Bouygues Telecom propose lui aussi une femtocell, un mini relais GSM qu'il propose gratuitement à ses abonnés souffrant d'une mauvaise couverture, à leur domicile ou sur leur lieu de travail.
Bouygues Telecom rejoint ainsi SFR au rang des opérateurs de France proposant une femtocell, mais leur approche est bien différente.
Pour commencer, contrairement à SFR qui fait largement la promotion de sa SFR Femto, Bouygues Telecom la réserve aux abonnés qui en font la demande, auprès du service client, et sous réserve qu'ils rencontrent bel et bien des difficultés lors de leurs communications.
Légèrement en retrait en terme de couverture, Bouygues Telecom la propose gratuitement et sans réengagement aux particuliers, pour éviter qu'ils ne changent d'opérateur. Sa mise en service est en revanche facturée 150 euros aux clients entreprises. SFR la vend quant à lui 50 euros aux abonnés qui le souhaitent, sans condition, puis leur rembourse ces 50 euros sur demande après l'activation.
SFR la propose en outre avec toutes ses offres, y compris celles sans engagement de la Série Red, tandis que Bouygues Telecom la réserve à ses abonnés Eden et forfaits bloqués, mais en prive les clients de sa division low cost B&You.
Comme un véritable relais, une femtocell relaie des signaux GSM et 3G+ (appels, SMS et données) au travers d'une connexion Internet, quel que soit le fournisseur d'accès. En l'occurrence les particuliers peuvent y rattacher 4 lignes Bouygues Telecom ou B&You (contre 5 chez SFR), les professionnels jusqu'à 32. La femtocell n'est effectivement pas accessible au tout venant pour éviter de saturer la connexion Internet.
La femtocell de Bouygues Telecom est donc disponible dès à présent auprès du service client. Tous les détails sont disponibles à cette adresse.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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