Après le succès retentissant de NieR: Automata et à une poignée de jours de la sortie du remaster du NieR original, dans sa version Replicant, Yokô Tarô est sur tous les fronts.
Impliqué dans d’autres projets à l'heure actuelle, le créateur masqué nous apprend qu’il est également au travail sur un jeu indé bien plus modeste qui sortira uniquement en version dématérialisée.
Un jeu à l'image de son créateur
Accomplissant dans l’ombre un travail de fourmi depuis la sortie de NieR: Automata, le créateur japonais revient de plus en plus sur le devant de la scène après avoir œuvré dans des projets annexes tels que SINoAlice et Final Fantasy XIV: Shadowbringers.
Yokô Tarô n’a jamais paru aussi actif que ces derniers temps. Avec la sortie de NieR Replicant ver. 1.22474487139, il s’apprête à redonner vie à l’un de ses chefs-d’œuvre. Une nouvelle visibilité pour la saga NieR, qui sera complétée, dans les mois à venir, par le lancement européen de NieR Re[in]carnation, un jeu mobile sur lequel il occupe le poste de directeur créatif.
Toutefois, le père de la série Drakengard, épaulé par Square Enix, se prépare à la promotion de son tout prochain jeu. De l’aveu même du fantasque créateur, l’exercice du pitch sur cette nouvelle production lui paraît être une étape très compliquée, tant cela lui semble difficile de l’expliquer de manière intelligible. Malgré tout, Square Enix, qui a su mesurer le potentiel du titre, lui accorde une grande confiance.
Yôsuke Saitô, son compère, décrit le jeu comme quelque chose de décalé qui parvient à susciter un sentiment étrange, à la croisée de la nostalgie et de l’inédit. Un projet mystérieux et typique de la personnalité de Yokô Tarô sur lequel nous devrions vite en apprendre davantage.
Source : IGN
C’est au détour d’un rayon jeux vidéo et d’une rencontre avec Golden Sun, Zelda, Final Fantasy, Kingdom Hearts et bien d’autres que je tombe amoureux, dès l’enfance, des productions japonaises. Constitué à 40% de livres sur le jeu vidéo, le cinéma et les mangas/animés (il me reste de la place pour la musique et les romans), c’est ma passion pour la culture qui me donne envie d’écrire. Déformation universitaire, ce sont les sujets psychologiques et sociologiques qui m’intéressent le plus dans le jeu vidéo. Histoire, personnages, thématiques, sous-textes : j’attends qu’ils me racontent et m’inspirent quelque chose.
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