Cette fois, c'est du sérieux. Après des années à se faire un nom sur le milieu de gamme, Realme bombe le torse, arrache sa chemise et le hurle haut et fort : « moi aussi, je veux mon flagship ». Enfin, vous avez l'idée. Comme quantité d'autres avant elle, la jeune marque de BBK Electronics veut séduire les consommateurs les plus fortunés avec un argument vu et revu, la photo.

Realme muscle son jeu avec le GT 8 Pro. © Pierre Crochart pour Clubic.com
Realme muscle son jeu avec le GT 8 Pro. © Pierre Crochart pour Clubic.com

« Encore ? », serait-on tenté de répondre. Écoutez, c'était ça, ou l'intelligence artificielle. Reste que Realme s'y prend de façon assez maligne, à défaut d'être totalement originale. Pour être prise au sérieux avec son smartphone haut de gamme, la marque chinoise s'acoquine de Ricoh, spécialiste japonais de la photo, essentiellement connu pour sa gamme de compacts GR dont les photographes de rue raffolent. Ça tombe bien, je possède justement le Ricoh GR IV dont je suis fou amoureux. L'occasion de vérifier ce qui se cache derrière ce joli vernis marketing.

Les plus
  • Le Ricoh Mode en photo
  • Les performances incroyables
  • Une très très grande autonomie
  • Un logiciel agréable et varié
  • Écran très lumineux
Les moins
  • Des photos beaucoup trop artificielles
  • Pas un grand vidéaste
  • Trop proche du OnePlus 15… et moins bon sur presque tout

Test réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur.

Dans la boîte du Realme GT 8 Pro

  • Câble USB-A vers USB-C
  • Coque de protection en silicone rigide
  • Tournevis torx pour le plateau d'appareils photo

Design : de belles finitions

Realme retravaille de fond en comble le design de son prédécesseur avec cette nouvelle mouture. Le realme GT 8 Pro s'affine, se modernise aussi, avec des angles un peu plus arrondis et un îlot d'appareils photo circulaire… ou pas ? Oui, c'est l'une des originalités de ce modèle. Ce que vous voyez là au dos du smartphone est en réalité un cache qui peut, au choix, être circulaire ou carré. Ça ne sert pas à grand-chose à part changer de style, mais le fabricant semble y croire dur comme fer, et annonce même un partenariat avec la marque d'imprimantes 3D Bambu Lab pour la confection de nombreux accessoires.

On peut modifier l'aspect de l'îlot d'appareils photo (ce qui ne sert pas à grand-chose). © Pierre Crochart pour Clubic.com

Le GT 8 Pro est un peu plus fin et plus léger que son aîné. Les bordures de son écran aussi, font régime, et laissent apprécier une grande et belle dalle AMOLED de 6,79" sur laquelle je reviendrai plus en détail ci-dessous.

Les bordures de l'écran sont extra-fines. © Pierre Crochart pour Clubic.com

Sur les tranches, rien de particulier à noter. Pas de bouton additionnel, de prise jack (sait-on jamais) ou de commande dédiée à l'appareil photo. Du simple, du classique, de l'efficace. Le modèle prêté par la marque, d'un coloris bleu gris, affiche toutefois de superbes finitions, avec ce revêtement végan qui imite les craquelures d'un cuir vieilli. On notera que le logo de Ricoh se fait même plutôt discret dans l'ensemble.

Pour finir, le realme GT 8 Pro est certifié IP68 et IP69, ce qui lui offre à la fois une très bonne résistance à l'immersion, et même aux jets à haute pression. On tique toutefois sur la présence d'un verre Gorilla Glass 7i, d'habitude réservé aux smartphones de milieu de gamme. Comme souvent, le diable se cache dans les détails.

Un look relativement classique, aux finitions réussies. © Pierre Crochart pour Clubic.com

Écran : une dalle lumineuse, affinée, et réactive

Pas de très gros changements cette année sur l'écran, si ce n'est les bordures plus fines dont je parlais plus haut. Realme propose une dalle AMOLED qui peut afficher une définition QHD+ (par défaut on reste sur du 1080p), et grimper à 144 Hz sur les jeux compatibles. En navigation simple, la dalle est plafonnée à 120 Hz afin de ne pas trop affecter la batterie.

