L’opérateur Orange et l’entreprise de luxe Montblanc avaient un défi : offrir à leurs clients, certes les plus aisés, une montre connectée autonome qui ne nécessite plus de se coltiner son smartphone en permanence. Avec la Summit 2+, les deux entreprises, partenaires de longue date, ont en partie relevé le défi, mais elles font aussi plonger l’univers de la smartwatch dans une nouvelle dimension. Embarquez avec nous pour un test en 10 points essentiels.
- Assemblage de fonctionnalités (Montblanc et Wear OS) intéressant
- Un élégant design
- Personnalisation du cadran
- Qualité de l’écran
- Pas d’iOS
- Bracelet difficile à appréhender
- Mauvaise autonomie
- Trop grande indépendance au réseau mobile Orange
La montre connectée Montblanc Summit 2+, présentée le 16 juillet par la marque ainsi qu’Orange, qui la distribue en France, porte en elle une innovation de taille, dont nous allons largement reparler tout au long de ce test. Montblanc s’offre le luxe – et ce n’est pas un jeu de mots – de supplanter des cadors du marché en devenant le premier fabricant à commercialiser une smartwatch eSIM tournant sous Wear OS, le système d’exploitation de Google dédié aux wearables.
La Montblanc Summit 2+, une connectivité d’exception
Orange, qui est le premier opérateur français à avoir lancé l’eSIM, fait que la montre Montblanc Summit 2+ peut fonctionner de manière autonome. C’est la première fois qu’une montre connectée embarque la connectivité eSIM (une SIM directement incluse), 4G LTE (exclusivement Android par contre), couplée à Wear OS, qui prend d’ailleurs le relai d’Android Wear ici. Cela veut dire qu’il n’est plus nécessaire d’être à proximité de votre smartphone, pour peu que le réseau Orange couvre convenablement vos zones de déplacement. À défaut, vous devrez faire avec le Wi-Fi et le Bluetooth, donc avec votre mobile.
En clair, une fois l’option « Multi-SIM Appels & Internet eSIM » d’Orange activée, votre montre devient indépendante de votre mobile, même en cas de désactivation du Bluetooth, et vous conservez qui plus est le même numéro. Et ça, c’est fun. Bien entendu, il y a une contrepartie, et vous devinez ? Il s’agit évidemment de l’autonomie. Ne vous attendez pas à des jours de rab en pleine utilisation, on en est trop loin.
Mais là n’est pas le point essentiel de la montre, qui permet aussi bien de passer des appels, d’envoyer des SMS, de se balader sur le Play Store de Google, de télécharger ses applications préférées, de consulter les actualités que de surveiller sa fréquence cardiaque, de se géolocaliser grâce au GPS ou de se balader sur ses réseaux sociaux. L’entrée est terminée, place au plat principal.
Un design de choix, forcément
Sur un marché des smartwatches en plein boom (Montblanc a vendu deux fois plus de Summit 2 que de Summit), le design n’est plus un élément phare, il est tout simplement prépondérant. Avant même les fonctionnalités, il est la base du succès ou non d’un modèle, un peu à l’instar d’une voiture, qui doit avant tout plaire en apparence avant de séduire à l’intérieur. Car la montre devient ici un prolongement de notre personnalité.
Montblanc, fabricant de produits de luxe par nature, accorde évidemment une attention toute particulière à cet élément et présente une Summit 2+ au design particulièrement travaillé. Ici, on retrouve un design calqué sur celui de la gamme et plus particulièrement de sa grande sœur, la Summit 2. La montre accueille trois poussoirs, dont un sur la couronne tournante.
Quatre « coloris » ou finitions sont proposés, chacun avec leur propre style. Le premier, celui de notre montre de test, correspond au modèle acier noir et caoutchouc. Il s’agit du modèle apparenté sport. Durant le test, nous n’avons pas ménagé cette montre en enchaînant les séances de sport. Et celle-ci est tout à fait supportable même sous la chaleur légendaire et tant redoutée du Sud de la France.
