Qobuz lancera demain mardi « Qobuz Haute-Fidélité », la première offre au monde de musique compressée sans perte sur abonnement, en streaming et en téléchargement.
Qobuz est pour rappel une boutique de musique en ligne spécialisée dans la haute qualité, qui se démarque de la concurrence notamment en proposant l'achat de musique dématérialisée en « vraie qualité CD » de l'intégralité de son catalogue, comptant à ce jour 7,2 millions de titres. Tous ces morceaux sont disponibles en 44,1 kHz sur 16 bits, au format FLAC par exemple, certains étant même proposés en « Studio Masters », en 96 kHz sur 24 bits.
Deux ans presque jour pour jour après le lancement d'une offre de streaming haute qualité sur abonnement, déclinée depuis en deux variantes, Qobuz lance donc demain une offre de musique sur abonnement en FLAC 16 bits à 44,1 kHz.
Une nouvelle version du logiciel « Qobuz Desktop », disponible pour Windows et Mac OS, permettra donc de profiter d'une compression lossless, en streaming (diffusion en continu) et en « téléchargement ». Il est naturellement question de synchronisation hors ligne, accessible tant que courre l'abonnement.
La musique restera en revanche au format MP3 CBR à 320 kbps depuis le lecteur en ligne accessible depuis un navigateur Internet mais aussi depuis l'application pour Android ou iOS.
Qobuz en profite pour revoir le découpage de son offre :
Qobuz Basic, donnant droit au streaming en MP3 CBR à 320 kbps depuis un ordinateur pour 7 euros/mois ou 70 euros/an,
Qobuz Premium, qui offre en plus la synchronisation hors ligne, depuis un ordinateur ou un mobile, pour 13 euros/mois ou 129 euros/an,
Qobuz Haute-Fidélité, qui donne droit au FLAC, pour 29 euros/mois ou 299 euros/an.
Trois fois plus onéreuse que les offres de Deezer ou Spotify, l'offre « Qobuz Haute-Fidélité » est sans équivalent sur le marché et s'adresse « aux vrais passionnés de musique ». Selon Yves Riesel, co-fondateur de Qobuz, il s'agit aussi de « rémumérer correctement artistes et producteurs de chaque répertoire », ce que « les abonnements mensuels à 10 euros ne permettent pas » pour « permettre de nouvelles productions ».
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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