L'afficheur produit des couleurs très agréables à l'œil, saturées sans trop dénaturer le sujet, avec un point blanc qui m'a l'air tout à fait proche du standard de neutralité. Je n'ai pas ressenti le besoin d'aller réchauffer la température de l'écran dans les réglages du téléphone pour « débleutir » (orangiser ?) la dalle. Un bon point, pour un haut de gamme.

La luminosité en extérieur est impecacble. © Pierre Crochart pour Clubic.com

Un écran par ailleurs hyper réactif au toucher, de grande sensibilité, ce qui vaut également pour le scanner d'empreintes idéalement situé sous le quart inférieur de l'écran.

Performances : un grand flagship

Comme l'an dernier, realme s'offre le nec plus ultra des puces Android. Il s'agit de la Snapdragon 8 Elite Gen 5 de chez Qualcomm, dont nous commençons déjà à prendre la mesure après avoir testé déjà deux mobiles qui en étaient équipés.

Un SoC redoutable, autant qu'il est efficient, et qui produit une expérience de navigation irréprochable en toute circonstance. Il n'existe pas, je le pense, de tâche suffisamment gourmande qui pourrait mettre à genoux le dernier processeur de Qualcomm. Tout se lance en un claquement de doigt, et le multitâche n'est jamais un problème.

La Snapdragon 8 Elite Gen 5 est une puce formidable. © Pierre Crochart pour Clubic.com

Le jeu, naturellement, est l'un des terrains de prédilection de la Snapdragon 8 Elite Gen 5. Son GPU Adreno 840 offre des garanties permettant de jouer à des titres gourmands comme Genshin Impact en qualité maximale, à 60 fps… et plus encore. En effet, le panneau Game Mode permet d'activer une interpolation d'images qui permet de grimper (artificiellement) jusqu'à 90 fps.

Quoi qu'il en soit, le smartphone est très volontaire, et ne montre aucun signe de thermal throttling, sinon marginal et naturel. Jamais le téléphone ne m'a paru trop chaud après une longue session. Bref, tous les voyants sont donc au vert de ce côté-là. Je précise néanmoins que notre exemplaire de test est pourvu de 16 Go de RAM, contre 12 Go pour le modèle standard.

Genshin Impact tient parfaitement ses 60 fps en qualité maximum. © Pierre Crochart pour Clubic.com

Interface : une surcouche très proche d'un OnePlus

Je parlais plus haut de BBK Electronics, le conglomérat chinois qui possède notamment OPPO, OnePlus et realme. Conséquence directe de ce cousinage : les interfaces des smartphones de ces trois marques sont très, très proches. Baptisée ici Realme UI 7.0, elle est franchement identique à OxygenOS de OnePlus.

On retrouve même l'Espace Mental, lequel permet d'enregistrer des vocaux et des captures d'écran pour laisser l'IA y faire le tri et nous proposer des informations utiles. Parmi les autres fonctionnalités d'intelligence artificielle, je peux aussi citer le résumé de notifications (comme sur iOS), la traduction par IA et une ribambelle de fonctionnalités de retouche photo. Bonne nouvelle, on peut d'ailleurs modifier ses clichés par la voix ou à l'écrit, en décrivant simplement ce que l'on souhaite changer.

L'éventail de la trousse à outils d'IA. © Pierre Crochart pour Clubic.com

L'essentiel des spécificités logicielles concerne toutefois la photographie, avec un mode dédié « Ricoh GR » qui vient modifier en profondeur l'expérience photo. On retrouve ainsi les deux focales reines des appareils Ricoh (28 mm et 40 mm), mais également le mode Snap Focus, qui permet de définir une distance de mise au point manuellement pour faciliter les prises de vue instantanées. Je souligne toutefois que l'ouverture de l'objectif étant fixe (f/1.8), l'intérêt du Snap Focus est relativement pauvre. Un clin d'œil amusant aux fans de la marque, néanmoins.

L'interface est scrupuleusement identique à celles des OnePlus et OPPO. © Pierre Crochart pour Clubic.com

C'est également ici que l'on pourra naviguer entre les différents filtres proposés par Ricoh, et directement inspirés de ses compacts GR. Par défaut, c'est naturellement le mode Standard qui est sélectionné. J'ai personnellement mes habitudes avec le film négatif et le noir et blanc à contraste élevé. Comme sur les appareils de la marque, on peut ensuite jouer sur le contraste, la saturation, le grain et quantité d'autres paramètres, avant d'enregistrer son preset pour un accès rapide. La grosse différence avec un véritable Ricoh GR est qu'on a un contrôle moindre sur la balance des blancs. On peut uniquement choisir la température et jouer sur la tonalité (vert ou magenta). Pour le réglage fin de l'étalonnage, il faudra voir cela en post-traitement (on peut évidemment enregistrer en RAW).

