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Pour avoir cherché à gonfler artificiellement la popularité de son site web allemand, BMW a été sanctionné par Google, qui l'a déréférencé de son index
On ne plaisante plus avec les consignes de Google... Pour avoir cherché à gonfler artificiellement la popularité de son site web allemand, le constructeur automobile BMW a été sanctionné par Google, qui l'a déréférencé de son index.
Google ne se limite pas à identifier un site web et à le placer dans son index mais attribue également à chaque page une note, appelée "PageRank", et correspondant à sa popularité sur le web, en fonction du nombre de liens pointant vers elle. Les spécialistes du référencement ont très bien compris cette méthode et créent alors de fausses pages web ou de faux blogs, multipliant les liens vers le site de leur client.
Cette méthode appelée "spamdexing", popularisée par des concours de référencement comme "mangeur de cigogne" ou "sorcier glouton", a également été récemment utilisée contre Nicolas Sarkozy pour l'associer artificiellement au personnage d'Iznogoud dans les pages de réponses de Google.
Officiellement interdite par Google, le spamdexing n'était jusqu'à présent que très rarement sanctionné pour les sites non anglophones. Mais à en croire les déclarations de Matt Cutts, porte-parole technique et spécialiste du spam chez Google, ce temps pourrait être révolu et d'autres sites pourraient être sanctionnés.
Avec plus de 65% de parts de marché, Google est désormais la principale source de trafic pour de nombreux sites web et ces menaces devraient être prises très au sérieux par toute la communauté du référencement, qui devra soit abandonner ses pratiques... soit en trouver de plus discrètes...
On ne plaisante plus avec les consignes de Google... Pour avoir cherché à gonfler artificiellement la popularité de son site web allemand, le constructeur automobile BMW a été sanctionné par Google, qui l'a déréférencé de son index.
Google ne se limite pas à identifier un site web et à le placer dans son index mais attribue également à chaque page une note, appelée "PageRank", et correspondant à sa popularité sur le web, en fonction du nombre de liens pointant vers elle. Les spécialistes du référencement ont très bien compris cette méthode et créent alors de fausses pages web ou de faux blogs, multipliant les liens vers le site de leur client.
Cette méthode appelée "spamdexing", popularisée par des concours de référencement comme "mangeur de cigogne" ou "sorcier glouton", a également été récemment utilisée contre Nicolas Sarkozy pour l'associer artificiellement au personnage d'Iznogoud dans les pages de réponses de Google.
Officiellement interdite par Google, le spamdexing n'était jusqu'à présent que très rarement sanctionné pour les sites non anglophones. Mais à en croire les déclarations de Matt Cutts, porte-parole technique et spécialiste du spam chez Google, ce temps pourrait être révolu et d'autres sites pourraient être sanctionnés.
Avec plus de 65% de parts de marché, Google est désormais la principale source de trafic pour de nombreux sites web et ces menaces devraient être prises très au sérieux par toute la communauté du référencement, qui devra soit abandonner ses pratiques... soit en trouver de plus discrètes...
