ces zombies « très vilains, pas beaux » avant de vous échapper de cet enfer sur Terre. Au contraire, ces derniers en voudront à votre tendre chair et il faudra donc éviter autant que possible de se faire mordre pour ne pas devenir l'un deux. Si un mode coopératif à deux joueurs est au programme, cette dernière particularité (transformation en zombie) prend tout son sens dans le jeu à quatre. En effet, dans ce mode, les équipes d'humains clairement définies au départ pourront très bien se transformer en sauve-qui-peut général à mesure que les joueurs se feront croquer par les zombies. Encore largement en développement, City Of The Dead doit sortir au cours du premier trimestre 2006.

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Civilization 4 (c) Firaxis / Take 2 Interactive

Toujours développé par Sid Meier et son équipe de Firaxis, la licence de Civilization a cependant changé de main pour rallier l'écurie Take 2 Interactive. Cette passation de pouvoir est surtout pour nous l'occasion de voir débouler le quatrième opus prévu pour la fin de cette année si tout va bien. Alors que le troisième avait un petit peu déçu les vieux de la vieille, ce Civilization 4 est évidemment celui de l'espoir pour de nombreux joueurs et du renouveau pour les développeurs. Premier changement mis en avant par ces derniers, le passage à un environnement entièrement en trois dimensions. Cela n'aura peut-être pas beaucoup d'incidence sur les parties, mais au premier coup d'oeil, il est tout de même assez sympa de pouvoir zoomer sur n'importe quel coin de la carte sans qu'aucun chargement / ralentissement ne se ressente. Sur le plan cosmétique, on remarquera également la refonte d'une grande partie des graphismes et la possibilité de voir les structures présentes dans chaque ville sans charger d'écran supplémentaire, simplement en zoomant encore un peu plus.

Ce passage à la 3D aura également permis quelques fantaisies graphiques avec des unités mieux dessinées et quelques effets notamment sur l'eau. Rien de bien extraordinaire cependant, mais ce n'est pas sur ce point-là que l'on attend vraiment Civilization 4. Le fonctionnement du jeu est plus ou moins identique à ce que nous connaissons déjà et il est toujours question de guider son peuple sur une très large période de notre histoire. Parmi les changements, on notera tout d'abord que l'interface a été passablement revue afin d'être plus accessible pour les débutants. Du côté du gameplay, quelques éléments relativement novateurs font leur introduction. Les progrès technologiques pourront ainsi amener le joueur à débloquer un total de sept religions. Une fois découvertes, elles se répandent à travers l'empire et pourront également permettre d'influencer culturellement les voisins. Les options civiques permettent pour leur part d'enrichir encore les différents gouvernements disponibles dans le jeu en choisissant par exemple entre la liberté d'expression et l'esclavage, ou bien la transmission héréditaire du pouvoir et la tenue d'élections.

L'arbre des technologies qui permet d'accéder à tout ceci ressemble beaucoup à celui de Civilization 3, même s'il est sensiblement plus souple. Du côté des combats, quelques changements notables sont également à préciser. Ainsi, Firaxis a essayé d'éviter la multiplication des unités à travers le monde en adoptant un système de spécialisation / promotion qui permet à chaque unité d'acquérir quelques compétences supplémentaires avec l'expérience. Au choix du joueur, une unité pourra ainsi devenir plus efficace au débarquement ou bien voir plus loin. Firaxis a également mis l'accent sur le jeu en équipe qui devrait permettre, en multijoueurs, de partager à peu près tout entre plusieurs peuples afin de produire des alliances toujours plus riches. Enfin, Civilization 4 devrait faire le bonheur des « moddeurs » avec la possibilité de modifier presque tous les compartiments du jeu : des simples changements graphiques, à la modification des cartes ou même jusqu'à la personnalisation des scripts d'intelligence artificielle !

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Codename Panzers Phase Two (c) Stormregion / CDV

Sorti en septembre dernier, Codename Panzers Phase One était dès l'origine prévu comme une trilogie et c'est donc sans surprise que Stormregion a annoncé il y a déjà plusieurs mois le développement de Codename Panzers Phase Two. Présentée sur le stand de son éditeur, CDV, cette suite ne va pas révolutionner le concept de son ancêtre, mais devrait tout de même apporter quelques petites améliorations. Au niveau du moteur graphique tout d'abord, qui devrait, si l'on en croit les développeurs, être optimisé pour tourner plus convenablement encore. Ensuite, du côté des options de jeu puisqu'il est question d'utiliser les cycles jour / nuit au cours des missions. L'obscurité aura une incidence sur les champs de vision et le camouflage des unités alors que certaines d'entre elles seront équipées de torches / phares.

Aux dires des développeurs, l'intelligence artificielle aurait subi une importante refonte afin de mieux résister aux assauts des joueurs alors que trois nouvelles campagnes solo sont bien sûr de la partie. Si les deux premières se déroulent en Afrique du Nord et en Italie, la troisième est plus originale puisqu'elle prend place en ex-Yougoslavie pour des combats que l'on suppose plus montagnards. Enfin, le mode coopératif devrait être particulièrement à la fête et les développeurs insistaient sur la possibilité de réaliser des missions avec un ami ou contre d'autres joueurs humains.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Codename Panzers : Phase Two

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Commandos Strike Force (c) Pyro Studios / Eidos

Alors que la série fait partie des plus acclamées de ces dernières années, Pyro Studios à l'origine du développement amorce un sérieux virage avec Commandos Strike Force. Même s'il conserve une partie du fameux concept action / stratégie qui a fait les beaux jours des précédents opus, ce quatrième volet passe à une vue beaucoup plus proche de l'action avec au choix une représentation à la première ou à la troisième personne. Si les puristes risquent de crier au scandale, d'autres apprécieront sans doute ce renouvellement. Sur le fond, le style reste assez proche, même si le changement de perspective bouleverse pas mal les habitudes, et trois types de personnages se partagent toujours les faveurs du joueur.

Le béret vert c'est la force brute, celui qui frappe d'abord et discute ensuite. Le tireur d'élite ne rate jamais sa cible et s'il est bien placé, il peut mettre en déroute toute une escouade ennemie à lui seul. Enfin, l'espion est capable de s'infiltrer derrière les lignes ennemies, de subtiliser un uniforme adverse et de revenir comme si de rien n'était une fois sa mission accomplie. C'est bien sûr en exploitant au mieux les caractéristiques de ces trois personnages que le joueur pourra accomplir les 14 grandes missions que comporte la campagne solo. Sur trois théâtres d'opérations (Norvège, France, URSS), vous aurez à tenter différentes approches pour remplir les objectifs imposés sachant que l'intelligence artificielle prendra le contrôle des deux personnages temporairement abandonnés. Même s'il est encore un peu tôt pour se prononcer définitivement (Commandos Strike Force ne doit pas sortir avant le mois de novembre 2005), la portion de mission que nous avons pu essayer semblait finalement assez convaincante et le résultat n'était pas sans rappeler un certain Hidden & Dangerous 2.

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Company Of Heroes (c) Relic Entairtenment / THQ

Typiquement le type de présentation que je déteste. Non que ce Company Of Heroes soit un mauvais jeu, mais plutôt qu'il ne nous a tout simplement pas été possible de savoir vraiment ce qu'il avait dans le ventre. La présentation effectuée sur le stand de THQ n'était déjà pas individuelle et les démonstrateurs avaient visiblement été formés pour ne parler pour ainsi dire que de l'aspect technique du jeu. Alors bien sûr, il est tout à fait compréhensible d'insister sur certains côtés particulièrement réussis d'un jeu et d'être fier au point d'en oublier le reste, mais de là à en occulter complètement certains aspects, il y a un pas que je refuse de franchir.