Quelques expérimentations avec l'IA. © Pierre Crochart pour Clubic.com

Dernier détail amusant : dans le mode Ricoh GR, le bouton de l'obturateur adopte la forme de pilule, comme sur les caméras du fabricant japonais.

Appareil photo : qu'apporte vraiment Ricoh ?

Restons d'ailleurs dans le domaine de la photographie pour la suite de ce test. Jusqu'ici, realme faisait cavalier seul, et ne s'est jamais particulièrement présenté comme un crack de la photo. Mais on sent clairement une volonté de progrès avec le GT 8 Pro. Il y a, d'une part, le faire-valoir Ricoh, qui attirera a minima l'œil intrigué des fans de la marque. Mais on remarque aussi la présence d'un téléobjectif périscopique impressionnant en taille (1/1.56", identique au module principal), et surtout en résolution du haut de ses 200 mégapixels. Un capteur que l'on avait déjà aperçu il y a quelques semaines sur le OPPO Find X9 Pro, d'ailleurs.

La configuration photo du Realme GT 8 Pro :

  • Grand-angle : 50 Mpx, 1/1.56", f/1.8 ; OIS ;
  • Ultra grand-angle : 50 Mpx, 1/2.88", f/2.0 ;
  • Téléobjectif 3x : 200 Mpx, 1/1.56", f/2.6, OIS ;
  • Selfie : 32 Mpx, 1/3.1", f/2.4
Le realme GT 8 Pro et le Ricoh GR IV. © Pierre Crochart pour Clubic.com

Grand-angle

Le grand-angle du realme GT 8 Pro capture des images riches, très fournies en détails, mais qui sont beaucoup trop saturées à mon goût. Très franchement, il y a parfois ce petit côté « photo HDR du début des années 2000 » qui se dégage des clichés, et ça gâche légèrement les hautes ambitions de ce produit. À noter que je ne parle ici que du mode de capture standard, et pas du mode Ricoh sur lequel je m'étends un peu plus bas.

Distinct du mode photo traditionnel, celui-ci n'utilise que le grand-angle avec, au choix, une focale de 28 ou 40 mm. Par défaut, on obtient évidemment un rendu beaucoup plus neutre, avec des couleurs douces et un rendu naturel. On respire.

J'ai voulu m'amuser en adoptant un preset photo proche de celui que j'utilise sur mon Ricoh GR IV mais, comme je l'expliquais, le manque de contrôle sur la balance des blancs m'empêche de vraiment répliquer le profil. Aussi, d'évidentes différences font qu'on ne retrouvera jamais vraiment les mêmes photos que sur un appareil photo dédié. La taille du capteur (plus imposante sur un GR), mais également l'ouverture de l'objectif, ici fixée à f/1.8. Sur un appareil photo, on a plutôt tendance à fermer autour des f/8 pour obtenir le meilleur piqué possible.

Alors quoi, Realme passe à côté de son sujet ? Pas vraiment. J'aime le mode Ricoh GR car il me contraint à jouer avec les deux focales reines de la street photo, sans possibilité de trop se reposer sur un ultra-grand-angle ou un téléobjectif au zoom infini. Et, vous le savez, c'est de la contrainte que nait la créativité. Finalement, j'ai plus souvent utilisé l'appareil photo du realme GT 8 Pro via le mode Ricoh qu'autre chose — n'en déplaise au téléobjectif 200 mégapixels !

Ultra grand-angle

L'ultrawide a les mêmes qualités et les mêmes défauts que son grand-frère. À savoir un bon piqué, des photos riches en détails et en netteté, mais aussi des couleurs trop extravagantes à mon goût. J'apprécie néanmoins le rendu très contrasté des photos. Parfois un peu sombres, elles conservent cependant très bien les détails dans les ombres. On reste malgré tout sur des photos très « processed » comme on dit en anglais. C'est-à-dire très artificiellement retraitées pour les magnifier.

