YouTube est sur le point de lancer une offre payante d'abonnement permettant de profiter de l'intégralité du service sans publicité.
Longtemps chantre de la gratuité et du financement par la publicité, YouTube multiplie depuis peu les offres payantes. Le service est devenu il y a quelques années une plateforme de vidéo à la demande proposant location et achat, puis récemment une plateforme de musique sur abonnement rivalisant avec Spotify et consorts. Il est maintenant sur le point de lancer une offre sans publicité sur abonnement.
Google l'a partiellement révélé, en invitant dernièrement tous les internautes qui disposent d'une chaîne YouTube, et qui se rendent spontanément sur leur tableau de bord Creator Studio, à prendre connaissance des nouvelles conditions d'utilisation du service. Elles mentionnent désormais une autre source de revenus que la publicité : un abonnement permettant de profiter du service sans publicités.
Certains « partenaires », c'est-à-dire certains membres éditant une chaîne, ont été informés par email de la mise à jour des conditions et donc du lancement prochain d'une telle offre. YouTube n'apporte pas de détail supplémentaire, si ce n'est qu'il compte rehausser les revenus de ses membres. Google versera dans tous les cas 55% des revenus aux éditeurs des chaînes YouTube, qu'ils soient générés par la publicité ou par ces nouveaux abonnements, mais la rentabilité d'un abonné sera sans surprise, comme sur les services de musique à la demande, meilleure.
On ne peut pas encore comparer YouTube à Netflix pour autant, ce futur service n'est pas un service de SVOD mais simplement une offre dite premium comme on en trouve sur certains médias en ligne. Son prix n'est pas encore connu, mais on peut s'attendre à ce que Google officialise l'offre d'un moment à l'autre.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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