Je serais donc on ne peut plus bref, d'autant que de toute façon ce n'est pas en quelques mots que je parviendrais à vous faire comprendre le rendu graphique vraiment remarquable de ce jeu de stratégie temps réel. En fait, pour faire simple, on peut tout simplement dire que tout au long de la présentation nous avions l'impression d'être en présence d'un FPS tactique plutôt que d'un jeu de stratégie temps réel. Les modèles utilisés pour les différentes unités sont superbes et les textures employées sont étonnamment détaillées pour un RTS, mais le choc le plus important concerne sans doute les animations des soldats. Ils bougent, s'allongent, courent comme de vrais personnages, et le sentiment de participer à de véritables batailles est saisissant... Voilà, c'est tout, en espérant que l'on ait bientôt de quoi détailler plus précisément le gameplay du jeu.

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Crime Life : Gang Wars (c) Hothouse Creations / Konami

En l'absence du prochain Pro Evolution Soccer (nous sommes à Los Angeles rappelons-le), Crime Life : Gang Wars était le seul titre PC réellement mis en avant par Konami. Pas forcément très enthousiasmant de prime abord, ce Crime Life : Gang Wars reprend le concept du bon vieux « beat them all » en axant son propos sur les bastons de rue, très à la mode depuis Grand Theft Auto 3. Le joueur se verra confier le personnage de Tre, jeune leader des Outlawz, le plus puissant gang de Grand Central City. Dans cette ville tout est fonction de la réputation et il s'agira donc de faire progresser celle de Tre en utilisant ses poings et sa cervelle. Enchaînement de combats et de poursuites en tous genres sont au coeur du jeu qui se distingue en fait essentiellement par son scénario : relativement bateau sur le fond, ce dernier promet de nombreux rebondissements. Nous devrions pouvoir juger sur pièces d'ici quelques mois puisque Crime Life : Gang Wars est attendu au cours de l'automne 2005.

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Devinez Qui ? (c) AWE Games / The Adventure Company

Annoncé par Nobilis, son distributeur pour la France, en février dernier, Devinez Qui ? était bien sûr présenté à Los Angeles ce qui nous a d'ailleurs permis d'élucider le mystère de son nom. Il s'avère en fait que Devinez Qui ? est le nom donné à une adaptation au théâtre du fameux roman d'Agatha Christie. Du fait d'une sombre histoire de droits, The Adventure Company et Nobilis n'ont pas eu l'autorisation d'utiliser le titre originel, « Dix Petits Nègres », et se sont donc fort logiquement rabattus sur cette seconde possibilité. Pour en revenir au jeu proprement dit, les développeurs ont pris quelques libertés avec le scénario du livre afin de ménager un minimum de suspens aux joueurs qui le connaîtraient.

La trame générale reste évidemment identique et nous propose de retrouver dix personnages invités dans un manoir situé sur une petite île reculée. Le maître de maison doit les accueillir, mais sans que l'on ne sache trop pourquoi, il se fait désirer. De fait, les invités n'ont d'autre choix que de lier connaissance et petit à petit les histoires personnelles font surface. Tous ont quelque chose à cacher et se méfient évidemment des autres, d'autant que très rapidement les invités commencent à mourir les uns après les autres. Un onzième personnage a été imaginé par les développeurs pour donner un rôle au joueur qui entre en scène avant le premier meurtre. Notre but est alors tout simplement de démasquer le tueur avant ne finisse sa sombre besogne et ne tue notre personnage par la même occasion.

Pas particulièrement original sur le fond, adaptation oblige, Devinez Qui ? devrait malgré tout être intéressant, et ce, d'autant plus que les enquêtes policières sont plutôt rares ces derniers temps. On notera au passage que les développeurs ont prévu plusieurs fins possibles.

Dreamfall : The Longest Journey (c) Funcom / Micro Application

Présenté à de multiples reprises par ses développeurs, Dreamfall : The Longest Journey n'avait finalement pas grand-chose de vraiment neuf à nous montrer pour cet E3 2005. Funcom et Micro Application avaient cependant fait la traversée de l'Atlantique afin de présenter le jeu au public américain. Situé en 2219, Dreamfall : The Longest Journey débute une dizaine d'années après le premier volet, The Longest Journey. Pour le joueur, l'aventure commence réellement avec la jeune Zoë Castillo alors que celle-ci regarde vaguement la télévision allongée sur son lit. Soudain, au beau milieu du journal d'information, une étrange séquence semble appeler la jeune femme. Suspectant un défaut technique ou bien un nouveau style de publicité, elle n'y prête pas plus attention que cela et s'apprête à retrouver un ami. Le scénario de Dreamfall : The Longest Journey démarre ainsi tout doucement et ce rythme « tranquille » est à l'image du reste de l'aventure dans la mesure où le joueur n'est généralement pas pressé par les développeurs. Il peut à loisir visiter les différents lieux offerts à lui, même si, c'est le style qui veut ça, on en revient bien vite au fil conducteur de l'histoire. Histoire qui va donc mener notre Zoë Castillo sur de drôles de pistes alors que les étonnantes séquences se multiplient et que son ami, un journaliste un peu fouineur, est introuvable.

En suivant sa piste, Zoë va petit à petit mettre le doigt sur un terrible danger qui menace son monde, mais aussi deux autres univers parallèles qui seront l'occasion de découvrir deux autres personnages : Kian et April Ryan qui a quelque peu changé en dix ans ! Quel que soit le personnage contrôlé, Dreamfall : The Longest Journey se déroule toujours de la même manière et s'éloigne justement un petit peu des canons du genre. Les nombreux dialogues fonctionnent comme souvent sur un système de questionnaire à choix multiples, mais les choix auront une réelle incidence et permettront par exemple de la jouer tout en finesse pour éviter un combat. Il faut effectivement savoir que pour varier un peu les séquences de jeu, Funcom a décidé d'intégrer quelques éléments « action » à Dreamfall : The Longest Journey avec des combats encore à peaufiner, mais déjà nettement plus convaincants que ce que nous avions pu voir en avril dernier. Puisque nous en sommes à parler de l'aspect technique du jeu, il est bon de préciser que Dreamfall : The Longest Journey s'éloigne sensiblement de son prédécesseur avec un style graphique tout en 3D et des mouvements gérés au clavier. Si les puristes risquent de crier au scandale, ces choix semblent bien assumés par Funcom... Reste à juger sur pièces en fin d'année une fois tout cela terminé !

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Dungeon Siege 2 (c) Gas Powered Games / Microsoft

Sans doute l'une des plus grosses déceptions de cette édition 2005 de l'E3, Dungeon Siege 2 semble incarner l'archétype de la suite en matière de Jeux Vidéo. Le concept est absolument calqué sur celui du premier volet et les développeurs donnent l'impression de n'avoir travaillé que l'aspect technique. Ce dernier est d'ailleurs une franche réussite comme vous pouvez vous en rendre compte en regardant la petite vidéo présentée sur le salon, mais une bonne réalisation ne fait pas un bon jeu. Il est bien sur trop tôt pour porter un jugement définitif sur Dungeon Siege 2, mais notre démonstrateur avait tout de même beaucoup de mal à nous trouver de véritables nouveautés en terme de gameplay. Il y a bien l'introduction de familiers pour soutenir l'action de nos héros ou encore l'introduction de pouvoirs très puissants spécifiques à chaque classe, mais dans l'ensemble cela ne paraissait pas bien folichon. Reste que le concept même de ces jeux à la Diablo est passablement addictif, alors qui sait, cela suffira peut-être à nous faire replonger !

