Zéro Forfait revient aujourd'hui à la charge, après avoir promptement réagi au lancement de Free Mobile, en ajustant ses jeunes « Forfaits Libres ». Le tout illimité reste globalement inchangé, quoi que ses conditions s'assouplissent, mais il est désormais largement décliné pour s'adapter à tous les usages.
Les « Forfaits Libres » sont désormais répartis en deux branches, sur lesquelles le tarif ne varie qu'en fonction du temps d'appel :
L'une incluant les SMS mais pas d'Internet 4 euros/mois avec 0h d'appels, 6 euros avec 2h, 10 euros avec 4h et 17 euros avec les appels illimités
L'autre incluant les SMS et de l'Internet 3G+ 10 euros/mois avec 0h d'appels, 14 euros avec 2h, 18 euros avec 4h et 19 euros avec les appels illimités
L'offre à 15 euros/mois ne comprenant que les appels illimités disparait donc.
En terme de conditions, les appels restent limités à 100 correspondants/mois et à 2h/appel, puis sont facturés 0,35 euro/min (contre 0,10 précédemment), les SMS restent également limités à 100 correspondants/mois, avant d'être facturés 0,10 euro/unité (contre 0,05). Les MMS ne sont quoi qu'il en soit pas inclus et sont dorénavant facturés 0,25 euro/unité (contre 0,10).
Quant à l'Internet 3G+, il reste bridé au-delà d'un modeste quota de 500 Mo/mois, mais tous les usages sont désormais autorisés, en particulier la voix sur IP et le partage de connexion (modem). Avec la branche n'incluant que les SMS, il est facturé à la consommation au tarif de 0,10 euro/Mo (contre 0,20).
Zéro Forfait adresse ainsi la plupart des offres concurrentes, et en particulier l'édition spéciale 2h de Sosh, récemment titularisée. L'inauguration de ces huit nouveaux forfaits entraine quoi qu'il en soit la disparition de l'offre « À la carte », désormais redondante, seule l'offre « Le compteur », qui passe d'ailleurs de 1 à 2 euros/mois, complète donc le catalogue.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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