Corsair K60 RGB Pro Low Profile : réactif, précis, discret... mais peu innovant

Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
31 décembre 2020 à 18h40
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© Corsair
© Corsair

Nous l’attendions au cours du mois de novembre, le nouveau K60 RGB Pro Low Profile n’a finalement trouvé son chemin vers les revendeurs français que courant décembre. Nous avons été en mesure de le tester longuement afin d’évaluer ce nouveau produit présenté comme « fin, réactif, élégant ».

Corsair K60 RGB Pro Low Profile
  • Aluminium brossé superbe
  • Excellents switchs low profile
  • Peu épais, peu profond
  • Lisibilité des caractères
  • Rétroéclairage efficace
  • Interface logicielle réussie
  • Rien que de très classique
  • Tarif élevé, voire très élevé
  • Pass d'USB pass-through
  • Trop sensible pour certains ?

À la faveur de l’automne 2020, Corsair a donc décidé de renouveler ses claviers, mais plutôt que de viser des tarifs abordables comme il avait pu le faire en sortant le K55, l’Américain tape relativement haut. Ainsi, le modèle « standard » (le K60 RGB Pro) est facturé 129,99€ par Corsair, quand notre version « fine » (le K60 RGB Pro Low Profile) est encore un peu plus chère, à 149,99€ selon les tarifs officiels. Deux versions donc qui diffèrent assez peu sur la philosophie, puisque Corsair adopte un châssis assez similaire en aluminium brossé, mais qui, nous allons le voir, se distinguent à l’usage.

L'élégance d'un rétroéclairage efficace, sans excès © Corsair
L'élégance d'un rétroéclairage efficace, sans excès © Corsair

Fiche technique du Corsair K60 RGB Pro Low Profile

Notez bien qu’après plusieurs incursions dans le domaine du sans-fil, Corsair a décidé de revenir vers quelque chose d’un peu plus classique avec un câble tout ce qu’il y a de plus « normal » pour relier notre K60 RGB Pro Low Profile au PC.

  • Type de clavier : AZERTY, 105 touches en ABS
  • Contacteurs : Cherry MX Low Profile Speed, linéaires
  • Anti-ghosting : oui, intégral
  • Rétroéclairage : RGB, touche par touche
  • Prise en charge des macros : oui, programmation logicielle
  • Touches multimédias : non, 7 raccourcis sur les touches de fonction
  • Poids : 820 grammes
  • Dimensions : 441 x 137 x 31 millimètres
  • Interface de connexion : filaire (câble USB 1,8 m)
  • USB pass-through : non
  • Logiciel : oui, Corsair iCUE
  • Prix et disponibilité : déjà disponible, à 149,99 €

L’appellation low profile se rapporte à l’épaisseur des contacteurs employés. En théorie, elle est ainsi l’assurance d’une grande finesse pour le clavier. Dans le cas des K60 RGB Pro, ce n'est toutefois pas très net. La finesse reste de mise comme vous pouvez le voir sur la fiche technique de notre cobaye, mais sachez que le modèle « standard » n’est que 4 millimètres plus épais. Rien de dramatique donc.

L'aluminium brossé fait son petit effet © Nerces pour Clubic
L'aluminium brossé fait son petit effet © Nerces pour Clubic

Sobriété et élégance

Au premier coup d’œil posé sur le K60 RGB Pro Low Profile, c’est évidemment son matériau qui se remarque. Le produit est effectivement conçu autour d’une structure frameless – ouverte – en aluminium brossé du plus bel effet. Si le clavier est effectivement noir, comme le souligne son constructeur, l’aluminium brossé donne une touche plus légère, moins sombre au produit. L’absence de bord est également à saluer : les touches donnent l’impression de « flotter ». Rien de nouveau, bien d’autres constructeurs proposent de tels produits, mais l’élégance est clairement au rendez-vous. Élégance donc, mais également sobriété.

