GoPro poursuit la campagne de mise en bouche de son futur drone, dénommé Karma, en publiant une seconde vidéo promotionnelle. Il restructure en parallèle sa gamme.
GoPro, qui vient de nouveau d'annoncer des résultats financiers décevants et le licenciement de 7 % de ses effectifs (une centaine de personnes), doit rassurer les investisseurs ainsi que les consommateurs.
Pour ce faire, le pionnier de la caméra miniature se lancera comme prévu sur un marché porteur, celui du drone. Il prépare effectivement un quadricoptère, baptisé Karma, dont la « sortie est prévue en 2016 ». Trois mois après une première vidéo démontrant sa stabilité, sur une musique folk, GoPro revient à ses racines : musique électronique (en l'occurrence Magic Sword - Infinite), sport extrême, et réalisation tonitruante.
La caméra que le skieur professionnel Bobby Brown a l'air de tenir à bout de bras s'envole finalement pour le saut puis prend de l'altitude pour offrir un panorama sur la scène. On ne le voit pas, GoPro a pris soin de l'effacer dans le reflet du masque, mais c'est le drone qui est ainsi le clou du spectacle.
Sur le plan technique, une seule révélation : le drone filme en Ultra HD ou en 4K, comme en témoigne la définition maximale de la vidéo diffusée sur YouTube.
Vers une Hero 5 et une gamme simplifiée
GoPro a par ailleurs profité de la publication de ses résultats financiers pour annoncer qu'il rationnaliserait sa gamme de caméras miniatures. Son PDG Nick Woodman a annoncé qu'il ne conserverait que les et Hero 4 Session, vendues 220 à 530 euros. La marque abandonnera ainsi l'entrée de gamme, marché qu'il a investi il y a un an et demi. Les Hero tout court, Hero+ et Hero+ LCD familiales vendues 140 à 330 euros ne seront plus commercialisées après le mois d'avril.
GoPro a enfin confirmé qu'il lancerait une nouvelle série Hero 5 dans le courant de l'année.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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