
Le logiciel a, en effet, été conçu pour pousser l'utilisateur droit au but : l'enregistrement de sa vidéo. On choisit d'abord la cible de la capture fenêtre DirextX/OpenGL (pour le jeu) ou rectangle dans l'écran (pour le screencast). Le dossier de sortie et ensuite le format et la qualité de la vidéo : définition, FPS, codec (Xvid, MPEG-1, Motion JPEG, YV12, RGB24 ou autre codec externe). C'est au passage une des qualités de Bandicam que de réellement pouvoir choisir son format de sortie de bout en bout.
En outre c'est également ce dernier point qui définira les pertes de performance durant la capture. Une vidéo MPEG-1 non compressée sera plus exigeante en terme d'espace, mais en H264 les FPS risquent d'en prendre un coup. Un coût à évaluer suivant la qualité et les performances de son ordinateur.
Notons que de la même façon que FRAPS, Bandicam permet également d'effectuer des captures d'écran via un raccourci clavier.