En effet, Corsair n’a pas cherché à faire des les formes originales avec un modèle rectangulaire que l’on pourrait presque qualifier de « basique ». Aucune protubérance, aucune excroissance n’est à signaler. En revanche, son format pleine largeur et ses 105 touches ne plaident pas en faveur d’un encombrement réduit. Même s’il n’est pas le plus imposant des claviers passés entre nos mains, ses 441 millimètres de long occuperont un bel espace. La profondeur est toutefois plus réduite (137 mm) et le poids particulièrement faible pour un modèle « complet » (820 grammes). Notre low profile est d’ailleurs 60 g plus léger que le modèle « standard ».

Comme un artiste qui signe son oeuvre... © Nerces pour Clubic
Comme un artiste qui signe son oeuvre... © Nerces pour Clubic

Poursuivre notre « tour du propriétaire » permet de découvrir une regrettable surprise compte tenu du tarif de ce K60 RGB Pro Low Profile. En effet, non seulement le câble proposé par Corsair n’est pas détachable, mais il n’est même pas souple ou tressé. On se retrouve en réalité avec un câble tout ce qu’il y a de plus traditionnel comme on peut en trouver sur des modèles à 40 euros. Bien sûr, un câble « normal » comme celui-ci ne permet pas de bénéficier d’un port USB pass-through comme certains modèles haut de gamme en proposent pourtant. Dommage. Autre économie réalisée par Corsair : les plastiques utilisés sur les touches.

Il ne faut guère plus de quelques minutes d’observation pour se rendre compte que l’Américain a utilisé de l’ABS pour fabriquer ses keycaps. Rien de scandaleux à vrai dire, puisque de nombreux concurrents font de même, mais le K60 RGB Pro Low Profile est à un tarif « charnière ». C’est à ce niveau de prix que l’on peut trouver les premiers modèles en PBT, bien plus durable. À son crédit, l’ABS est plus simple à mouler en deux temps. De ce fait, il autorise la conception de keycaps qui laissent davantage traverser la lumière et on obtient donc un rétroéclairage plus homogène, et surtout bien plus efficace.

Les fameux contacteurs Cherry MX Low Profile Speed dans toute leur « splendeur » © Nerces pour Clubic
Les fameux contacteurs Cherry MX Low Profile Speed dans toute leur « splendeur » © Nerces pour Clubic

Excellence des Cherry MX Low Profile Speed

Soulignons par ailleurs la belle qualité de gravure des caractères sur les touches. Difficile, sur un test d’environ trois semaines, de juger de leur longévité, mais ils sont très lisibles. Enfin, retournons le clavier pour découvrir la présence de deux pieds relativement sommaires. Ils ne sont dépliables que sur une seule position, inclinant le clavier d’environ 6° par rapport à la position standard. Nous découvrons également quatre patins antidérapants très efficaces épaulés par un long patin central de presque 14 centimètres. Corsair a aussi ménagé deux encoches, comme pour accrocher un repose-poignets sans toutefois qu’aucun accessoire de ce type ne soit disponible.

En retirant les keycaps, on dévoile le « cœur » de ce K60 RGB Pro Low Profile : des contacteurs Cherry MX Low Profile Speed. Il est bon ici de rappeler qu’il s’agit de la différence principale entre notre cobaye et le K60 RGB Pro : ce dernier est équipé des derniers Cherry Viola présentés comme aussi réactifs, mais plus économiques. Ce qui explique la différence de prix entre les deux K60, 20€ tout de même. Pour ne rien vous cacher, ces Cherry MX Low Profile Speed, nous les connaissons bien et nous les apprécions beaucoup, en particulier pour leur remarquable réactivité… qui pourrait toutefois en déranger certains.