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Dungeon Siege 2

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Dungeons & Dragons Online : Stormreach (c) Turbine / Atari

Développé par Turbine pour le compte d'Atari, Dungeons & Dragons Online : Stormreach est le premier essai en matière de MMORPG pour l'éditeur français. Hélas, il nous faut bien reconnaître que cet essai ne semble pas à même d'être transformé. Si graphiquement il tient à peu près la route, c'est surtout au niveau des caractéristiques que Dungeons & Dragons Online : Stormreach déçoit. Même les responsables communication de chez Atari n'ont pas été en mesure de faire valoir d'autres arguments que « d'exaltants combats », « de vastes zones inexplorées à découvrir » ou bien encore « adapté du foisonnant univers de Dungeons & Dragons »... Très franchement tout cela est bien léger alors espérons que Turbine tenait jalousement cachées ses meilleures trouvailles sans quoi je ne donne pas cher de ce jeu massivement multijoueurs face aux ténors du marché : la réponse à l'automne.

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El Matador (c) Plastic Reality / Cenega

Alors que Boiling Point : Road To Hell est buggué jusqu'à l'os et que S.T.A.L.K.E.R. : Shadow Of Chernobyl n'en finit plus d'être reporté, ce n'est pas vraiment la joie pour les amateurs de jeux d'action / aventure offrant une grande liberté de mouvement et compte tenu de ce que nous avons pu en voir sur le stand de Cenega, ce n'est pas El Matador qui risque de changer la donne. Finalement beaucoup plus action / infiltration que ne le laissaient prévoir les premières informations, ce jeu développé par Plastic Reality ne nous a tout simplement pas convaincus. Malgré des textures peu variées, la réalisation semble convenable et de manière plus générale, le jeu tient la route techniquement parlant. En réalité, c'est plutôt du côté du gameplay que le problème se pose. El Matador nous est apparu peu varié et globalement peu entraînant. Les objectifs ne sont pas franchement exaltants et au contraire de titres comme Splinter Cell, aucune atmosphère ne semble devoir se mettre en place durant les missions. À vrai dire, El Matador me fait penser à un bon petit jeu budget.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de El Matador

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F.E.A.R. (c) Monolith / Vivendi Universal

Largement mis en avant par Vivendi Universal depuis déjà plusieurs mois, F.E.A.R. était précédé d'une solide réputation avant l'ouverture du salon de Los Angeles et il était d'ailleurs parfois très difficile d'accéder à la borne du stand Vivendi sur laquelle il tournait pourtant en permanence. Il faut dire que le bougre à quelques arguments à faire valoir en plus d'un bon gros côté gore qui s'accommode très bien de l'ambiance surchauffée de l'E3. Au niveau des arguments, deux d'entre eux sortent très nettement du lot : l'intelligence artificielle pour une fois vraiment intéressante et l'ambiance plutôt bien rendue. Sur ce dernier point, nous n'entrerons pas davantage dans les détails dans la mesure où pour expliquer l'ambiance il faut dévoiler le scénario ce qui serait au demeurant fort regrettable pour l'effet de surprise (déjà qu'on me l'a gâché ;-)). Disons simplement que le personnage semble petit à petit perdre de vue la réalité des choses.

Parfois, sa vision est comme troublée alors qu'à d'autres moments, il n'a rien de moins que des hallucinations (ombre, petite fille...). Le tout devient rapidement assez glauque et n'est pas pour calmer le joueur déjà passablement malmené par des adversaires que l'on va qualifier de coriaces. Sans crier au génie de peur de vous décevoir, on peut tout de même qualifier leur intelligence artificielle d'efficace. Les adversaires font d'abord preuve d'un minimum de bon sens en cherchant à se mettre à couvert, mais ce n'est pas tout. Ils n'hésitent pas à profiter des moments d'accalmie pour chercher une meilleure position de tir et peuvent même aller jusqu'à nous faire de bonnes blagues. Après un échange bien nourri, ils arrêtent de tirer. Les croyant morts, je sors de ma planque et m'avance un peu trop tranquillement dans leur direction. Bien sûr, les scélérats « simulaient » et n'attendaient que cette occasion pour copieusement m'arroser !

Des exemples comme celui-là, je pourrais en citer encore quelques-uns et nul doute que les niveaux gardés secrets par Monolith nous réservent d'autres joyeusetés du même ordre. F.E.A.R. semble vraiment bien partir pour décrocher le titre de meilleur FPS de cette fin d'année 2005 et à moins d'une très grosse (et très mauvaise pour le coup) surprise, Vivendi devrait à nouveau passer de bonnes fêtes de fin d'année.

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Des dizaines de captures sont disponibles sur la fiche du jeu, voici simplement les six plus récentes

Fable : The Lost Chapters (c) Lionhead Studios / Microsoft

À l'origine uniquement prévu sur Xbox, Fable : The Lost Chapters devrait finalement voir le jour dès l'automne 2005 sur PC avec, pour l'occasion, une version remaniée sur de nombreux points. Il s'agit toujours d'un jeu d'action / aventure / rôle dans lequel il est question de faire évoluer un personnage en fonction de ses actions. Il est possible de jouer les bons samaritains ou au contraire de multiplier les mauvaises actions et, du coup, chaque partie promet d'être différente avec une liberté de mouvement rarement vue dans ce style de jeux. Si le concept reste donc le même que sur Xbox, Fable : The Lost Chapters n'est toutefois pas un vulgaire portage et en accolant ce sous-titre, les développeurs nous promettent de nouveaux lieux à visiter, de nouvelles quêtes à accomplir ainsi que des techniques de combat encore jamais vues et des sorts inédits. De la même manière, la réalisation graphique devrait profiter des possibilités offertes par nos PC et les différentes captures diffusées depuis l'annonce du jeu en donnent un petit aperçu.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Fable : The Lost Chapters

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Gauntlet : Seven Sorrows (Annulé) (c) Midway

Véritable icône du jeu vidéo des années 80, Gauntlet n'avait jusqu'à présent été remis au goût du jour qu'à l'occasion de titres exclusivement dédiés aux consoles. Avec Gauntlet : Seven Sorrows (Annulé), Midway tente de conquérir le coeur des joueurs PC et même si le contenu ne semble pas des plus originaux, il pourrait bien y parvenir. Techniquement plutôt convaincant, avec notamment de très réussis effets de lumières, Gauntlet : Seven Sorrows (Annulé) propose un concept accrocheur très simple d'accès. Dans un monde d'heroic-fantasy, quatre valeureux héros se dressent contre les ténèbres : un guerrier, un elfe, une valkyrie et un magicien. Ces quatre héros constituent évidemment le groupe d'aventurier que le joueur doit guider tout au long de l'aventure. En réalité, ce n'est pas tant ce mode solo qui risque de faire fureur auprès des joueurs que le multijoueurs qui doit sur le papier permettre de jouer en mode coopératif à quatre joueurs chacun contrôlant alors l'un des héros précédemment cités. Nous n'avons pas eu l'occasion de tester le jeu et encore moins ce mode multijoueurs qui n'avait pas encore l'air d'être complètement implémenté, mais il s'agit à n'en pas douter d'un titre à surveiller du coin de l'oeil.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Gauntlet : Seven Sorrows

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Ghost Recon Advanced Warfighter (c) UbiSoft

Après l'annulation du second opus, les amateurs de la série sont plutôt méfiants, mais UbiSoft nous a clairement assuré que ce troisième volet sortirait sur PC. Véritable démonstration technologique de la prochaine console de Microsoft, Ghost Recon Advanced Warfighter n'était toutefois présenté que sur cette fameuse Xbox 360 dont sont issues la vidéo et les captures présentées ci-dessous. Par ailleurs, notre contact chez UbiSoft nous a précisé que la version PC serait sensiblement différente de celle à destination de la Xbox 360 et en attendant d'en savoir plus nous préférons ne pas nous étendre sur le sujet. Une chose est cependant sûre, si la qualité graphique sur PC est équivalente à celle de la version Xbox 360, Ghost Recon Advanced Warfighter va faire parler de lui !

