Cet hiver, épatez vos amis en diffusant en direct vos exploits à ski. Juste à temps pour les vacances d'hiver, Twitter vient effectivement d'annoncer que son application Periscope s'ouvrait aux caméras GoPro.
Après Meerkat, un concurrent direct, au mois de juillet, c'est aujourd'hui au tour de Periscope d'annoncer la prise en charge de la GoPro. L'application permet de diffuser en direct, auprès de ses followers Twitter, les images provenant d'une caméra GoPro Hero4, via un iPhone 5 ou ultérieur.
La mise en œuvre est simple : on connecte son iPhone au Wi-Fi de sa GoPro puis on lance l'application Periscope, qui peut dès lors diffuser les images provenant de la caméra miniature. On bénéficie ainsi de la lentille grand angle et surtout des fixations appropriées. Il est effectivement beaucoup plus pratique de partager une descente avec une caméra fixée sur son casque qu'en tenant un smartphone dans un gant de ski.
Le service présente les mêmes limites que Meerkat : l'image n'est pas diffusée en HD, il faut maintenir l'iPhone éveillé ce qui, même si on peut en verrouiller l'écran pour le glisser dans une poche, grève son autonomie, et le lien n'est partagé automatiquement que sur Twitter, pas sur Facebook. À partir de l'iPhone 5s, les plans sont enregistrés simultanément dans la pellicule du téléphone, en SD. Malheureusement aucun fichier ne peut être enregistré sur la caméra. Diffuser en direct ou enregistrer puis monter, il faut choisir. Heureusement, Periscope permet de revoir une diffusion en différé, pendant 24 h.
Mais nous savons qu'une start-up française, dénommée Kamoov, prépare une application qui comblera l'essentiel de ces lacunes. Elle sera lancée d'ici deux semaines, la diffusion sera dans un premier temps réservée à des athlètes.
Des athlètes GoPro en direct
Quoi qu'il en soit, l'annonce concerne aussi les spectateurs de sports extrêmes. Des athlètes sponsorisés par GoPro et des membres de l'équipe média diffuseront ces quatre prochains jours des épreuves des X Games. Le fabricant de caméra a publié le programme sur son site internet.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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