Une finesse des touches / du clavier appréciable © Nerces pour Clubic
Une finesse des touches / du clavier appréciable © Nerces pour Clubic

La course totale des contacteurs est classique (un peu plus de 3,2 mm). En revanche, l’activation se fait à moins d’un millimètre. Pour forcer le trait, disons qu’il suffit d’effleurer la touche pour que l’action soit réalisée. En jeu vidéo, c’est pour ainsi dire une bénédiction et même lors de la saisie de texte cela peut être très pratique : il suffit pour cela d’adopter une frappe légère, très rapide. Reste que ce n’est pas ainsi que fonctionne tout le monde et cette extrême réactivité provoquera bien des misclicks avant d’être maîtrisée. Reste le second avantage de ces contacteurs : leur relative discrétion. Il n’est évidement pas question de les comparer à des membranes, mais pour des switchs mécaniques, ils sont plutôt silencieux.

Les spécialistes auront remarqué la présence du terme « linéaire » sur notre fiche. Cela signifie qu’ils n’appartiennent pas à la catégorie des clickys de chez Cherry. On évite le clic caractéristique à l’activation du contacteur. Mieux, malgré sa structure ouverte, le clavier n’entraîne pas d’effet de résonance ou d’écho lorsque la touche atteint sa course maximale. Enfin, et là, il faudra donc un peu d’habitude pour maîtriser la chose, mais puisque l’activation se fait dès 1 mm, il n’est nullement utile d’atteindre cette course maximale : on limite encore un peu les nuisances sonores potentielles.

Aucune touche macro ou multimédia dédiée © Nerces pour Clubic
Aucune touche macro ou multimédia dédiée © Nerces pour Clubic

Ajoutons toutefois – et c’est vraiment une question de goûts – que le bruit un peu sourd des touches du K60 RGB Pro Low Profile peut surprendre. Il peut donner l’impression d’un clavier un peu « mou » : il n’en est rien, mais cette sensation est tenace chez certains, donc autant le préciser. Autre remarque d’importance, le clavier est extrêmement simple dans sa disposition. Nous l’avons dit, il s’agit d’un modèle 105 touches — ce qui signifie que Corsair ne propose aucune touche dédiée que ce soit pour les macros, le multimédia ou des fonctionnalités additionnelles. Tout passe ici par des fonctions secondaires associées aux touches F1-F12 notamment.

Tout ce qu'il faut pour paramétrer le rétroéclairage de la bête © Corsair
Tout ce qu'il faut pour paramétrer le rétroéclairage de la bête © Corsair

Bien sûr, via l’interface Corsair iCUE, il est reste possible de définir des macros que l’on associera ensuite à certaines touches. De la même manière, le logiciel vient paramétrer les « performances » du clavier, en particulier le taux de transfert que l’on règle de 125 à 1 000 Hz. Bien sûr, iCUE est là pour ajuster le rétroéclairage et il est agréable de voir que, comme toujours, Corsair autorise un paramétrage touche par touche. La création de macros est donc possible et, plus intéressant encore, on peut les enregistrer à travers des profils directement stockables dans la mémoire du clavier sans qu’il soit nécessaire d’avoir iCUE installé.

Réglage du taux de transfert pour un clavier plus « réactif » © Nerces pour Clubic
Réglage du taux de transfert pour un clavier plus « réactif » © Nerces pour Clubic

Enfin, impossible pour nous de conclure ce test sans évoquer certains « immanquables » du parfait clavier dédié au jeu vidéo. Bien sûr, Corsair dispose de tous les accessoires que l’on a l’habitude de voir sur de tels modèles, mais il reste bon de confirmer que l’anti-ghosting est au rendez-vous et intégral. Notons également la présence du N-key roll over et de quelques options pour désactiver certaines des combinaisons les plus communes (Alt+Tab ou Alt+F4) afin d’éviter de pénibles mésaventures en pleine partie.