En revanche, le fermoir de la montre n’est pas des plus convaincants, et il faut vous y prendre à plusieurs reprises pour trouver le bon réglage lors de la prise en main, tel Rayman face à Boss Oiseau. Prenez garde également à fermer la première partie du bracelet avant de fermer la seconde, car à défaut, celle-ci peut se rouvrir d’elle-même. Mais ce n'est qu'un coup à prendre, et ce détail est oublié au bout de quelques minutes de prise en main.
À côté du modèle sport, il existe trois autres modèles : la montre acier doré et cuir de veau Sartorial crème, destinée à un public féminin ; le modèle acier couleur bronze et cuir de veau kaki ; et la montre en acier inoxydable et bracelet cuir noir, qui sont plutôt pour ces deux dernières, des montres de bureau. Tous les modèles sont dotés d’un boîtier en acier inoxydable, recouvert d’un verre en saphir bombé.
La Summit 2+ essaie de créer l’illusion d’une montre mécanique (et ce n’est pas si facile, nous vous laissons vous faire une idée avec nos photos et vidéo), et ce pour tous les goûts. Pour cela, 12 cadrans numériques (personnalisables, ce qui est appréciable) sont présents nativement dans la montre. Et il est possible d’en télécharger davantage en passant par le Play Store de Wear OS.
Pour finir sur la taille et le poids de la montre, celle-ci a grandi. On passe de 42 mm pour la Summit 2 à 43,5 mm pour la Summit 2+. L’épaisseur reste la même (14,3 mm), tout comme la largeur des cornes (22 mm). Les modèles, eux, varient de 93,6 grammes à 102,9 grammes pour le modèle sport. L’édition sport de la génération précédente pesait 140,6 grammes. Une vraie optimisation a été réalisée, malgré l’augmentation de la taille.
L’écran, lui, est aussi un peu plus large que la génération précédente (8% plus grand très exactement) : on bascule d’un AMOLED 1,2’’ à un AMOLED 1,3’’. La résolution progresse aussi et bascule de 390 x 390 à 418 x 418. Trois tailles de police sont proposées et il est possible de régler la luminosité sur cinq crans, et d’adopter le réglage automatique, qui a tendance à plus économiser la batterie qu’à améliorer notre confort visuel.
Une fiche technique qui en impose
Montblanc n’a clairement pas fait dans la dentelle avec la Summit 2+. Sous le cadran, les performances sont remarquables, et sous certains aspects, elle n’est pas si loin de ce qui se fait de mieux aujourd’hui sur le marché. Voyons cela ensemble :
- Boîtier : 43,5 mm
- Écran : tactile affichage rond AMOLED 1,28’’, définition 418x418
- Processeur : Qualcomm Snapdragon Wear 3100
- Système d’exploitation : Wear OS by Google (Android Wear H)
- Mémoire : 1 Go DDR
- Stockage : 8 Go
- Capteurs de fréquence cardiaque, GPS, altimètre, accéléromètre, lumière ambiante, gyroscope
- Haut-parleur et microphone
- Étanchéité : Indice de protection IPx8
- Batterie : 440 mAh (Mili-Ampères par heure)
- Connectivité : Bluetooth 4.2, Wi-Fi (802.11b/g/n), 3G, LTE (4G)
- Compatibilité : Android 6.0+ (hors édition Go)
La capacité de stockage de la Summit 2+ est impressionnante et offre à l’utilisateur la possibilité de télécharger de nombreuses applications. La batterie, elle, est plus importante que sur la génération précédente, ce qui est censé lui offrir, sur le papier, 30% d’autonomie supplémentaire.
Comment jumeler sa Summit 2+ avec son smartphone Android et bénéficier de la 4G d’Orange ?
Une petite parenthèse s’impose avant de revenir plus largement sur l’OS embarqué sur la Summit 2+ et sa corrélation avec l’eSIM. Car avant de pouvoir utiliser la montre, il faut activer la 4G sur cette dernière, et cela nécessite de suivre les recommandations d’Orange et, surtout, de disposer d’un forfait Orange.