Téléobjectif / Zoom

Bon, et ce téléobjectif 200 mégapixels alors, que vaut-il ? Déjà, je peux souligner les efforts de realme en matière de continuité colorimétrique. Même si je n'y goûte pas, il faut reconnaître que le traitement des couleurs est similaire (et donc très renforcé) sur les trois modules. Ensuite, et c'était plutôt évident, le téléobjectif propose sensiblement la même qualité optique que le grand-angle. Le piqué est excellent, et le niveau de détails encore plus important du fait de la plus haute résolution. L'exposition est également parfaite, grâce à la grande taille du capteur.

Mais, évidemment, cette résolution XXL nous sert surtout à pousser le zoom numérique dans ses retranchements. C'est naturel : le rendu des photos en 7x, 10x et même 30x est très supérieur à ce qu'on peut retrouver sur d'autres smartphones du marché. Maintenant, pour être parfaitement honnête, je ne suis pas tombé de ma chaise pour autant — il faut dire que j'ai vraiment du mal avec ce traitement des couleurs. Le capteur reste limité par la physique, et même s'il permet techniquement de jouer avec un zoom 100x, je vous le déconseille. À ce stade, c'est l'IA qui est aux manettes, et qui tente de recomposer les détails de l'image de façon… baroque.

Photos de nuit

La taille du grand-angle et du téléobjectif les aide clairement à offrir de beaux résultats nocturnes. Le bruit est minimum, les détails et les couleurs sont relativement bien préservées… mais l'ultra-grand-angle reste sur le carreau. Sur mes scènes habituelles, on voit que l'image paraît brouillonne, délavée presque. Remarquez que le téléobjectif a quant à lui des difficultés à faire le point correctement lorsque la lumière se fait discrète.

Portraits et selfies

Le mode portrait du realme GT 8 Pro opte pour la même approche colorimétrique que les autres. À savoir : on pousse tout à fond ! Alors très bien, ça me donne bonne mine et met bien en valeur mes yeux… Mais c'est une vision un peu trop fantasmée de la réalité pour que j'y adhère pleinement. Il suffit de comparer ces portraits avec ceux proposés par le capteur photo avant pour se rendre compte de l'écart de traitement qui est appliqué. À choisir, je préfère mille fois le rendu des selfies ! Reste que le détourage est de qualité — même si, une nouvelle fois, realme a la main lourde sur le flou d'arrière-plan.

Vidéo

Comme ses cousins de chez OPPO et OnePlus, le realme GT 8 Pro peut filmer en 8K à 30 images par seconde, et même jusqu'à 120 fps en 4K avec tous les capteurs. Pour ma part, j'ai préféré utiliser le mode 4K60 en Dolby Vision (HDR). Mais, si j'étais très emballé par les résultats du OnePlus 15, j'avoue être resté un peu tiède face aux films tournés avec ce realme. L'image n'est pas du tout au niveau, avec une faible dynamique, des couleurs encore exagérées, et un bitrate insuffisant pour garantir un bon niveau de détails. Clairement pas très à l'aise en vidéo.

Autonomie : un véritable marathonien

Je m'y attendais un peu en lisant la fiche technique, et mon test me l'a confirmé : le realme GT 8 Pro est un smartphone très, très endurant. Un peu moins que le OnePlus 15 testé le mois dernier, mais tout de même excellent en autonomie. Sa batterie de 7 000 mAh fait des merveilles, et l'efficience de la puce Snapdragon 8 Elite Gen 5 rend de fiers services pour aligner les heures d'utilisation sans voir sa batterie fondre.

Une autonomie de plus de deux jours garantie ! © Pierre Crochart pour Clubic.com

Concrètement, j'ai pu tenir deux grosses journées complètes sur batterie, pour un total dépassant les 10h de temps d'écran (en usage varié, comprenant du jeu et des shootings photo et vidéo). C'est remarquable, et encore presque inespéré il y a un an ou deux. Les batteries en silicium-carbone sont véritablement en passe de révolutionner l'industrie du smartphone, et c'est très réjouissant.

Et, si la décharge est lente, la recharge, elle, est ultra-rapide : 40 minutes chrono, avec le chargeur SuperVOOC 120 W de chez realme. On a vu mieux, mais a-t-on besoin de mieux ? À méditer…

Realme GT 8 Pro : Prix, disponibilité et concurrence

Comme je l'ai déjà écrit, le realme GT 8 Pro est le smartphone le plus onéreux commercialisé par la marque. Il s'avance à un tarif premium, et veut très clairement aller concurrencer le tout récent OnePlus 15, le Google Pixel 10 Pro ou l'évident iPhone 17.