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Ghost Recon 3

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Ghost Wars (c) Digital Reality / Hip Games

Dévoilé quelques jours à peine avant le début du salon, Ghost Wars était présenté sur le stand de Hip Games. Il est l'oeuvre des Hongrois de Digital Reality et pourrait bien surprendre son monde à sa sortie pour le moment fixée au début de l'année prochaine. Sur le fond, il ne s'agit ni plus ni moins que d'un jeu de stratégie temps réel fort classique. Situé dans notre très proche futur, il prend comme hypothèse de départ la mort de Fidel Castro et se propose de nous faire participer aux luttes pour sa succession. Le joueur aura le rôle des Forces Spéciales américaines alors que celles-ci tentent de s'opposer aux rebelles... Jusqu'ici, rien de bien extraordinaire, je vous l'accorde.

Là où Ghost Wars se distingue c'est au niveau de la réalisation et pour une fois cet aspect technique n'a pas simplement été pensé pour épater la galerie, mais bien davantage pour servir l'action et offrir une dimension supplémentaire aux joueurs. Particulièrement détaillé pour un jeu de stratégie temps réel, Ghost Wars gère environ 2000-2500 polygones par véhicules et 3500-3800 polygones par soldat. Au-delà des chiffres, cela permet aux développeurs d'offrir un luxe de détails très appréciable qui prend tout son sens dès que l'on voit à quel niveau se situent les combats. Dans Ghost Wars pas question de participer à des batailles de très grande envergure, mais plutôt à des luttes pied à pied pour le contrôle de villes. Du coup, la précision graphique est un atout qui permet de mieux appréhender le terrain, voire même à l'utiliser pour planquer ses hommes ou opérer des manoeuvres de contournement.

De plus et c'est là l'autre caractéristique principale de Ghost Wars, il sera possible de prendre en main n'importe quelle unité de son armée. En plus de contrôler l'ensemble des troupes à la manière d'un RTS classique, le joueur pourra effectivement décider de piloter un hélicoptère, de conduire un char ou bien encore de s'avancer avec un fantassin afin de mener ses troupes vers la victoire. Plus sérieusement, cette fonctionnalité permettra par exemple de lancer une attaque latérale très précise pendant que l'intelligence artificielle se charge elle de contenir l'adversaire de face... Encore très loin d'être terminé, Ghost Wars est assez prometteur pour le moment, mais compte tenu de l'importante concurrence dans le domaine de la stratégie (qui a dit Company Of Heroes ?), je me garderais de porter un jugement trop rapide.

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Hellgate : London (c) Flagship Studios / Namco

Du fait de leur remarquable curriculum vitae, les développeurs de Flagship Studios ont réussi à créer l'événement avant même le début du salon. Il faut dire que lorsque les créateurs de Diablo annoncent qu'ils se lancent dans la création d'un titre plus ou moins proche, mais en vue subjective, on ne peut qu'être curieux de voir le résultat. Hélas, ce n'est pas la présentation, particulièrement succincte, du jeu à Los Angeles qui va calmer les plus hystériques. Pourtant, des qualités, Hellgate : London en a beaucoup sur le papier, mais les développeurs préfèrent sans doute les dévoiler progressivement alors qu'aucune date de sortie n'est pour le moment précisée. Parmi les nombreuses caractéristiques avancées par ses développeurs, on retiendra que Hellgate : London devrait offrir des décors entièrement aléatoires afin que les parties ne soient jamais les mêmes. On sait aussi que le joueur aura le choix entre plusieurs classes de personnages parmi lesquelles figure le templier et que ces différentes classes auront plusieurs possibilités d'évolution au fur et à mesure de l'expérience amassée. Au niveau de l'équipement, si aucune arme supplémentaire n'a été décrite par les développeurs, nous avons appris qu'un système d'amélioration sera mis en place pour accroître leurs effets... En attendant d'en apprendre encore un peu plus, nous ne pouvons que vous conseiller de regarder la très belle cinématique publiée quelques jours après l'E3 : ça promet !

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Hellgate : London

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Heroes Of Might And Magic 5 (c) Nival Interactive / UbiSoft

Grand amateur de la série Heroes Of Might & Magic, j'avais eu plus qu'un pincement au coeur lorsque 3DO fut contraint de mettre la clef sous la porte. Finalement, UbiSoft récupéra la licence, mais j'eus un second pincement au coeur à la publication des premières captures d'écran de cet Heroes Of Might And Magic 5 : les développeurs avaient décidé de franchir le pas de la 3D et ainsi opté pour un rendu radicalement différent de ce que nous connaissions. Pas franchement enthousiaste, je me rendais donc sur le stand d'UbiSoft afin de voir de quoi il retournait. Force est de reconnaître que mes craintes n'avaient pas vraiment lieu d'être. Bien sûr, ce n'est pas en une grosse quinzaine de minutes que l'on se forge une opinion définitive, mais la 3D ne semble pas devoir remettre en cause le concept même de la série et tous les mécanismes auxquels nous sommes si attachés ont bel et bien l'air d'être au rendez-vous.

Après quelques minutes de jeu et en dehors de quelques petites optimisations pour que le joueur ait moins de clics à effectuer, on a vraiment l'impression d'être devant un Heroes Of Might & Magic. En réalité, le gros des changements se situe au niveau du système de combat qui fait appel au principe de l'initiative cher aux joueurs de Final Fantasy : les créatures attaquent à tour de rôle dans une sorte de « faux temps réel ». Les amateurs de la série n'ont cependant aucune crainte à avoir puisque les développeurs ont d'ores et déjà intégré le mode tour par tour auquel nous sommes habitués. Encore en développement, les phases de combat devraient même intégrer une option « grille » pour faire apparaître les fameux hexagones que tous les vieux de la vieille connaissent bien. En définitive, Heroes Of Might And Magic 5 semble donc conforme aux attentes des amateurs de la fameuse série : un hit en perspective ?

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Heroes Of The Pacific (c) IRGurus Interactive / Codemasters

Alors que Codemasters boudait en quelque sorte cette édition de l'E3, nous n'avions d'autre choix que de nous rendre sur le stand des Australiens d'IRGurus, les développeurs, pour voir Heroes Of The Pacific. Hélas et malgré plusieurs tentatives, nous n'avons au mieux pu qu'apercevoir la bête en mouvement et attraper quelques bribes d'informations « au vol », serais-je tenté de dire... Voilà ce qui arrive lorsqu'on ne possède qu'un modeste stand et que le bouche à oreille fonctionne bien. Sans être renversant, disons effectivement que Heroes Of The Pacific propose un concept simple et visiblement bien maîtrisé par des développeurs motivés. La prise en main est à la portée de tous et les missions presque basiques avec leurs objectifs donnés les uns après les autres. Techniquement, Heroes Of The Pacific semble tout à fait au point et même s'il n'y a pas de quoi se « taper le cul par terre », les avions sont franchement bien modélisés et sans que cela ne nuise au rythme du jeu. Les développeurs assurent d'ailleurs que leur moteur est capable de supporter un maximum de 150 appareils en mouvement, ce qui est plutôt de bon augure pour le multijoueurs qui devrait pour sa part autoriser 32 joueurs humains à se livrer bataille... Il me tarde de pouvoir essayer ce mode de jeu !