Au risque de nous répéter par moment, rappelons que des prérequis sont nécessaires pour pouvoir utiliser la Montblanc Summit 2+. D’abord, vous devez disposer d’un smartphone Samsung, Huawei, Sony ou Honor compatible VoLTE (la liste des mobiles compatibles est disponible ici), Android 6.0+, détenir une carte SIM Orange (et avoir un forfait Orange ou Sosh voix 4G et voix Wi-Fi compatible) et activer votre compte Google sur le mobile si ce n’est pas déjà fait.
Seconde étape cruciale, vous devez appairer, jumeler votre montre avec votre smartphone Android. Dans un premier temps, pensez bien à activer les données mobiles et le Wi-Fi du smartphone ainsi que le Bluetooth. Ensuite, il vous faut télécharger la version la plus récente de Wear OS by Google depuis le Play Store. Puis vous pouvez démarrer la montre en appuyant sur la couronne centrale.
Le reste de la procédure est parfaitement résumé avec ce petit schéma proposé par Orange qui, on le répète, est le distributeur de la montre en France. Allez entamons une partie un peu plus technique maintenant de ce test.
Wear OS et eSIM, l’union fait la force
Sans entrer encore dans le détail des principales fonctionnalités (promis, on y vient), insistons un instant sur l’aspect de la Summit 2+ et la pertinence du partenariat avec Orange. Autonome. Oui, la smartwatch dernière génération de Montblanc incorpore une eSIM qui, mariée au système d’exploitation Wear OS by Google, permet d’utiliser certaines fonctionnalités de la montre sans être connectée au smartphone.
Nous avons pu le tester à de multiples reprises, sur divers terrains. Le smartphone à la maison, la montre au bras et direction la salle de sport pour une séance durant laquelle nous avons pu relever de nombreuses données sport et santé, qu’il faut bien entendu synchroniser ensuite une fois de retour à la maison, sauf si vous reliez la montre au réseau mobile.
Ce qui est intéressant, c’est la possibilité de passer (ou de recevoir) des appels depuis votre montre, alors que votre mobile vous attend changement à la maison. Il n’est pas nécessaire d’être connecté en Wi-Fi à quelconque réseau ni en Bluetooth. L’eSIM fait le travail. En revanche, il n’est pas tout le temps possible, par exemple, d’envoyer ou de recevoir des SMS si la montre n’est pas reliée à proximité de votre smartphone. En tout cas, cela ne l’était pas pendant le test. Pour certaines fonctionnalités, comme l’accès aux réseaux sociaux ou à Spotify, nous avons eu énormément de mal à les configurer, seules les notifications LinkedIn ou Instagram ayant fonctionné sur notre montre d’essai.
Notons que même connectée avec le mobile, la montre a quelques soucis d’envoi de SMS, et l’envoi vers un destinataire s’est débloqué une fois que nous avons reçu un SMS de ce dernier. Concernant les messages écrits, plusieurs message pré-enregistrés sont proposés pour gagner du temps et ainsi éviter de taper votre message via le clavier de la montre, qui en soit ne vous fait étonnement pas commettre beaucoup d’erreurs, contrairement à certains smartphones.
L’union Wear OS / eSIM a du potentiel, c’est indéniable, mais on sent clairement que la technologie n’en est qu’à ses balbutiements, et qu’elle est dépendante de la couverture en réseau mobile du territoire ou du lieu où vous vous trouvez.
Fonctions sportives : merci Google
Du côté des fonctionnalités sportives, vous ne trouverez rien de bien révolutionnaire. Souvent, un même usage est en double, avec la confrontation des fonctionnalités Montblanc et Google.
