La marque Eyefi, spécialiste de la carte mémoire Wi-Fi pour appareil photo, a annoncé la semaine dernière le lancement de son service Eyefi Cloud en France.
Disponible aux États-Unis depuis le mois d'avril 2014, le service Eyefi Cloud est désormais officiellement disponible en France et en Europe. Il s'agit d'un service de stockage et de sauvegarde de photos, d'une bibliothèque unifiée en ligne, dans laquelle on peut rassembler tous les clichés réalisés avec ses appareils photo munis de cartes mémoires Eyefi Mobi.
De tels appareils photo ne se connectant pas au cloud par l'opération du saint esprit, les clichés doivent d'abord transiter par le téléphone, la tablette ou l'ordinateur auquel la carte est associée. Il faut donc que les deux dispositifs soient sous tension et à portée, et la synchronisation demande dans certains cas quelques manipulations (en particulier sur iOS). Ils sont ensuite accessibles du terminal en question ou de n'importe quel autre, via l'application ou le site Internet.
Eyefi Cloud affiche quoi qu'il en soit sensiblement la même promesse que feu Everpix, il est facturé 45 euros/an pour un nombre illimité de clichés, si ce n'est qu'il n'est pas ouvert aux photos ou aux vidéos provenant d'autres appareils (tels qu'un smartphone) ou d'autres sources (une bibliothèque existante sur un ordinateur).
Eyefi pourrait pourtant prendre un virage vers les services, maintenant que le Wi-Fi est largement démocratisé sur les appareils photo, mais il maintient malheureusement des produits et services manquant d'ouverture et de cohérence.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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