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Hitman : Blood Money (c) Io Interactive / Eidos

En décembre 2000, la sortie de Hitman : Tueur A Gages avait permis à Io Interactive de se forger très rapidement une solide réputation. Les deux opus ont confirmé la maîtrise du développeur, mais il manquait ce petit je ne sais quoi qui fait qu'un jeu devient culte et les Danois semblaient petit à petit se laisser bercer par la douce mélodie du succès. Prévu pour l'automne prochain, Hitman : Blood Money devrait justement leur permettre de mettre les points sur les « i » compte tenu des nombreuses améliorations qu'ils ont apportées à leur titre phare. L'assassin le plus charismatique du jeu vidéo est à présent en danger alors que les « employés » de l'ICA, son agence, sont systématiquement éliminés par des rivaux. Craignant pour sa vie et n'ayant plus rien à espérer de l'ICA, il décide de partir pour les États-Unis où il se mettra au service du plus offrant.

La première des innovations apportées par les développeurs donne son nom au jeu. Le système « blood money » permet de récupérer de l'argent en fonction de la qualité du travail accompli : pour un assassin, cette qualité est évaluée par la « propreté » de l'acte. Plus le meurtre est net et plus « 47 » remportera d'argent ce qui lui permettra ensuite de procéder à quelques investissements. Il sera par exemple possible d'acquérir de l'équipement plus perfectionné afin d'être encore plus efficace. Le principal intérêt de l'argent est cependant de permettre la modification des armes. Moyennant finance, « 47 » pourra effectivement améliorer plusieurs caractéristiques de ses armes comme la déflagration, le recul, la cadence de tir, les dégâts infligés, la vitesse de rechargement, la précision et le zoom. Techniquement, Hitman : Blood Money devrait évidemment progresser avec des décors plus variés et plus riches, mais surtout un éventail plus large de mouvements à la disposition du joueur : « 47 » est par exemple capable de grimper / escalader différentes parois / objets. Enfin, les missions devraient permettre plus de liberté aux joueurs grâce à quelques techniques nouvelles comme la création de diversions ou l'utilisation de boucliers humains.

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Just Cause (c) Avalanche Studios / Eidos

Plutôt prometteur sur le fond, Just Cause était encore trop rapidement présenté sur le stand d'Eidos pour qu'il soit possible de s'en faire une véritable idée. Dans la peau de Rico Rodriguez, le joueur joue très gros puisque le bougre est un agent infiltré de la CIA spécialisé dans le renversement de régimes fragilisés. Cette fois, il doit faire tomber le gouvernement du San Espérito, une île imaginaire située en Amérique du Sud. Pour mener à bien sa mission, Rico Rodriguez devrait cependant avoir un éventail d'actions beaucoup plus large que dans les classiques FPS. Rodriguez pourra ainsi tenter de monter les différentes factions du jeu les unes contre les autres ou « simplement » fomenter une révolte de la masse. Toujours sur le papier, Just Cause devrait proposer un système d'alliances / factions très riche au travers d'une aire de jeu tout simplement gigantesque composée de jungle, plages, villes et villages... Le tout explorable par tous les moyens imaginables (terre, mer, air).

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Just Cause

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Peter Jackson's King Kong (c) UbiSoft

« Conte de fées » ou invention marketing, la petite histoire qui a mené au développement de Peter Jackson's King Kong chez UbiSoft est sympathique. Peter Jackson, réalisateur du film, serait un fan du travail qu'a réalisé Michel Ancel sur Beyond Good & Evil, du coup et alors que le cinéaste était très déçu du travail effectué sur Le Seigneur Des Anneaux, il aurait insisté pour que ce soit notre petit français qui se charge de l'adaptation. Du coup, le studio d'UbiSoft à Montpellier s'est transformé en ménagerie et le projet prend forme petit à petit. Sur le stand E3 d'UbiSoft, il n'est plus question de conte de fées et le moins que l'on puisse dire est qu'on ne rigole pas avec la sécurité dans la petite salle réservée à la présentation de Peter Jackson's King Kong.

Résolument orienté action, Peter Jackson's King Kong propose une façon originale de voir les choses puisque selon le cas, le joueur se voit confier le rôle de Jack Driscoll (Adrien Brody dans le film) ou celui du gigantesque singe. Plus fort, la représentation change du tout au tout en fonction du personnage contrôlé : vue subjective dans le cas de Driscoll et représentation à la troisième personne lorsqu'il est question de Peter Jackson's King Kong. Particulièrement bluffante, la transition entre les deux modes de représentation se fait, sur la scène présentée par UbiSoft, sans le moindre à-coup. On passe de l'un à l'autre des deux héros au gré de l'action et la progression dramatique prend une dimension toute particulière... Au moins lorsque l'on est spectateur de la scène ! L'ambiance est un autre atout de ce Peter Jackson's King Kong qui se trouve être particulièrement immersif. Une partie de la démonstration mettait les personnages humains en scène alors qu'ils devaient fuir, sur de petites embarcations, des dinosaures à leurs trousses. Les bruitages, la musique et le rythme de cette scène, tout était pour le moins stupéfiant ! Bien sûr il est encore beaucoup trop tôt pour en tirer la moindre conclusion et il semble d'ores et déjà que la linéarité de l'action soit au programme de Peter Jackson's King Kong, mais la démonstration fut malgré tout très impressionnante.


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De la végétation, des dinosaures, mais pas le moindre Kong : timide le primate ?

Panzer Elite Action : Fields Of Glory (c) ZootFly / Jowood

Si l'éditeur est le même, le développeur change et la différence n'est pas anodine. Panzer Elite Action : Fields Of Glory pourrait effectivement faire penser à une suite de Panzer Elite, mais en réalité le contenu est bien différent. En lieu et place de la simulation de tanks pure et dure offerte par le titre de 2001, ce Panzer Elite Action : Fields Of Glory nous propose un cocktail d'action nettement plus rythmé. Les commandes ont à ce titre été simplifiées à l'extrême et on ne peut plus vraiment dire que l'on a l'impression de piloter un char d'assaut. C'est un peu tout le problème du jeu qui en voulant simplifier son propos y perd finalement le peu d'âme qu'il pouvait avoir. De fait, on s'ennuie assez rapidement au cours de missions pourtant nombreuses et assez variées. Ce n'est pas tant la réalisation qui est critiquée, ni le déroulement des campagnes solo ou bien encore le mode multijoueurs qui accepte jusqu'à 32 participants... Non, c'est plutôt un ensemble qui fait que Panzer Elite Action : Fields Of Glory ne parvient pas à marquer les esprits. Il reste encore quelques mois aux développeurs pour trouver un moyen de rendre le tout plus attractif, tout espoir n'est pas perdu.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de The Suffering : Ties That Bind

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Prey (c) Human Head Studios / 3D Realms / Take 2 Interactive

Ressorti des cartons de 3D Realms à la surprise générale, Prey doit théoriquement débarquer dans le courant de l'année prochaine sans qu'aucune précision supplémentaire ne nous ait été donnée. En même temps avec 3D Realms, les dates de sortie tiennent davantage du folklore, pour ne pas dire de la boutade, que d'autre chose. Enfin bon au moins comme ça vous en savez autant que nous sur le sujet. Pour en revenir à nos moutons, Prey était présenté au travers d'une rapide démonstration réalisée sur le stand du constructeur de Cartes Graphiques ATI. Ce genre de présentation est parfaite pour faire monter la pression autour d'un jeu, il faut par contre bien reconnaître que du strict point de vue informatif, c'est zéro. Nous n'avons donc pas pu discuter en tête à tête avec les développeurs et leur poser toutes les questions que nous avions en tête... Tant pis, ce sera pour une autre fois, en même temps avec 3D Realms on a encore largement le temps, je ne vais pas vous rééexpliquer pourquoi ;-)

