Corsair complète par le bas sa gamme de systèmes de refroidissement à eau « Hydro » en annonçant aujourd'hui deux modèles supplémentaires. L'« Hydro 40 » incarne désormais le premier prix, l'« Hydro 70 » s'intercalant quant à lui entre le modèle originel et les deux plus jeunes, annoncés cet été.
Pour maintenir un prix bas, à peine plus élevé que celui d'un bon ventirad, le « Corsair Hydro 40 » se contente d'un waterblock en aluminium, un matériau qui n'est pas le plus efficace pour transmettre la chaleur, surmonté d'une pompe intégrée. Il est relié d'usine à un radiateur équipé d'un ventilateur de 120 mm.
L'« Hydro 70 » bénéficie quant à lui d'un waterblock en cuivre, le matériau idéal, relié à un radiateur double-épaisseur de 38 mm, dépourvu cette fois de ventilateur. Avec ce modèle le fabricant s'adresse à une clientèle plus initiée qui choisira son ventilateur ou qui réutilisera l'un de deux déjà en place dans le boitier.
On retrouve dans les deux cas la conception déjà assemblée, qui met le watercooling à la portée de tous deux qui savent monter un ordinateur, puisqu'il suffit de fixer les deux éléments au socket du processeur d'une part et au boitier d'autre part.
Les « Corsair Hydro 40 » et « Hydro 70 » seront commercialisés ce mois-ci aux États-Unis pour respectivement 60 et 90 dollars.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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