Entre la démocratisation de l'ordinateur portable et l'avènement du HDMI, le téléviseur du salon sert de plus en plus souvent de moniteur informatique, pour regarder une vidéo, un diaporama ou naviguer sur Internet du fond du canapé. Logitech lance à cet effet un périphérique dédié : le « Wireless Touch Keyboard K400 ».
Si l'utilisation d'un clavier sans fil ne pose aucun problème au salon, une souris sans fil y éprouve quant à elles plus de difficultés : mieux vaut-il se cambrer sur la table basse, à condition qu'elle ne soit pas en verre, ou bien batailler avec la surface inappropriée du canapé, du fauteuil ou de son pantalon ?
Grand touchpad intégré
Le « Logitech Wireless Touch Keyboard K400 » répond à cette problématique en prenant la forme d'un ensemble clavier-souris monobloc. Il arbore effectivement un grand touchpad (pavé tactile) de 3,5 pouces, apportant l'ergonomie d'un ordinateur portable à la télévision du salon, si ce n'est qu'il se trouve à droite et non en dessous du clavier.
Clavier qui hérite d'ailleurs de la disposition ramassée de celui d'un ordinateur portable. Il se contente en revanche du minimum syndical en touches de raccourci, alors que ces raffinements souvent inutilisés sur un bureau prennent tout leur sens au salon. Seul le réglage du volume et un bouton « accueil » sont ainsi proposés.
Pour ordinateur, mais pas seulement
Le périphérique exploite une liaison radio au travers du petit récepteur Unifying maison. Reposant sur la norme HID, il est naturellement pris en charge par un ordinateur, mais aussi potentiellement par un grand nombre d'autres dispositifs : téléviseurs connectés, lecteurs multimédias ou consoles de jeu.
Le « Logitech Wireless Touch Keyboard K400 » a été annoncé hier à Singapour, où il sera prochainement commercialisé au prix public de 59 dollars de Singapour (soit 34 euros au taux actuel). Reste à espérer que Logitech le commercialisera également en Europe, où il offrira une alternative à la récente Boxee Remote ultra-compacte.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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