Donc Prey. Précisons tout d'abord les choses, il s'agit ni plus ni moins que d'un FPS au fonctionnement somme toute très classique. Le joueur y incarne un ancien militaire du nom de Tommy. Ce dernier s'apprête à regagner son foyer quand des extra-terrestres décidément bien impolis s'invitent sur Terre pour enlever différentes personnes, dont des proches du pauvre Tommy. Le brave gars se transforme alors en super héros capable de tous nous sauver et c'est surtout le prétexte à un bon gros shoot des familles. Le prétexte scénaristique est certes au ras des pâquerettes, mais il n'est pas vraiment important avec un titre de la trempe de Prey. Nous attendrons évidemment de l'avoir entre les mains pour émettre un jugement plus constructif, mais en l'état actuel des choses, il est difficile de ne pas être impressionné par le rendu graphique du jeu. Basé sur le moteur de Doom 3, il montre que celui-ci en a quand même sous le capot : les jeux de lumière sont remarquables, les textures aussi précises que variées et les animations superbes... Vivement que 3D Realms se décide à en montrer un peu plus !

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Prey
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Prince Of Persia : Les Deux Royaumes (c) UbiSoft

Plus proche du second opus conçu par UbiSoft que de Prince of Persia : Les Sables du Temps, ce troisième volet est en réalité encore un peu plus sombre. Après son dangereux voyage sur l'Ile du Temps, notre héros est de retour à Babylone en compagnie de celle qu'il aime, Kaileena. Mais au lieu de goûter un repos bien mérité, il doit maintenant faire face à une terrible guerre qui ravage son empire. Capturé car considéré responsable du conflit, le Prince ne doit son salut qu'au sacrifice de sa bien-aimée. Les choses allant de mal en pis, il découvrira bientôt que ses aventures précédentes ont éveillé en lui une sorte de « côté obscur » qui petit à petit le grignote, le Dark Prince.

Cette seconde personnalité lui vient directement des sables du temps et permet en fait aux développeurs de nous donner deux personnages en un. Le Dark Prince est effectivement très différent du héros que nous connaissons, en particulier au niveau de ses aptitudes en combat. À ce sujet, UbiSoft a tenu à ce que le jeu soit plus vif, plus rapide que les précédents opus et une nouvelle technique baptisée « stealth kill » a été créée à cet effet : bien utilisée, elle permet de tuer son adversaire en un coup si celui-ci est "pris" assez rapidement. Dans le même ordre d'idées, la ville de Babylone offre de multiples chemins tantôt très rapides, tantôt plus lents. Cela permet en outre de varier un peu les plaisirs ce qui constitue le second axe de développement de ce Prince Of Persia : Les Deux Royaumes. UbiSoft voulait effectivement en finir avec le gameplay unique de son titre phare et a par exemple intégré quelques séquences de courses de chars.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Prince Of Persia 3

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Quake 4 (c) Raven Software / Activision

Très attendu par les amateurs de parties multijoueurs, Quake 4 a d'entrée de jeu su nous décevoir puisque cet aspect réseau n'aura pas été évoqué de tout le salon. En réalité, les développeurs le gardent pour la prochaine QuakeCon à venir en août 2005. Du coup, durant la bonne vingtaine de minutes que durait la présentation "à couvert" du jeu, il n'aura été question que du mode solo et on ne peut pas dire que cela est finalement très folichon. Disons que tout d'abord le moteur graphique du jeu n'était pas une surprise puisqu'il s'agit de celui de Doom 3. Alors bien sûr, nous avons pu observer quelques extérieurs plutôt sympathiques, mais rien de vraiment reversant surtout après avoir vu des titres comme Prey.

En outre, et c'est sans doute là le plus gênant, l'aventure en elle-même ne semble pas franchement passionnante. Quake 4 ne propose rien de bien original en dehors d'une petite séquence de transformation Strogg en vue subjective. Les différentes missions sont scriptées de manières très classique et les combats sont même à la limite de manquer de peps par rapport aux ténors du genre. Après la scène de transformation, notre démonstrateur embrayant sur une séquence où le personnage était équipé d'une sorte d'engin lourdement équipé. C'était déjà un peu plus amusant que l'introduction du jeu, mais sans vraiment être exceptionnel. Réalisé par un studio débutant, on dirait que c'est du très bon boulot, mais là mince, il s'agit tout de même de Quake 4 et c'est Raven Software aux commandes !

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Quake 4

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Rise And Fall : Civilizations At War (c) Stainless Steel / Midway

Pas prévu avant l'hiver prochain, Rise And Fall : Civilizations At War est le prochain jeu de stratégie des petits gars de chez Stainless Studios (Empire Earth, Empires : L'Aube D'Un Nouveau Monde), édité pour l'occasion par Midway, décidément très intéressé par le monde PC ces derniers temps. Quelques-unes des plus grandes civilisations de l'Antiquité seront évidemment accessibles (Égypte, Grèce, Perse et Rome), et il est d'ores et déjà question de plus de 80 types d'unités différentes. Le fonctionnement de la partie stratégique ne semble pas devoir se démarquer outre mesure de la concurrence, mais les développeurs insistent tout de même plus particulièrement sur la possibilité de combattre sur terre aussi bien que sur les flots et les batailles navales promettent d'être assez remarquables. Enfin, seule véritable innovation, le joueur devrait pouvoir incarner certains des plus grands personnages de l'histoire (Alexandre le Grand, Jules César, Ramsès...) au travers de héros destinés à conduire les troupes sur le champ de bataille.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Rise & Fall : Civilizations At War

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Rise Of Nations : Rise Of Legends (c) Big Huge Games / Microsoft

Relativement proche de Rise Of Nations dans le concept, le second jeu de Big Huge Games se démarque toutefois de son illustre ancêtre par le cadre exploité. Plus question ici de reprendre une quelconque période de notre Histoire, mais plutôt de se baser sur des mondes imaginaires où la technologie et le mystique se côtoient ouvertement. Sorte de « steampunk » où les Vinci affrontent les Alim, pour ne citer que les deux civilisations (sur quatre) déjà présentées par le développeur. Les premiers se réclament évidemment de Leonard De Vinci et disposent de machines en tous genres alors que les Alim sont plus proches des Mille Et Une Nuits. Avec de telles bases, c'est évidemment l'aspect graphique qui étonne au premier coup d'oeil. Les formes des structures très variées et très élancées dans le cas des Alims, alors que les unités profitent du passage au « tout 3D » pour atteindre des dimensions assez remarquables. Encore largement en développement, Rise Of Nations : Rise Of Legends ne doit pas sortir avant l'année prochaine et encore, Big Huge Games n'a pas précisé de mois... Patience, patience.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Rise Of Nations : Rise Of Legends

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Serious Sam 2 (c) Croteam / Take 2 Interactive

Pas plus compliqué que son prédécesseur, Serious Sam 2 est un bonheur de journaliste tout simplement parce qu'il n'y a en fait pas grand-chose à en dire. Ou plutôt parce que sans avoir eu l'occasion d'y jouer, il est pour ainsi dire impossible de parler de ce qui importe le plus : les sensations de jeu. Pour autant, il semble que Croteam ait parfaitement mené sa barque. Serious Sam 2 est apparu plus beau que jamais alors que le nombre d'ennemis à l'écran a encore augmenté depuis le dernier opus : les développeurs parlent maintenant de plus de 300 créatures simultanément... Ça en fait de la chair à canon !

