BMW a présenté ce mois-ci la M2, un coupé sportif compatible GoPro. Le GPS permet effectivement de télécommander une caméra fixée à l'intérieur comme à l'extérieur, pour immortaliser ses sorties sur circuit par exemple.
La nouvelle M2 succède à la Série 1 M Coupé au rang des petites turbulentes de BMW. Avec 365 cv envoyés aux roues arrières et un mode « burnout enfumé » (pour de vrai), la voiture se prête à toutes sortes de cabrioles vidéo-géniques.
Le nouveau modèle est ainsi équipé de série de tout le nécessaire pour s'interfacer avec les caméras miniatures GoPro. Cette fonctionnalité n'est pas nouvelle, mais c'est la première fois que le constructeur la mentionne dès le communiqué de presse, ce qui nous donne l'occasion de la découvrir et de l'approfondir.
Plusieurs véhicules sont ainsi compatibles GoPro, chez BMW depuis mars 2011 et chez Mini dès novembre 2010. La prise en charge dépend d'une multitude d'équipements en cascade. Il faut le système multimédia iDrive ou son équivalent chez Mini, ainsi que le bouquet de services ConnectedDrive ou son équivalent chez Mini (inclus la première année). Il faut ensuite un iPhone avec la version 2.4 ou ultérieure de l'application GoPro. L'application Android n'est pas encore compatible.
C'est l'application mobile, rendue compatible BMW Apps, qui sert de passerelle entre la caméra GoPro et la voiture. Il faut connecter l'iPhone à la voiture avec la station d'accueil ou le cordon qui sont prévus à cet effet dans l'accoudoir central. Ainsi le téléphone n'est pas catapulté à chaque freinage.
Les fonctions principales de l'application sont déportées sur l'écran de la planche de bord. On peut accéder aux réglages, aux différents modes de la GoPro, consulter l'état de la caméra (autonomie, capacité restante), et surtout contrôler le cadre et déclencher l'enregistrement. Tout ceci avec une molette qui tombe naturellement sous la main plutôt qu'avec l'écran tactile d'un téléphone.
La mise en œuvre est encore un peu alambiquée, mais la fonction est néanmoins bienvenue.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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