  • 12+256 Go : 999,99€
  • 16+512 Go : 1199,99€ (modèle testé)
  • Dream Edition 16+512 Go (partenariat Aston Martin) : 1299,99€

Realme GT 8 Pro : l'avis de Clubic

Conclusion
Note générale
8 / 10

Il est absolument indéniable que realme a mis ses pions aux bons endroits pour mieux installer son GT 8 Pro sur le marché, saturé, des smartphones haut de gamme. Offrant des performances impeccables, une très grande autonomie et un écran lumineux, il coche de nombreuses cases… mais échoue, je trouve, à vraiment nous décrocher la mâchoire sur la photo et la vidéo.

Si j’ai beaucoup aimé le Ricoh Mode, qui reprend la plupart des très bonnes idées de Ricoh en matière de photographie, le rendu des photos « classiques » est beaucoup trop artificiel. Les couleurs sont trop saturées, la netteté exagérée, et jamais le téléobjectif de 200 mégapixels ne nous donne une réelle impression de savoir faire plus que ses concurrents moins bien dotés.

Un bilan plutôt contrasté donc, qui laisse toutefois entrevoir de belles choses pour le futur de la marque, qui semble déterminée à prendre son envol et à se faire prendre au sérieux parmi les « grands » du marché. Après tout, OnePlus et OPPO aussi, ont commencé comme ça. Un smartphone qui repart donc avec les « encouragements », comme on disait au collège.

Les plus
  • Le Ricoh Mode en photo
  • Les performances incroyables
  • Une très très grande autonomie
  • Un logiciel agréable et varié
  • Écran très lumineux
Les moins
  • Des photos beaucoup trop artificielles
  • Pas un grand vidéaste
  • Trop proche du OnePlus 15… et moins bon sur presque tout
Sous-notes
Design et construction
8
Écran
8
Performances
10
Autonomie
10
Photographie et vidéo
8
Logiciel et mises à jour
8

Fiche technique Realme GT 8 Pro

Résumé
Taille de l'écran6.79 pouces
Taux de rafraîchissement144Hz
Mémoire interne256 Go, 512 Go
Mémoire vive (RAM)12 Go, 16 Go
Capacité de la batterie7000 mAh
Charge rapideOui
Définition du / des capteur(s) arrière50 Mpx ; 50 Mpx ; 200 Mpx
Caractéristiques techniques
Système d'exploitationAndroid
Version du système d'exploitationAndroid 16
Surcouche AndroidRealme UI 7
Assistant vocalGoogle Gemini
Affichage
Taille de l'écran6.79 pouces
Type d'écranAMOLED
Définition de l'écran3136 x 1440 pixels
Taux de rafraîchissement144Hz
Mémoire
Mémoire interne256 Go, 512 Go
Stockage extensibleNon
Performance
ProcesseurQualcomm Snapdragon 8 Elite Gen 5
Finesse de gravure3nm
Nombre de cœurs CPU8 cœurs
Fréquence CPU4.6GHz
GPUAdreno 840
Mémoire vive (RAM)12 Go, 16 Go
Batterie
Capacité de la batterie7000 mAh
Batterie amovibleNon
Recharge sans-filOui
Charge rapideOui
Puissance de la charge rapide120W
Appareil Photo
Nombre de caméras (avant & arrière)4
Définition du / des capteur(s) arrière50 Mpx ; 50 Mpx ; 200 Mpx
Définition du / des capteur(s) avant32 Mpx
Enregistrement vidéo8K30 ; 4K120
Stabilisateur caméraOptique et Numérique
Ouverture objectif photo arrièresf/1.8 ; f/2.0 ; f/2.6
Ouverture objectif photo frontauxf/2.4
Zoom Optique3x
Réseau
Carte(s) SIM compatible(s)Nano-SIM, eSIM
Connectivité
Wi-Fi7
Bluetooth6
Equipement
Type de connecteurUSB-C
Prise JackNon
Nombre de haut-parleurs2
Caractéristiques physiques
Hauteur161.8mm
Largeur76.87mm
Epaisseur8.2mm
Poids218g
Certification IPIP68, IP69, IP66