Un nouveau plan visant à supprimer des emplois va être lancé chez Nokia. Il touche principalement la branche finlandaise du groupe, mais également la filiale française. Environ 1 300 postes devraient ainsi être coupés dans le pays scandinave, 400 concernent directement la France.
Ces choix sont dans la droite ligne du plan de rationalisation des dépenses, engagé dès 2015 par Alcatel-Lucent, désormais propriétaire de la marque. A l'horizon 2018, environ 900 millions d'euros devraient être réalisés. Dans le détail, ce sont les activités relatives à la 3G, 4G, mais également à la gestion des données d'abonnés qui subiront les conséquences de ce plan.
Les Bell Labs d'Alcatel-Lucent, situés sur le site de Nozay dans l'Essonne.
Dans un communiqué, Nokia précise à ce titre que « les fonctions centrales et les fonctions support du pays sont également appelées à être réduites, la France n'hébergeant plus le siège d'Alcatel-Lucent, et les équipes de Nokia Solutions and Networks et d'Alcatel-Lucent International devant être regroupées. »
Plus logique, le groupe va opérer un regroupement du personnel autour des deux sites majeurs d'Alcatel-Lucent à savoir Nozay et Lannion. La majeure partie des salariés de Nokia seront donc transférés sur ces sites.
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