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Sniper Elite (c) Rebellion / MC2 France

Fonctionnant sur un concept qui n'est pas sans rappeler le Stalingrad de Jean-Jacques Annaud, Sniper Elite placera le joueur dans la peau d'un tireur d'élite allemand recruté par l'OSS (ancienne CIA) alors que la Seconde Guerre Mondiale touche à sa fin. Envoyé au beau milieu des combats opposant les forces allemandes à l'Armée Rouge, il devra accomplir différentes missions dans ce qui peut être vu comme le début de la Guerre Froide. Même si les objectifs ne se limitent pas qu'à ça, la visée constitue tout de même la majeure partie du temps de jeu et selon les missions il faudra par exemple couvrir la fuite d'un agent infiltré ou voler au secours de confrères dans le besoin. Dans tous les cas, c'est toujours votre précision au tir qui permettra de faire la différence et le moins que l'on puisse est que ce n'est pas forcément évident.

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Star Wars Battlefront 2 (c) Pandemic Studios / LucasArts

Au risque de me refaire écharper par une horde de fanatiques « lucasiens », je vais une nouvelle fois dire du mal de Star Wars Battlefront 2. Alors bien sûr, le jeu n'est pas encore terminé et on peut toujours imaginer un sursaut d'orgueil de la part des développeurs, mais en l'état actuel des choses, on ne peut vraiment pas se satisfaire d'un tel résultat. Tout d'abord, le graphisme n'est clairement pas au niveau des standards actuels avec des textures remarquables de pauvreté. Les modèles de personnages sont un peu plus réussis, mais survient alors le problème très gênant des animations qui sont tout simplement ultra simplifiées. Alors bien sûr, certains rétorqueront qu'un jeu ne se résume pas à sa seule réalisation technique et ils auront raison, mais je n'ai pas encore mentionné le manque de nouveautés en terme de contenu apporté par ce second opus. Il est ainsi question de combats spatiaux, de la possibilité de jouer des chevaliers Jedi / Sith ou bien encore de l'intégration de nouveaux éléments en provenance du troisième film. Ce dernier élément est évidemment anecdotique et j'avoue ne pas avoir été vraiment convaincu par la présence de Jedi dans le jeu. Du côté des combats spatiaux, à mon sens la seule vraie nouveauté, il se pourrait que cela rattrape le jeu, mais n'ayant pu tester cet aspect, je ne peux qu'attendre... Et espérer !

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Star Wars Battlefront 2

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Star Wars Empire At War (c) Petroglyph / LucasArts

Second jeu PC sous licence Star Wars du salon, Star Wars Empire At War était sans aucun doute plus dur à juger que Star Wars Battlefront 2, il faut dire que sa sortie n'est pas attendue avant le printemps de l'année prochaine ce qui laisse encore pas mal de temps aux développeurs de Petroglyph pour améliorer les choses. En l'état, ce Star Wars Empire At War est on ne peut plus classique dans son déroulement. Il s'agit d'un jeu de stratégie temps réel chronologiquement situé entre les épisodes 3 et 4 et qui ne vaut en définitive que par l'univers dépeint. Au coeur du jeu se trouve une carte galactique sur laquelle sont disposées de manière aléatoire les différentes planètes, majoritairement contrôlées par l'Empire bien sûr. Le but est alors de placer au mieux ses forces afin de, petit à petit, prendre l'ascendant sur l'adversaire. Un système de gestion des ressources est pour le moment au programme et il semble dépendre du nombre de planètes contrôlées. Ensuite, de manière très classique, ces ressources permettent de produire de nouvelles unités.

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The Elder Scrolls 4 : Oblivion (c) Bethesda Softworks

Après le succès de The Elder Scrolls 3 : Morrowind, Bethesda se devait de répondre aux attentes des joueurs et même si la présentation que nous en avons eue était bien trop succincte pour un jeu de cette envergure, on ne peut pas dire que nous n'avons pas été impressionnés. Tout d'abord, The Elder Scrolls 4 : Oblivion est presque aussi joli que les captures ou la vidéo officielle ne le laisse entrevoir. Les textures sont beaucoup plus riches et plus variées que sur le précédent opus, alors que les effets graphiques sont omniprésents. Bien que peu nombreux, les personnages et les créatures dévoilés étaient au moins aussi réussis avec là encore une précision des textures assez étonnantes et des attitudes, des expressions remarquables. À côté de cet aspect technique et c'est sûrement là dessus que les rôlistes jugeront vraiment le titre de Bethesda, The Elder Scrolls 4 : Oblivion semblait d'ores et déjà plus vivant, plus réaliste que The Elder Scrolls 3 : Morrowind, avec un souci du détail plus important. La gestion de la physique est à ce titre exemplaire avec des objets qui bougent et qui tombent bien sûr, mais aussi et surtout qui réagissent différemment en fonction de l'obstacle rencontré. Notons au passage que le bref aperçu que nous en avons eu ne permettait hélas pas de juger le monde proposé par Bethesda. Il faudra vraisemblablement attendre encore un peu pour juger du système de quêtes, des réactions des personnages non joueurs et d'autres choses de ce type. Nous avons de toute façon encore le temps de voir venir, The Elder Scrolls 4 : Oblivion n'est pas attendu avant l'année prochaine.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de The Elder Scrolls 4 : Oblivion

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The Matrix : Path Of Neo (c) Shiny Entertainment / Atari

Après le malheureux épisode Enter The Matrix, on est plutôt méfiant à l'idée de voir surgir une nouvelle adaptation de la célèbre trilogie. C'est pourtant ce qu'ont retenté Shiny Entertainement et Atari avec ce The Matrix : Path Of Neo. Basé à environ 80 % sur le premier long métrage, il devrait faire la part belle aux différentes séquences et notre démonstration s'est justement faite sur la fameuse scène du lobby où Neo et Trinity affrontent des dizaines de gardes armés jusqu'aux dents. Particulièrement critiquables sur le premier jeu, les contrôles semblent avoir été largement améliorés pour plus de précision, de confort et d'efficacité. De la même manière, la réalisation graphique est en net progrès depuis Enter The Matrix. Pour autant, il ne nous a pas été possible de vérifier l'intérêt du jeu en lui-même. Est-ce que les différentes missions seront intéressantes ? Le jeu ne risque-t-il pas de devenir trop répétitif ? Autant de questions auxquelles nous ne pouvons apporter de réponses pour le moment. Comme The Matrix : Path Of Neo devrait sortir avant la fin de l'année, nous ne devrions pas tarder à en apprendre davantage.

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The Movies (c) Lionhead / Activision

Toujours aussi plaisant à voir, The Movies était une nouvelle fois présenté au cours de cet E3 2005. Le titre mis au point par Peter Molyneux et son équipe avait cette fois l'air très avancé comme en témoigne la petite vidéo diffusée à l'occasion du salon, mais on ne sait toujours pas précisément quand il doit être commercialisé. Au niveau du jeu, il s'agit donc de diriger un studio de cinéma à Hollywood avec tous les problèmes que cela suppose. Bâtir les structures, engager du personnel, prendre soin des stars et, bien sûr, réaliser ses propres films. Ici, les possibilités semblent pour ainsi dire infinies à condition d'avoir un peu d'imagination. Si le film ne marche pas c'est la ruine, alors que s'il est apprécié vous roulerez rapidement sur l'or. Le meilleur moyen de faire un succès étant de l'accompagner de stars, il est important de bien traiter ces divas du grand écran, de répondre au moindre de leur caprice. Cependant, leur coller un peu la pression, révéler quelques scandales croustillants ou les tuer à la tâche sont autant de techniques qui peuvent selon les circonstances s'avérer très payantes... On n'a rien sans rien comme on dit !