Vous avez, d’un côté, les applications natives Montblanc, comme le Workout Coach, qui vous aidera à évaluer votre niveau de forme du moment et vous aidera à fixer des objectifs, notamment via des programmes d’entraînement personnalisés. Ainsi, vous pourrez suivre votre progression via cette dernière. Montblanc dispose aussi de sa propre fonctionnalité indépendante de fréquence cardiaque, qui mesure votre pouls en une quinzaine de secondes puis s’ajuste plusieurs fois par minute.
Montre sous Wear OS oblige, vous retrouvez toute la gamme d’outils pouvant ensuite être contrôlés et visionnés via l’application mobile Google Fit. Sur la montre, plusieurs appli/fonctionnalités sont présentes dans le menu de départ, comme Fréquence cardiaque sur Fit ; Fit respiration, pour faire des exercices de relaxation et apaiser son cœur ; Exercice Fit, qui fonctionne pour de très nombreuses activités sportives (nous avons pu tester avec succès le tennis, la musculation ou le vélo d’appartement) ; et Objectifs Fit, qui vous indique votre nombre de pas, de calories, la distance parcourue, le bilan de votre semaine, l’ensemble des sessions d’activités recensées directement sur la montre.
Notons que toutes ces dernières données sont ensuite consultables depuis la Summit 2+ ou via l’application mobile Google Fit, depuis votre smartphone.
Fonctions connectées : une montre « complète » mais pas parfaite
Sur la Montblanc Summit 2+, on retrouve toutes les fonctionnalités portées par le système d’exploitation Google Wear OS. L’une des plus importantes est Google Pay (grâce à la technologie NFC), assez facilement configurable. On doute tout de même toujours de l’adoption du paiement via sa montre connectée.
Google Assistant apporte son lot d’usages intéressants, comme la météo en temps réel, les actualités, l’affichage et la programmation de rappels, et les multiples questions qu’il est possible de poser à l’assistant personnel de la firme de Moutain View.
D’autres fonctionnalités portées par Google, comme Maps et Google traduction, sont plutôt agréables et intuitives dans leur utilisation via la Summit 2+. On notera que la reconnaissance vocale fut plutôt efficace, ce qui n’était pas forcément le cas sur la génération précédente.
On n’oubliera bien entendu pas les fonctionnalités traditionnelles que l’on pouvait retrouver sur la Summit 2, comme le suivi de la fréquence cardiaque ; l’altimètre ; le baromètre, qui vous indique la pression ; la boussole ; l’accéléromètre, pour mesurer votre vitesse actuelle ; et le GPS, qui fonctionne très bien avec le Bluetooth. Toutes ces fonctionnalités sont regroupées sous l’appli Toolbox ou via un raccourci simplement accessible sur le bouton du haut de la montre. L’application de Montblanc, Travel Info, qui vous donne toutes les infos sur les pays que vous visitez, par exemple la devise ou les modalités de pourboire, sera pratique pour tous les voyageurs, même si la période n’est pas propice aux déplacements hors-Union européenne.
Sur la maniabilité des fonctionnalités, on jongle facilement entre les boutons et la couronne tournante, reposante pour nos petits doigts fragiles avec l’écran tactile, qui est plutôt intuitif et ne souffre pas de réel défaut dans la navigation. Que ce soit en termes de scroll ou de latence. Il est possible de sélectionner des applications favorites, pour les faire remonter en haut de votre panel d’applications et gagner de précieuse secondes, ce qui est censé être le but premier d’une montre connectée.
Autonomie : un point faible justifié ? Pas merci Google cette fois
« Ah ! », crierait Denis Brogniart. Voilà l’un des moments les plus importants de ce test. Ne vous y méprenez pas, si les défauts de la Summit 2+ sont certains, il n’en reste pas moins que la montre connectée de Montblanc affiche un potentiel indéniable et de belles surprises. Sauf que s’agissant de son autonomie, la déception n’est pas loin d’être immense. Google Wear OS, le système d’exploitation des montres connectées du géant américain, est un sacré gourmand. Toutes options activées, comme le Wi-Fi et le GPS, la montre risque d'avoir des difficultés à tenir la charge plus d’une journée. Ce qui est malheureusement le cas avec la plupart des montres sous Wear OS. Et cela jouera sur la note finale.
