L'Education nationale met en garde. Toute montre connectée sera prohibée lors du prochain examen du baccalauréat.
Après les smartphones et les tablettes tactiles, les montres connectées sont à présent interdites de salles d'examen. L'Education nationale précise que les candidats au baccalauréat ne seront pas autorisés à porter sur eux ces objets.
Si les possesseurs de ces montres connectées avaient un doute quant à la possibilité d'utiliser quelques moyens d'avoir de l'aide par ce biais, la règle est à présent claire. Le ministère précise que « les montres connectées sont également interdites pendant les épreuves et doivent être rangées dans le sac et éteintes, comme le téléphone portable. Si le candidat n'a pas de sac, il doit remettre son smartphone ou tout autre matériel connecté au surveillant ou à l'interrogateur dès qu'il rentre dans la salle ».
Toute tentative de fraude sera sévèrement sanctionnée. Outre un 0 bien visible sur la note, les peines peuvent aller du blâme, à l'interdiction de passer tout examen diplômant. En cas d'usurpation ou de substitution d'identité, les peines sont plus lourdes et vont jusqu'à 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende.
Un conseil : utiliser une montre « normale »
Si les montres connectées et tout autre « matériel électronique de communication, de stockage ou de consultation de données » sont donc interdits, il demeure cependant utile de connaître l'heure lors des épreuves. C'est pourquoi il est fortement recommandé aux élèves de se munir d'une montre classique.
L'usage du téléphone portable, même pour consulter l'heure, ne sera en effet pas toléré. De quoi rester concentré sur sa copie.
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de rempli...
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de remplir cette mission en tant que rédacteur pour Clubic.
Je traite principalement de politique numérique tout comme de sécurité informatique et d’e-Business. Passionné de Star Wars, de Monster Hunter, d’Heroic Fantasy et de loisirs numériques, je collabore régulièrement à de multiples projets vidéo de la rédaction.
J’ai également pris la fâcheuse habitude de distribuer aux lecteurs leur dose hebdomadaire de troll via la Clubic Week.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