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de The Movies

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The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent (c) Surreal Software / Midway

Distribué par Nobilis environ six mois après sa sortie nord-américaine, The Suffering premier du nom était passé relativement inaperçu en France et avec cette suite, Surreal Software espère évidemment toucher davantage de monde. Pour ce faire, le développeur a conservé le concept du premier volet pour y apporter simplement de multiples améliorations. Représenté au choix à la première ou à la troisième personne, The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent nous propose toujours d'incarner Torque alors qu'il est accusé du triple meurtre de sa femme et de ses deux enfants. En réalité, cette accusation n'a pas tant d'importance que cela puisque The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent est comme le premier volet basé avant tout sur les combats et la destruction par quelques moyens de que ce soit de monstres en tous genres. L'arsenal de Torque devrait être assez varié, mais le plus intéressant sera sans aucun doute la possibilité de se transformer en démon pour réaliser de véritables boucheries au corps à corps.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de The Suffering : Ties That Bind

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Tomb Raider : Legend (c) Crystal Dynamics / Eidos

Pour les nouvelles aventures de sa star, Eidos a décidé de faire confiance à Crystal Dynamics en lieu et place de Core Design. Si les quelques niveaux que nous avons pu voir ne nous permettent pas d'avoir un avis définitif sur la question, les progrès réalisés depuis le dernier opus semblent tout de même très nets. Tomb Raider : Legend est tout d'abord beaucoup plus convaincant graphiquement parlant, on a comme qui dirait fait un bond en avant technique. Les textures sont plus variées et plus précises alors que Lara dispose d'animations beaucoup plus nombreuses. De manière générale, on peut dire que Tomb Raider : Legend est beaucoup plus en phase avec son époque que ne l'étaient les derniers volets. Il ne devrait pas s'agir du plus beau jeu du monde, mais le moteur physique et la gestion de l'eau font tout de même plaisir à voir.

Du côté de l'aventure, les développeurs annoncent bien sûr renouer avec les premiers épisodes... Compte tenu de leur statut de « référence », cela n'a rien de surprenant, mais d'après ce que nous avons pu en voir, ce n'est pas forcément usurpé. Sans être particulièrement originaux, les pièges qui nous ont été présentés sont bien amenés et l'intégration de différents éléments « interactifs » du décor (mitrailleuses lourdes par exemple) ne jure pas. Si le rythme de l'ensemble de l'aventure est aussi bon que celui des séquences mises en avant par Eidos, Tomb Raider : Legend devrait contenter plus que les seuls fans de Lara Croft.

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Tomb Raider Legend

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Total Overdose (c) Deadline Games / SCI

Caricaturant sans vergogne les nombreux jeux plus ou moins proches de l'univers « gangsta », Total Overdose accumule les clichés du genre et devrait nous proposer un cocktail réussi d'humour et d'action si l'on en croit la petite démonstration que nous avons pu en avoir durant l'E3. Alors que le thème est très sérieux (infiltration de mafieux mexicains particulièrement dangereux), le déroulement de l'aventure l'est beaucoup moins et le meilleur moyen de s'en rendre compte est encore de télécharger la vidéo de présentation, hélas particulièrement courte (seulement 35 secondes).

» Télécharger la vidéo « E3 2005 » de Total Overdose

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Voyage Au Coeur De La Lune (c) Kheops Studio / The Adventure Company

Librement inspiré du célèbre roman de Jule Vernes « De La Terre A La Lune », Voyage Au Coeur De La Lune explore la possibilité de voir Michel Ardan, le héros, se poser sur l'astre. Il va rapidement découvrir tout un univers insoupçonné qu'il devra choisir de taire ou de faire partager au reste du monde. Pour cette nouvelle aventure inspirée du célèbre écrivain, les développeurs de Kheops Studio ont reconduit tout le système de jeu de Retour Sur L'Île Mystérieuse. Le succès devrait être une nouvelle fois au rendez-vous puisque de ce que nous avons pu en juger, le scénario du jeu est au moins aussi efficace. Il faut donc toujours démontrer quelques talents de bidouilleur pour combiner différents objets alors que les énigmes devraient une nouvelle fois être peu nombreuses. Petite différence avec Retour Sur L'Île Mystérieuse, un score est cette fois présent tout au long de l'aventure. Il augmente au fur et à mesure de vos réussites et comme il existe souvent plusieurs solutions à un même problème, il est possible de rejouer en améliorant son score. Ce score permettra en plus de solliciter l'aide des Sélénites, le peuple lunaire que notre héros ne tarde pas à rencontrer.

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Implants trop loin ?

Comme chaque année, je termine mon compte-rendu de cet impressionnant salon par la traditionnelle galerie de « babes ». Ne faites pas les innocents, je sais très bien que les Age Of Empires 3 ou autres The Elder Scrolls 4 : Oblivion ne vous intéressent pas le moins du monde et que depuis le début de cet article, vous n'attendez qu'une seule chose : les fameuses hôtesses courtement vêtues. Véritables icônes de l'E3 tout autant que de la Californie, ces jolies blondes étaient évidemment au rendez-vous de l'édition 2005 et, conscience professionnelle oblige, j'ai concédé quelques minutes de mon précieux temps à leur demander un petit sourire pour les Clubiciens... OK, je la mets en veilleuse et j'envoie les photos plutôt que de faire mon mariole. En même temps vous pouvez m'insulter à loisir, je m'en fous, moi j'y étais ;-)

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Amer constat

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Certes les jolies filles étaient présentes comme chaque année. Certes le salon avait quelques titres bien sympathiques à nous présenter et le PC n'était pas aussi agonisant que certains s'amusent à le prédire depuis maintenant plusieurs années. Mais quand même, cette année plus que les précédentes, je ressors un peu déçu de cette gigantesque foire californienne. En terre Yankee plus encore qu'en Europe, le marketing règne en maître, mais il semble bien que cette année ait battu des records. J'en veux pour preuve les pitoyables présentations de la Xbox 360 ou de la Playstation 3. Loin de moi l'idée de critiquer de quelque manière que ce soit ces deux machines sans doute très puissantes, mais de mémoire de joueur, je n'ai jamais vu autant d'énergie dépensée pour en montrer finalement si peu.

Le cas de la Playstation 3 est évidemment encore plus éloquent puisque nous n'avons finalement vu aucun jeu... Et que dire de Nintendo qui boude dans son coin et préfère ne rien dévoiler de la Revolution, en prenant tout de même soin de faire monter la pression par quelques petites phrases bien senties. À côté de toute cette agitation, le monde du PC paraît bien calme, presque serein. Finalement, c'est assez reposant et en dehors de quelques malheureuses exceptions cela permet de se concentrer sur le plus important : le jeu. À ce propos, et si je ne devais en retenir que deux, je dirais que les jeux les plus intéressants du salon étaient et Hellgate : London. J'aurais bien ajouté The Elder Scrolls 4 : Oblivion, mais nous n'avons hélas pas pu en voir grand-chose. Enfin, et malgré mes appréhensions du fait d'un troisième opus décevant sur le long terme, je ne peux m'empêcher d'attendre impatiemment Civilization 4... Tant pis, du coup ça en fait quatre !
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