Et lorsque nous parlons « d’une journée » de charge, on parle d’une journée d’activité, pas d’une boucle de 24 heures. Pire, pour peu que vous décidiez de solliciter Google Assistant ou de pousser la luminosité au-delà de 3 sur 5, vous pouvez liquider la batterie de la Summit 2+ en une demi-journée à peine. En cas d’utilisation du matin au soir, cela vous obligerait donc à recharger non pas une mais deux fois par jour votre batterie : en début d’après-midi puis le soir, en rentrant au bercail. C’est beaucoup trop au regard du prix, dont nous allons parler, et du prestige de Montblanc.
Fort logiquement, si vous vous en tenez à la simple utilisation qui consiste à vous donner l’heure, sans connectivité et en mode économie d’énergie, la Summit 2+ tient sans trop de mal entre 24 et 48 heures. Mais acquérir la smartwatch uniquement pour un cadran numérique qui vous fournit l’heure, quel serait l’intérêt ? Attendez-vous donc à devoir vous coltiner votre chargeur au bureau, ainsi qu’une batterie externe en week-end ou en balade du dimanche à la campagne.
Concernant la recharge, nous avons fait tomber la batterie à 0% ou presque à deux reprises, pour les biens du test (les autres fois, nous n’avons pas infligé cette souffrance à la montre !). À chaque fois, la montre s’est rechargée à 100% en près d’1h30.
Le prix : direct à la niche !
1 180 euros. C’est le prix que vous coûtera la Montblanc Summit 2+, que vous passiez par le site du fabricant ou par celui de l’opérateur Orange, qui distribue la belle en France. Certes, nous sommes ici dans la catégorie de la montre de luxe, mais ni la marque Montblanc, ni l’eSIM couplé à Wear OS ne pourront justifier un tel coût pour une montre connectée, dont les usages limités du fait d’une autonomie qui l’est tout autant pourraient rebuter les utilisateurs les plus exigeants. L’iPhone 11 Pro et le Samsung S20+ 5G coûtent moins cher…
Montblanc Summit 2+ : le verdict de Clubic
À mi-chemin entre l’objet de luxe et la montre connectée, notre test de la montre Montblanc Summit 2+ fut un plaisir pour les yeux, avec des finitions agréables et un design élégant. Mais à un tel prix, on s’attend à être pas loin du « zéro défaut », ce qui, ici, n’est pas le cas. Au final, le mariage de l’eSIM (à ne pas confondre avec la nanoSIM) et de Wear OS, qui piquait notre curiosité, permet de passer et de recevoir des appels, de télécharger et d’utiliser certaines applications sans avoir son smartphone à proximité. Mais la dépendance au réseau 4G d’Orange est trop handicapante.
Au-delà de ce commentaire, la Summit 2+ offre toutes les fonctionnalités utiles à une montre connectée, comme le GPS, les fonctions sportives, etc. On regrettera tout de même la difficulté à utiliser certaines applications, comme Spotify ou Messenger, pas vraiment adaptées à la bête. D’autres, comme Shazam, ne fonctionnent pas tout le temps, que ce soit en version live ou studio.
Si l’on fait abstraction du prix, la Summit 2+ reste un très bon cru sur le marché des montres connectées, avec des atouts non négligeables. Mais la connectivité pas si rassurante et l'absence de compatibilité avec iOS constituent de réels obstacles. Le mariage de Wear OS by Google et de l'eSIM, qui a ses avantages, reste perfectible. Et à ce prix-là, certains ne pardonneront pas.
- Assemblage de fonctionnalités (Montblanc et Wear OS) intéressant
- Un élégant design
- Personnalisation du cadran
- Qualité de l’écran
- Pas d’iOS
- Bracelet difficile à appréhender
- Mauvaise autonomie
- Trop grande indépendance au réseau mobile Orange
Test réalisé sur une montre connectée prêtée par le constructeur
26 novembre 2024 à 15h35