© Corsair
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Corsair K60 RGB Pro Low Profile : l'avis de Clubic

La sortie du K60 RGB Pro Low Profile n’est pas révolutionnaire. Comme à son habitude, Corsair réalise ici un travail sérieux, mais se montre sans doute un peu trop sage. On aurait aimé un peu plus d’audace de la part d’un constructeur souvent très en vue qui se contente ici du « minimum syndical ». Le câble basique, l’absence d’USB pass-through ou l’utilisation de plastiques ABS sont autant d’éléments regrettables.

Ils sont heureusement contrebalancés par l’excellence des contacteurs Cherry MX Low Profile Speed qui garantissent une parfaite qualité de frappe tout en limitant les nuisances sonores. La finesse du clavier est un autre atout, de même que la gravure des caractères sur les touches, très lisible. Un très bon modèle donc qui souffre toutefois d’un positionnement tarifaire pour le moins discutable.

8

Fidèle à sa réputation, Corsair livre un K60 RGB Pro Low Profile d'excellente facture, conforme aux attentes, mais sans doute un peu « sage » : élégant, réactif et confortable, il souffre d'un prix élevé et d'un manque d'innovations.

Les plus

  • Aluminium brossé superbe
  • Excellents switchs low profile
  • Peu épais, peu profond
  • Lisibilité des caractères
  • Rétroéclairage efficace
  • Interface logicielle réussie

Les moins

  • Rien que de très classique
  • Tarif élevé, voire très élevé
  • Pass d'USB pass-through
  • Trop sensible pour certains ?

Nerces

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Commentaires (6)

DirtyShady
Je viens d’acheter la version Non low profile. Est Je vraiment fait connerie ?<br /> J’en suis totalement satisfait.
Dahita
J’avais achete la version K40 pour $50 si je me souviens bien, et c’est le clavier que j’utilise toujours aujourd’hui. Il utilise des connecteurs plastiques qui fonctionnent a merveille, sans faire un bruit d’enfer, depuis 5 ans. Il est aussi RGB par ailleurs.<br /> Apres plusieurs tests contre les claviers mechaniques, je ne suis toujours pas en mesure d’affirmer que l’un fonctionne mieux que l’autre, et j’ai ete pro gamer si l’on peut dire pendant 3 ans, au dela de ma vie de simple gamer en general.<br /> Je suis scandalise de voir que les nouveaux claviers coutent 3 fois plus chers, pour des ajouts totalement mineurs et du marketing autour des touches mechaniques. J’attends mieux de Corsair.
Nerces
Pourquoi une connerie ? Déjà les deux peuvent être de bons produits et puis si tu en es satisfait, c’est bien l’essentiel, non ?
KlingonBrain
Je viens d’acheter la version Non low profile. Est Je vraiment fait connerie ? J’en suis totalement satisfait.<br /> Moi je dirais, bien au contraire.<br /> Cela n’engage que moi, mais l’intérêt des switch «&nbsp;low profile&nbsp;» sur un clavier desktop, j’ai un peu du mal à le voir.<br /> Leur intérêt à la base, c’est d’occuper moins d’espace verticalement, un problème qui concerne surtout l’intégration dans les ordinateurs portables.<br /> @Dahita<br /> Le toucher d’un clavier, c’est toujours une histoire de ressenti très personnel. Mais aussi d’habitude. Ca dépends aussi ce qu’on compare en terme de clavier.<br /> Pour ma part, j’ai beau avoir eu d’excellents claviers à membrane, je trouve le toucher de mon clavier mécanique très supérieur.<br /> J’apprécie les switch MX Black qui sont linéaires et relativement ferme. Le toucher est vraiment très différent d’un clavier à membrane.<br /> La frappe est extrêmement rapide, mais il faut de l’habitude pour les maîtriser.<br /> Mais je le répète, c’est toujours affaire de gout personnel.
Yahren
J’ai un corsair low profile parce que j’aime avoir une course pas trop longue. Je trouve que tapper avec des touches standards c’est laborieux a cause de la hauteur des touches. Mais en effet c’est vraiment une question de gout et d’habitude mais aussi d’usage.
pjc
ET toujours pas de Azerty+… On reste au 19ème siècle
KlingonBrain
Les claviers low profile ont une course à peine plus courte (0.8mm de moins) que des switch classiques. Mais cela peut effectivement plaire à ceux qui ont été habitués au toucher des claviers pour ordinateurs portables.<br /> Cela dit, l’intérêt d’une course longue, c’est de ne pas avoir à «&nbsp;taper&nbsp;» la butée, donc d’éviter le bruit et les chocs dans les articulations. On se sers du ressort pour renvoyer le doigt en douceur. C’est d’ailleurs pour cela que je préfère des switch avec des ressort ferme comme les «&nbsp;blacks&nbsp;».<br /> Après, c’est sûr qu’on rentre dans les préférences et l’habitude, ça ne se discute pas.<br /> Les «&nbsp;touches hautes&nbsp;» c’est surtout un profile vallée-creux étudié pour faciliter le bon centrage des doigts et diminuer les erreurs de frappe. Par opposition aux touches plates.
KlingonBrain
ET toujours pas de Azerty+… On reste au 19ème siècle<br /> Avant la seconde moitié des années 80, la plupart des ordinateurs vendus en France avaient des claviers QWERTY <br /> Comment on faisait pour les accents ? En fait, la plupart des gens s’en… foutaient. Difficile à concevoir de nos jours.<br /> Pour ce qui est de la nouvelle norme Azerty, qui vous dit que les clients sont demandeurs ?<br /> A mon avis personnel, cette nouvelle norme prétends corriger des problèmes dont la plupart des gens se moquent. Elle en introduit d’autres. Et ne corrige pas les vraies tares de l’Azerty.<br /> Bref, je trouve que c’est un bon exemple de la «&nbsp;pensée par le haut&nbsp;» typique de la France qui pèche toujours par un excès de focalisation sur certaines critères et un manque de vision globale.
pjc
Le fait que les premiers ordi importés depuis les states étaient en Qwerty n’invalide pas ce que j’avance vu que L’AZERTY existait bien avant les ordis. sur les machines à écrire.<br /> donc si. c’est bien un héritage séculaire.<br /> Et je persiste, ce nouvel Azerty+ est bien mieux gaulé que les anciens FR et BE.
KlingonBrain
Le fait que les premiers ordi importés depuis les states étaient en Qwerty n’invalide pas ce que j’avance vu que L’AZERTY existait bien avant les ordis. sur les machines à écrire. donc si. c’est bien un héritage séculaire.<br /> C’est vrai, même si les ordinateurs ont ajouté beaucoup de touches par rapport aux machines à écrire.<br /> Et je persiste, ce nouvel Azerty+ est bien mieux gaulé que les anciens FR et BE.<br /> Je ne trouve pas.<br /> L’un des principal problème de l’Azerty est le fait qu’il ne propose pas d’accès direct aux chiffres alors qu’on s’en sers énormément. C’est un défaut que l’on ressent de manière absolument criante quand on viens du QWERTY.
Blackalf
KlingonBrain:<br /> L’un des principal problème de l’Azerty est le fait qu’il ne propose pas d’accès direct aux chiffres alors qu’on s’en sers énormément.<br /> Ben, et le pavé numérique ?.
KlingonBrain
C’est beaucoup trop loin.<br /> Pour garder une frappe rapide, le nécessaire doit être à portée de doigt, sans devoir bouger substantiellement le poignet.<br /> D’autre part, tous les claviers ne sont pas pourvus d’un pavé numérique. Par exemple, les ordinateurs portables compacts et les claviers «&nbsp;TenkeyLess&nbsp;» ou «&nbsp;60%&nbsp;».<br /> Le pavé numérique est utile dans un contexte de longues séries de chiffres. En revanche, les touches numériques du clavier principal sont plus adaptées dans un contexte de saisie mixte.
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